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ARV et médicaments connexes Gestion de la chaîne d’approvisionnement. Campagne contre le sida en Afrique (ACTafrica) Banque mondiale. Consultation sur le VIH/SIDA Région Afrique Addis-Abeba, du 14 au 18 décembre 2004. Sommaire de la présentation.
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ARV et médicaments connexes Gestion de la chaîne d’approvisionnement Campagne contre le sida en Afrique (ACTafrica) Banque mondiale Consultation sur le VIH/SIDA Région Afrique Addis-Abeba, du 14 au 18 décembre 2004
Sommaire de la présentation • Étapes clés de la gestion de la chaîne d’approvisionnement/de la logistique • Causes des retards à chaque étape • Stratégies d’atténuation • Ressources humaines/capacités • Financement
Causes des retards? Absence de procédures de réapprovisionnement Manque d’allocations budgétaires suffisantes (renforcement des capacités)
Carences administratives Absence de : • personnel affecté à temps plein à la gestion • qualifications pour planifier et gérer la logistique • promoteur de la logistique • descriptions d’emploi précises • outils nécessaires • manuels des procédures plus clairs • encouragement et habilitation du personnel • mesures de performance des diverses fonctions • suivi et renforcement • supervision (suivi)
Carences administratives Instauration d’une collaboration efficace et efficiente entre : • le ministère de la Santé • les conseils nationaux de lutte contre le VIH/SIDA et/ou les mécanismes de coordination-pays • l’organisme de réglementation pharmaceutique/le laboratoire national • les ministères du Commerce et ceux chargés de la justice/des affaires juridiques • les commissions nationales d’appel d’offres • les ONG et les organisations de la société civile • les bailleurs de dons et divers organismes Harmonisation des procédures et coordination de la planification
Carences administratives • Un programme complet de renforcement des capacités dans les domaines i) de la passation des marchés d’antirétroviraux et de produits connexes, et ii) du programme de gestion de la chaîne d’approvisionnement (PSMP) • Addis-Abeba (francophone) - Février 2005 • Tanzanie (anglophone) - Avril 2005 • …et ainsi de suite au cours de 2005 • Phase 1 du PSMP : formation des formateurs dans tous les pays. • Phase 2 du PSMP : création dans les pays d’un établissement national ou d’un consortium d’établissements et de partenaires nationaux (notamment pour les cours de recyclage).
Carences administratives • La formation des formateurs ciblera : • le ministère de la Santé • le ministère du Commerce • les organes juridiques, judiciaires, des brevets • Organe pharmaceutique national • Le conseil/la commission/le secrétariat national de lutte contre le VIH/SIDA • le principal bénéficiaire
Carences administratives • Les programmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement bénéficieront d’une formation organisée à l’échelon mondial et financée par la Banque, les Pays-Bas, le Canada, l’OMS (assistance technique) et l’ONUSIDA (pour 2005) • La capacité globale de planification et de gestion du pays sera renforcée • Équipe de base au niveau du pays • Les directives techniques et les modules de formation sont disponibles • Un effort coordonné de la part des partenaires du développement (moins de confusion au sein des équipes-pays)
Financement La Banque mondiale et le Fonds mondial ont engagé un montant estimé à 2,7 milliards de dollars pour la lutte contre le VIH/SIDA en Afrique sub-saharienne. (Engagement = accord signé avec les gouvernements)
Financement • Coordonner le financement disponible provenant de toutes les sources (Fonds mondial, MAP, source bilatérale, autres). • Formuler des politiques pour maintenir le financement des produits ainsi que des fonctions relatives à la gestion de la logistique. • Ajuster les cibles du programme s’il n’existe pas financement pour les produits ou les fonctions de la chaîne d’approvisionnement. • Faire en sorte que les coûts de la logistique soient financés dans le cadre du programme. • Commencer à élaborer un plan à long terme pour le financement futur des programmes.(L’estimation des besoins futursne doit pas être subordonnée à l’engagement préalable des bailleurs de fonds).
Financement • Financement disponible pour les programmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement Dépenses liées aux enseignants, au matériel et à la mise en place • Programme de partenariat Banque – Pays-Bas (BNPP) • Agence canadienne de développement international (ACDI) • Plan de travail budgétisé de l’ONUSIDA (UBW) • Programme de formation de la Banque mondiale (pour la Région Afrique) • Près de 1 million de dollars réunis Participants qui interviennent au niveau des pays • Les fonds du Programme multinational de lutte contre le VIH/SIDA (MAP) au niveau du pays • Financement du Fonds mondial • Bailleurs de fonds bilatéraux et partenaires du développement
Cap sur l’avenir La réalité Environ 6 000 personnes meurent chaque jour du SIDA en Afrique sub-saharienne À peu près 8 000 nouveaux cas d’infection sont enregistrés chaque jour Le problème Continuerons-nous à agir de la même manière que par le passé? Face au SIDA, devons-nous adopter une mentalité de bureaucrate ou de guerrier ? L’approche Recourir à des mesures « exceptionnelles » L’approche conventionnelle prend trop de temps
Cap sur l’avenir • Maintenir la priorité sur les objectifs des trois principes directeurs • Un cadre national • Une institution • Un système de suivi et d’évaluation • Recourir à des mesures exceptionnelles • Elles sont coûteuses, mais quelle est notre priorité ? • Sous-traiter les tâches courantes ou mécaniques • Apprendre par l’expérience et s’adapter rapidement (concevoir un MAP flexible)
Cap sur l’avenir • Nécessité d’un effort coordonné • Un plan national adopté par tous les partenaires • Harmonisation des procédures et de la présentation de rapports • Partage du savoir à l’échelon régional • Partage des ressources • Examens et suivis concertés