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LA NUIT DES TEMPS, BARJAVEL « Un grand chant d’amour passionné ». Sophie Van Esch. Je suis entré, et je t’ai vue.
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LA NUIT DES TEMPS, BARJAVEL « Un grand chant d’amour passionné » Sophie Van Esch
Je suis entré, et je t’ai vue. Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Je suis entré, et je t’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
REPETITIONS Je suis entré, et je t’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Je suis entré, et je t’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Je suis entré, et je t’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
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incroyablement merveilleusement
inimaginablement incroyablement merveilleusement GRADATION
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Je suis entré, et jet’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme jete voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils tevoient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Temontrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Jesuis entré, etjet’aivue . Etj’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, dechasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaientTEvoir, commejetevoyais. Et pourtant,jevoulais aussi qu’ilstevoient.Jevoulais que le monde entier sût combientuétais, merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Temontrer à l’univers, le temps d’un éclair, puism’enfermeravectoi, seul, etteregarder pendant l’éternité.
Jesuis entré, etjet’aivue . Etj’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruiretous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaientTEvoir, commejetevoyais. Et pourtant, jevoulais aussi qu’ils te voient. Je voulaisque le monde entier sût combientuétais, merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Temontrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, etteregarder pendant l’éternité.
là derrière moi
là derrière moi derrière la porte
là derrière moi derrière la porte dans la Sphère
là derrière moi derrière la porte dans la Sphère sur la glace
là derrière moi derrière la porte dans la Sphère sur la glace devant leurs écrans du monde entier GRADATION
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qui […] attendaient desavoiret devoir. pourtant qu’ils te voient. […] que le monde entier sût CHIASME
Je suis entré, et jet’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruiretous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaientTEvoir, commejetevoyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sûtcombientu étais, merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, etteregarder pendant l’éternité.
Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité. ANTITHESES
Je suis entré, et je t’ai vue. Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puism’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Je suis entré, et je t’ai vue. Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puism’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Une envie furieuse, mortelle … Oreste poursuivi par les Érinyes (mythologie grecque) =Furies (mythologie latine)
Je suis entré, et je t’ai vue. Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puism’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.
Enchaînement inéluctable Je suis entré, et je t’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussiqu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle . Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puism’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité .
Je suis entré , et je t’ai vue . Et j’ai été saisi aussitôtpar l’envie furieuse , mortelle, de chasser , de détruire tous ceux qui , là , derrière moi, derrière la porte , dans la Sphère , sur la glace , devant leurs écrans du monde entier , attendaient de savoir et de voir .Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant , je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement , incroyablement , inimaginablement belle . Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair,puis m’enfermer avec toi , seul , et te regarder pendant l’éternité . Souffle lyrique
Je suis entré ,et je t’ai vue . Et j’ai été saisiaussitôtpar l’envie furieuse ,mortelle, de chasser ,de détruire tous ceux qui , là , derrière moi, derrière la porte , dans la Sphère ,sur la glace , devant leurs écrans du monde entier , attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant ,je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement , incroyablement , inimaginablement belle . Te montrerà l’univers, le temps d’un éclair,puis m’enfermeravec toi ,seul ,et te regarder pendant l’éternité . Chant lyrique
saisiaussitôtpar l’enviefurieuse ALLITERATION
ASSONANCE saisiaussitôtpar l’enviefurieuse
Je suis entré, et je t’ai vue. Et j’ai été saisi aussitôt par l’envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais. Et pourtant, je voulais aussi qu’ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle. Te montrer à l’univers, le temps d’un éclair, puis m’enfermer avec toi, seul, et te regarder pendant l’éternité.