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Saviez-vous où en était le sida en Afrique en 1991 ?. Afrique et Sida % d’infection par le Sida par pays – 1991. Zambie. Zimbabwe. Ouganda. Burundi. Malawi. Rwanda. Congo. Centrafrique. Bostzwana. RD Congo. Kenya. Tanzanie. Tx 1991. Zwasiland. Gabon. Namibie. Cameroun. Angola.
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Afrique et Sida% d’infection par le Sida par pays – 1991 Zambie Zimbabwe Ouganda Burundi Malawi Rwanda Congo Centrafrique Bostzwana RD Congo Kenya Tanzanie Tx 1991 Zwasiland Gabon Namibie Cameroun Angola Mozambique Afrique du Sud Lésotho Guinée Equatoriale 0 10 20 30 40 50 D’après statistiques OMS
Hélas, la situation a évolué … Cliquez pour voir les mêmes pays 10 ans après
Afrique et Sida% d’infection par le Sida par pays – 1991 2001 Zambie Zimbabwe Ouganda Burundi Malawi Rwanda Congo Centrafrique Bostzwana RD Congo Tx 2001 Kenya Tanzanie Tx 1991 Zwasiland Gabon Namibie Cameroun Angola Mozambique Afrique du Sud Lésotho Guinée Equatoriale 0 10 20 30 40 50 D’après statistiques OMS
Impressionnant, non ? Voici les mêmes pays, mais classés suivant le taux d’épidémie de 2001
Afrique et Sida% d’infection par le Sida – 1991 2001 – tri en fonction du taux 2001 Bostzwana Tx 2001 Zimbabwe Tx 1991 Zwasiland Lésotho Namibie Zambie Seuls 2 pays ont vu leur taux d’infection diminuer en 10 ans Afrique du Sud Malawi Kenya Mozambique Centrafrique Cameroun Le BURUNDI Rwanda Burundi L’OUGANDA Tanzanie Congo Angola Ouganda RD Congo Gabon Guinée Equatoriale 0 10 20 30 40 50 D’après statistiques OMS
Voyons maintenant comment Se classent ces évolutions en fonction de la religion majoritaire de ces pays
Afrique et Sida% d’infection par le Sida – 1991 / 2001 – tri en fonction de la religion majoritaire Majorité Musulmane Zambie Bostzwana Zimbabwe Zwasiland Majorité Animiste Mozambique Centrafrique Cameroun Lésotho Namibie Majorité Protestante Afrique du Sud Tx 2001 Malawi Kenya Tx 1991 Rwanda BURUNDI Majorité Catholique Tanzanie Congo Angola OUGANDA Le Burundi et l’Ouganda … ET ceux dontl’évolution a été la moins mauvaise (inférieure à 10 %) sont là où les « cathos » sont majoritaires … Comment ça se fait ? !(cliquer) RD Congo Gabon Guinée Equatoriale 0 10 20 30 40 50 D’après statistiques OMS
Comment est-ce possible ? « C’est pas logique, puisque si on met un préservatif, le virus ne peut pas passer ! » • Et pourtant si, c’est très logique : • Quand il ne cherche même pas à maîtriser ses pulsions sexuelles, • Quand il est ivre, drogué, quand il cultive le sado-masochisme, • Quand il est soumis à l’influence des « copains », • Quand il participe à des « tournantes », qu’il viole , • Quand il est poussé par son désir, pressé devant son/sa/ses partenaires, • Quand il en veut « toujours plus » … • … l’homme n’est plus un « animal raisonnable », conscient de ses responsabilités et des enjeux. • Même si on lui a démontré qu’il fallait s’en servir, et montré comment faire, dans ces moments-là, • le Préservatif, ça passe après !
Livré à ses puissances sexuelles,il finit par refuser le geste de s’entraver à chaque fois avec une capote qui bride son excitation,l’homme « se désinhibe », (selon l’expression des observateurs). C’est ce qui explique pourquoi, en France, malgré un hallucinant budget promotionnel, le préservatif n’a jamais réussi à faire diminuer le nombre des avortements… Le reste est statistique : Plus vous avez de « partenaires », plus les risques d’infection augmentent. Le préservatif ne fait, au mieux, que retarder l’échéance. Il n’est pas un rempart suffisant pour enrayer la propagation du SIDA. Le Pape ne dit pas autre chose.
Messieurs les tenants du dogme du « tout préservatif », • Qui condamnez en les faisant huer à la télévision ceux qui ont une politique vraiment efficace de lutte contre l’atroce épidémie du SIDA, • Qui faites voter à vos parlements des motions sans réflexion, • Qui voulez à tout prix (à quel prix !) pouvoir « sexuellement vagabonder », • Vous feriez bien d’y regarder à plusieurs fois avant de continuer : • vous êtes insultants pour ceux qui travaillent et réussissent, • vous êtes d’une injustice et d’un irréalisme inconcevable. • mais surtout, vous êtes gravement condamnables, car, à cause de vous, le nombre des africains qui souffrent, meurent et mourront encore est épouvantable. • Renseignez-vous sur les méthodes que ces pays appliquent, • Vous comprendrez que vos propos sur les soit-disant positions de l’Église sur le préservatif sont des calomnies. • Que les intéressés et que Dieu vous pardonnent .
Eh oui ! Contrairement à ce qu’on pense, la seule promotion du tout-préservatif N’empêche ni la MALADIE et la MORT ! Celle de l’apprentissage de la maîtrise sexuelle et de la fidélité débouche sur l’AMOUR et la VIE. À vous de choisir… Vous voulez savoir ce que les responsables catholiques de l’Afrique disent du sujet … Cliquez !
Le président du Burkina Faso Blaise Compaoré : … En Europe, vous avez peut-être le loisir de faire des thèses pour ou contre la morale. Au Burkina, nous n'avons pas le temps. [...] Il y a souvent un gouffre entre ce que disent les médias et ce qui se passe sur le terrain. En Afrique, nous vivons avec le sida au quotidien. Le débat sur le préservatif, tel que vous le présentez, ne nous concerne pas. Les Français aiment la polémique, c'est leur côté gaulois ! Certains critiquent la position de l‘Église en prétendant défendre les Africains. Soit. Mais la plupart n'ont jamais mis les pieds chez nous ! Je leur conseille de venir faire un séjour au Burkina. Chez nous, l'imam, le prêtre et le chef coutumier travaillent de concert : tous ont l'ambition d'affronter le même mal. Se focaliser sur le préservatif, c'est passer à côté du problème du sida. [...] Chez nous, l‘Église est d'abord synonyme d'écoles et de dispensaires. Le débat sur le sida n'est pas théorique, il est pratique. L‘Église apporte sa contribution. Si l'abstinence est un moyen de prévention, nous n'allons pas nous en priver ! [...] L‘Église n'a pas le monopole de l'abstinence ! En tant que chef de l‘État, j'ai pris des engagements dans ce sens depuis 2002 dans le cadre de la campagne "C'est ma vie". L'objectif était de mettre les gens devant leurs responsabilités. Parmi les engagements proposés, certains faisaient directement appel à l'abstinence : "J'ai décidé de m'abstenir de tout rapport sexuel quand mon mari (ma femme) est absent(e)", et "J'ai décidé de m'abstenir de toute relation sexuelle jusqu'au mariage"."
Monseigneur Simon Ntamwana, archevêque de Gitega au Burundi : Mgr Simon Ntamwana, archevêque de Gitega au Burundi, a dénoncé «le glissement de pensée» de l’Occident et son «hédonisme sexuel devenu comme un chemin incontournable». "Ce n’est pas le préservatif qui va diminuer le nombre d’infections du sida, mais certainement une discipline que chacun doit s’imposer pour pouvoir changer d’attitude, une attitude qui va l’aider à échapper à un hédonisme qu’il ne peut plus contrôler". Monseigneur Laurent Monsengwo, Archevêque de Kinshasa : Le préservatif "aggrave le problème car il donne une fausse sécurité, une sécurité qui n’en est pas toujours une".
Mgr Slattery, de Tzaneen, en Afrique du Sud : "En dépit de la promotion qui est faite dans les écoles pour le préservatif, il y a un taux de grossesse élevé parmi les filles en âge scolaire, parfois jusqu'à 20%". Mgr Slattery explique que les avantages économiques d'une telle promotion sont réels, l'industrie du préservatif étant une industrie multimillionnaire. "L'Afrique du Sud et les pays voisins du Botswana et du Swaziland ont les taux d'infection les plus élevés au monde et les taux de distribution de préservatifs également les plus élevés. [...] la conclusion est évidente : plus de préservatifs signifient plus de cas de SIDA et plus de morts [...] il est bien sûr ‘politiquement incorrect' aussi bien ici que dans le monde occidental, d'envisager l'éventualité que le préservatif puisse en réalité alimenter cette maladie mortelle au lieu de la freiner". L'objectif de l'Eglise dans le pays est de «lever le voile du secret sur le SIDA et d'inciter les gens à en parler ouvertement». "On leur fait croire qu'il n'y a pas de véritable crise. Ils voient que beaucoup de jeunes meurent mais on leur dit qu'ils attrapent le SIDA parce qu'ils n'utilisent pas le préservatif correctement. Derrière tout cela il y a une croyance largement répandue selon laquelle les personnes qui meurent du SIDA ont été ensorcelées". "L'Ouganda a été le premier pays à combattre résolument l'épidémie du SIDA au début des années 90. La position forte et claire du président Museveni a constitué l'élément décisif qui a ralenti la diffusion du SIDA, faisant passer le taux de personnes affectées de plus de 25% à 6% en 2002. Il a prêché le bon sens et non le préservatif, encourageant l'abstinence avant le mariage et la fidélité dans le mariage, comme des valeurs culturelles".