360 likes | 1.12k Views
Sup'Management. Honneur-Fraternité-Justice. organisation de pme. Réalisé par : Le Professeur : NOURA/MAIMOUNE/GHALIA AMOUIN KOUAKOU. SOMMAIRE. I) Qu'est-ce qu'une entreprise ? II) Qu’es ce qu’une PME ? a) Description
E N D
Sup'Management Honneur-Fraternité-Justice organisation de pme Réalisé par: Le Professeur: NOURA/MAIMOUNE/GHALIA AMOUIN KOUAKOU
SOMMAIRE • I) Qu'est-ce qu'une entreprise ? • II) Qu’es ce qu’une PME ? • a) Description • 1) Les investisseurs individuels • 2) La pluralité d’investisseurs • b) Caractéristiques • C) Utilités • D) Pourquoi la PME ? • III) La Taille des PME • IV) Réussite des petites et moyennes entreprises la gestion et l'organisation des PME • A) Stratégie et innovation • B) La structure managériale
I)Qu'est-ce qu'une entreprise ? L'entreprise est le lieu où le travail des êtres humains s’organise afin d'agir sur la nature pour en obtenir des résultats utiles
II) Qu’es ce qu’une Petite et Moyenne Entreprise ? • Une moyenne entreprise : Elle est définie comme une entreprise dont l'effectif est inférieur à 250 personnes et dont le chiffre d'affaires n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total du bilan annuel n'excède pas 43 millions d'euros.
Une petite entreprise : Elle est définie comme une entreprise dont l'effectif est inférieur à 50 personnes et dont le chiffre d'affaires ou le total du bilan annuel n'excède pas 10 millions d'euros.
Une micro entreprise : Elle est définie comme une entreprise dont l'effectif est inférieur à 10 personnes et dont le chiffre d'affaires ou le total du bilan annuel n'excède pas 2 millions d'euros.
a) Description Au regard des difficultés des PME à lever des fonds aux fins de financer leur création et leur développement, le Gouvernement français, et en cela précédé par le gouvernement anglais, a récemment créé de nouveaux véhicules d’investissement dédiés auxdites PME. Ainsi, il apparaissait intéressant de comparer les diverses structures proposées tant d’un point de vue juridique que fiscal:
1) Les investisseurs individuels En France, la loi de Finances de 2004 a créée la Société Unipersonnelle d’Investissement à Risques (S.U.I.R). Ce véhicule offre un cadre juridique adapté aux investisseurs individuels (ou «business angels») qui désirent investir dans des PME. La SUIR et le business angel, sous réserve de contraintes juridiques, peuvent bénéficier d’un régime fiscal de faveur consistant en une exonération d’impôt.
Au Royaume Unis, l'«Enterprise Investment Schème» (EIS) permet aux entreprises éligibles à émettre des actions souscrites par les business angels. A l’instar du régime Français, l’investisseur ainsi que la Société cible peuvent bénéficier d’avantages fiscaux dès lors que la société émettrice remplit l’ensemble des contraintes juridiques.
2) La pluralité d’investisseurs En France, le «Fonds d’investissements de Proximité» (FIP), copropriété de valeurs mobilières, constitué sous la forme d’un FCPR agréé par l’AMF permet aux particuliers et collectivités locales d’investir dans des PME – ce fonds doit, notamment, investir au moins 60% de son actif dans des PME régionales -. Les collectivités locales interviennent ainsi directement dans le développement des PME régionales en tant qu’investisseurs et garant. Les investisseurs individuels bénéficient d’un régime fiscal de faveur consistant en une réduction et une exonération d’impôt.
b) Caractéristiques • Les PME ont des caractéristiques spécifiques une petite taille, centralisation et personnalisation de la gestion autour du propriétaire Dirigeant. La Stratégie est intuitive ou peu formalisée, une forte proximité des acteurs dans un réseau régional. Le système d information interne est simple et peu formalisé, système d'information externe simple basé sur des contacts directs. Une capacité d'innover rapidement pour s'adapter au marché. • On peut également y rajouter la proximité entre patron et employés, une faible formalisation. Le recours à l’écrit n’est pas primordial, du fait de l’importance de l’ajustement mutuel. La structure est plate, pas de niveaux hiérarchiques, ou très peu.
C) Utilités La logique économique tend à prôner la grande taille qui permet de profiter de trois caractéristiques une économie d’échelle (capacité de production), économie de champ (notoriété et diversification), effets d’expérience (efficacité productive).
La PME existera car il va exister une nécessité d’être proche de son marché. Certaines activités nécessitent l’hyperspécialisation du fait des technologies utilisées ou de la taille des marchés (niches stratégiques). D’ailleurs, il peut exister des monopoles interstitiels (tous petits monopoles). L’évolution de l’environnement nécessite une importante flexibilité que peut difficilement obtenir la grande entreprise. Volonté du dirigeant de limiter la croissance de son entreprise afin de ne pas perdre le pouvoir. Une grande entreprise va favoriser l'existence d’un réseau d’entreprises de petite dimension qui seront des sous-traitantes (exemple de l'organisation de Toyota ou de Benetton). Crainte de faire face aux contraintes étatiques. Le manque d'innovation de la part des dirigeants.
D) Pourquoi la PME ? L’intérêt que suscite le secteur de la PME en Mauritanie provient des vertus quelles recèlent. Une Forte potentialité de croissance, de création de valeur ajoutée et d’emplois et surtout source potentielle de promotion des exportations (pêches). S’adapte mieux aux changements, avantage compétitif né de sa capacité de créativité et de sa proximité. Malgré les vertus citées, les PME Mauritaniennes demeurent fragiles. Cette vulnérabilité émane des facteurs structurels : Une capacité d’autofinancement moins importante comparée à celle des grandes entreprises , moins de fonds propres , poids des charges sociales et fiscales et les Compétences des Ressources Humaines plus faible.
III) La Taille des Petites et Moyennes Entreprises La taille des PME/PMI leur procure certes certains avantages, mais donne à leurs managers des soucis permanents. Il est très difficile de faire leur portrait robot car leur typologie est hétérogène, en taille, procédés de production, technicité, et qualification. Sans prétendre faire le tour de leurs difficultés on peut, sans se tromper, dire que leur fonctionnement implique une forte disponibilité des moyens de production.
Stratégie d’organisation Les développements conceptuels et méthodologiques de cette thèse ont pour but à partir des données du retour d’expérience, élaborer une stratégie d’organisation de la maintenance afin de formaliser le processus de production adaptée aux exigences et contexte des petites et moyennes entreprises.
Après avoir développé le contexte et la problématique de cette thèse, est proposée une démarche globale qui fait appel à deux grands axes de développement. L'aspect organisationnel et l'aspect technico- économique des équipements. Ces deux études sont menées en parallèle et les phases de réorganisation de la maintenance servent de support et de référence pour l'application des stratégies et tactiques de maintenance choisies.
IV) Réussite des petites et moyennes entreprises la gestion et l'organisation des PME La concurrence accrue de ces dernières années a touché principalement les petites et moyennes entreprises (PME), qui, chaque jour, doivent se poser les mêmes questions: "Comment optimiser mes secteurs d'activités pour poursuivre à long terme? Est-ce que mes produits sont suffisamment innovateurs pour percer sur le marché ?"
A) Stratégie et innovation La stratégie de l’entreprise et l’innovation ont un lien évident : une entreprise se crée, croît ou se redéploye par l’innovation.Nombreuses sont les entreprises qui doivent leur naissance à une innovation : Dyson, Dell, Coca-Cola…Les plus grands groupes (L’Oréal, Total, Renault…) croient et se déploient grâce à leurs innovations, aux produits nouveaux qu’ils proposent sans cesse.L’innovation est également définie comme l’un des principaux moyens pour l’entreprise d’acquérir un avantage compétitif, c’est-à-dire, l’un des principaux moyens de surpasser la concurrence.
B) La structure managériale Le « promoteur » cherche à se tenir informé des progrès de la réalisation de son projet par des contacts directs avec tous les intéressés. Le « gestionnaire », pour sa part, préfère établir des relations plus formelles : il délègue son pouvoir de décision en définissant précisément les responsabilités et les prérogatives de chacun.La décision d'avoir recours à des ressources extérieures plutôt que d'en disposer en interne nécessite un bon réseau d'information. La gestion des ressources humaines ou matérielles ne peut être structurée de façon hiérarchique que lorsque celles-ci sont propres à l'entreprise. Lorsque cette dernière ne dispose pas en interne des ressources indispensables à la réalisation de ses objectifs, elle a recours à ces réseaux d'information.
CONCLUSION Dans les années récentes sont venues s'y ajouter des approches permettant d'aller plus loin dans l'analyse du typique performances-stratégies-structures. Trois questions en particulier intéressent les historiens d'aujourd'hui. D'abord, l'entrepreneur, en particulier son rôle dans le processus d'innovation et de mise en œuvre des technologies (évolutionnisme, théorie de l'agence). Ensuite, l'organisation de la firme (théorie des coûts de transaction). Enfin, la firme comme institution (théorie des droits de propriété)