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Eglise réformée du Bouclier Culte du 26 mai 2013 Prédication du pasteur Martha Jacobs. « Car j’ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour : ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d’autres autorités ou puissances célestes; ni le présent, ni l’avenir, ni les forces
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Eglise réformée du Bouclier Culte du 26 mai 2013 Prédication du pasteur Martha Jacobs
« Car j’ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour : ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d’autres autorités ou puissances célestes; ni le présent, ni l’avenir, ni les forces d’en haut, ni les forces d’en bas, ni aucune autre chose créée, rien ne pourra jamais nous Séparer de l’amour que Dieu nous a manifesté en Jésus Christ notre Seigneur »
« Tu es derrière moi, devant aussi, tu poses ta main sur moi » J’ai travaillé comme aumônier d’hôpital depuis plus de 20 ans. J’ai vu des gens lutter pour vivre et j’en ai vu d’autres lutter pour mourir. J’ai vu des gens embrasser leur mort imminente et j’ai vu des gens lutter contre la mort chaque seconde. J’ai été avec des gens qui avaient une grande foi et d’autres qui n’avaient aucune foi.
Et je me suis sentie incroyablement bénie d’avoir pu marcher avec chaque personne dont j’ai été le témoin de la vie et de la mort même si cette marche en commun n’était pas très longue en temps. Je suis convaincue que rien ne nous sépare de l’amour de Dieu. Je suis convaincue que Dieu est devant et derrière nous et qu’il place sa main sur nous.
Au moment le plus intime de notre vie, quand notre corps terrestre meurt et est réuni avec notre Créateur, d’une manière nouvelle et différente, Dieu est là pour accueillir notre Esprit là où est Dieu. Lorsque les gens apprennent quelle est ma profession à savoir que je travaille à l’hôpital principalement avec des gens qui vont mourir, ils font en général une pause dans leur conversation avec moi puis ils prennent sur leur visage un regard plein de compassion pour moi.
Et naturellement ils me posent la question : « comment pouvez-vous faire ce travail ? Cela doit être tellement triste et tellement dur à affronter tous les jours ! » Leur question n’est pas vraiment une question parce qu’en général ils ne restent pas suffisamment longtemps avec moi pour que je puisse même commencer à répondre à leur question. Je pense que cette question rend les gens trop vulnérables pour attendre ou écouter une réponse, partiellement parce que nous
savons que nous mourrons tous un jour. Mais comme mon père me l’a dit récemment : « je ne voudrais pas être là au moment où cela arrivera ! ». A ce point de ma vie, alors que je m’apprête à fêter mon 60e anniversaire, je commence à avoir une perspective différente sur les derniers instants et la mort. Pourquoi ne voudrions-nous pas être là au moment où cela arrivera ? Pourquoi avons-nous tellement peur de mourir ? Qu’est-ce que nous craignons le plus ? Des études ont montré que notre plus grande peur devant la fin de vie est de mourir avec des douleurs physiques. .
C’est une des raisons qui expliquent l’augmentation de la demande pour le suicide médicalement assisté de façon à ce que nous ayons un moyen de contrôler la douleur quand elle devient trop importante. Nous pouvons prendre de cachets pour mettre fin à cette intense douleur Et pour certaines personnes, c’est le choix qu’elles ont fait – mettre fin à leur vie parce que leur douleur physique devient trop difficile à gérer.
Aujourd’hui il n’y a vraiment aucune raison que le gens souffrent encore de douleurs physiques insupportables. Les douleurs physique peuvent et doivent aujourd’hui être prise en charge,
Mais il y a un autre type de douleur qui peut survenir en fin de vie que les antalgiques ne peuvent soulager, c’est la douleur spirituelle. Ce type de douleur qui est parfois plus intense que la douleur physique, parce que nous ne voulons pas la nommer ou ne voulons pas en reconnaître l’existence. Nous avons peur de la nommer- peut-être parce que nous avons peur du jugement de Dieu qui pourrait considérer que nous ne croyons pas assez ou parce que nous craignons le châtiment de Dieu.
Si Dieu nous cerne par devant et par derrière, s’il nous façonne dans l’utérus de notre mère, il y a des chances qu’il n’existe pas de secrets devant Dieu ; donc que nous nommions ou Non notre douleur spirituelle, Dieu la connaît déjà. En tant que chrétiens, nous croyons que Jésus a été pleinement humain.
Parce qu’il a été pleinement humain, cela veut dire qu’il a expérimenté les frustrations, la colère, les déceptions que nous avons tous rencontré dans nos vies. Savoir cela me réconforte, parce que cela veut dire que Dieu me comprend. Dieu comprend pourquoi je me mets en colère, et même ma douleur lorsque je pleure la mort de ma mère. Jésus comprend tous ces sentiments et même davantage car il a été complètement humain.
Ainsi je peux aller vers Jésus avec toutes mes peurs et toutes mes craintes. Le fait de savoir que même Jésus a demandé à son père d’éloigner la coupe qu’il devait boire, nous aide dans ces moments de la vie quand nous nous sentons remplis de crainte et d’effroi, désespérés et très seuls. Les disciples se sont endormis à plusieurs reprises, laissant Jésus seul dans le jardin de Gethsémané.
Ainsi il sait ce que cela veut dire de se sentir abandonné, ce que cela veut dire quand on ne sait pas de quoi l’avenir proche et lointain sera fait. Et c’est là que notre foi nous aide. La foi, c’est faire confiance. Faire confiance à Dieu qu’il est avec nous dans tout ce que nous faisons et qu’il nous aime tels que nous sommes en dépit de nos insuffisances et de nos péchés. Dieu sait que nous serons insuffisants : sinon il n’aurait pas envoyé Jésus faire un bout de chemin avec nous .
Si nous étions censés être parfaits, nous n’aurions pas besoin de Jésus. Ainsi Dieu n’attend pas de nous que nous soyons parfaits, mais que nous soyons aussi bons que nous le pouvons, que nous nous occupions du mieux possible de ceux qui peuvent moins s’occuper d’eux-mêmes, de protester contre les injustices et d’être là les uns pour les autres en aimant tous nos voisins autant que nous-mêmes et en nous rappelant les uns aux autres que nous ne voyageons pas seuls à travers cette vie.
Une partie de mon travail d’aumônier que j’aime bien est d’être présente avec les gens quand ils racontent leur récit de vie, quand ils racontent comment ils ont fait face à tous les obstacles qu’ils ont rencontrés au cours de leur vie et comment ils ont réussi à surmonter la majorité de ces obstacles. Certains de ces obstacles ont changé leur vie, certains leur faisaient peur, certains étaient remplis de décisions à prendre rapidement sans avoir beaucoup de temps pour les prendre.
Maisdanschaquerécit de vie quej’ai entendu, j’aientenduparler de moments incroyables de grandegrâce au milieu des luttes. J’aientenduparler de guérisons, non pas physiques maisspirituelles. J’aientenduparler de miracles de vie et de mort. Une des choses trèsétonnantesest d’être capable d’entendre et de témoigner de ceshistoires, est d’être capable de voirDieu au travail- parfoismême sans que la personne ne le réalise.
Quand je demande à un patient qui partage avec moi son récit de vie, s’il se souvient avoirressenti la présence de Dieuou inversementlorsquec’estmoi qui leurditoù je vois le Seigneur au travail dansleur vie, alors les gens sontsouventsurpris par cette observation. Mais, après réflexion, ilsréalisentsouventqueDieu étaiteffectivementprésent.
Le fait d’être avec des personnes qui meurent durantces moments remplis de grâce me permet de servirDieud’unemanière formidable. En dépit de cequepensent les gens, accompagnerceux qui meurentn’est pas un fardeau, c’est un moment plein de respect mêlé d’admirationlorsquej’ai la possibilité de voir comment les gens ontvéculeur vie et comment ils en sontarrivés au point oùils en sont maintenantdansleur vie.
Oui, il y a des moments remplis de peine. Oui, il y a des moments remplis de douleur. Maisil y a aussi des moments où je suisprofondément remuée en voyantl’amourque les membres d’unefamilleéchangent au chevet d’un lit de malade. Cesont des moments de pure grâce parcequecesont des moments où je peux rappeler aux personnesprésentesqueDieu aussiestprésent et écouteleur histoire de vie, leurs questions, les douleurs de leursrêves non réalisés, leur amour non partagé, les chosesqu’ils n’ont pas dites , leursespoirsévanouis,leursrêves réalisés et leursespoirscomblés au-delà de toute imagination.
Et tousces moments sont des moments de vie et de témoignage de l’amour extraordinaire de la grâce de Dieu et de son amour pour nous tels que nous sommes. La souffrancespirituellepeutêtresoulagée quandunepersonnetouchée a puparler de ce qui lui arrive danssa vie, ce qui lui pose le plus de soucis, ce qui est en travers de sa route pour empêcherJésus d’être à leurscôtés pendant qu’ilsmeurent.
Etretémoin de ce type de souffrance et voir comment cettesouffrance a puêtresoulagée estl’une des parties les plus gratifiantes de mon travail d’aumônier et celapeutl’être pour toute personne qui accepte de s’asseoir à côté de quelqu’un et de l’écouterraconter son histoire de vie. La grâce devraitabonderquand on écoute les peurs de quelqu’un, son sentiment d’échecs, sesinsuffisances , quoiqu’ilait fait danssa vie qui luifasseéprouverces regrets.
De façoninévitablecettepersonnedevra rendre des comptes à Dieu pour cequ’elle a fait oun’a pas fait danssa vie. Mon travail et le travail de n’importe qui qui a le privilègebéni de pouvoirs’asseoir aux côtés de quelqu’un qui meurt, n’est pas de les condamnermais de les embrasser pour tout cequ’ilssont, de manière à cequelorsqu’ilsmourront, ilspuissent se souvenir quejamaisrien ne pourra les séparer de l’amour de Dieu.
De mêmequeDieu a étélàlorsque nous étions dans les utérus de nosmères, de mêmeDieu sera làlorsque nous mourrons. Ma prière pour vouscematinestquevous sachiezdansvotrecoeur et dansvotreâmeque Dieuvousaimecommevousêtes et vous accompagne pas à pas tous les jours de votre vie. Et je prie pour quevousréalisiezqueDieu estaussiproche de vousquechacun de vos mouvementsrespiratoires tout particulièrement
dansces moments de votre vie oùvousvous sentirez le plus seulset dansces moments où vousaurezl’impressiond’avoir fait quelque chose queDieu ne vouspardonnera pas. Sachez queDieuvouspardonneratoujours. Il vousfaut seulement dire à Dieuce qui se passe chez vous et ilvousfaut savoir queDieuvous comprend, vousécoute, vouspardonne et vous accueilleratoujoursdanssamaisonquecesoit icisurterreou chez luidans les cieux. AMEN
Catéchisme pour adultes Paroisseréformée du Bouclier Dimanche 26 mai 2013 Comment puis-je me préparer à ma mort ? Martha Jacobs Aumônier New York Presbyterian Hospital
Certaines de cescraintesviennent du sentiment que nous avonspeur de perdre le contrôle de notre corps pendant le processus qui nous conduiravers la mort. Certainescraintes viennentaussi de cettefantastiquetechnologie qui est à notre disposition aujourd’hui pour prolonger la vie qui, certes, peut prolonger nos vies, mais nous force aussi à nous demander à quel prix celaest possible pour nos corps et pour nosressourceslimitées.
Et, au fur et à mesureque la technologie devient de plus en plus sophistiquée et peut prolonger la vie d’unemanière qui semble presqueinfinie, ilest indispensable que nous nous formionssurcesproblèmes de vie, et que ceuxque nous aimons et qui s’occupent de nous, sachentquelssontnossouhaits au casoù il nous arriveraitquelque chose qui nous empêcheraitd’exprimernossouhaits nous- mêmes.
Quelmeilleurendroitquel’église pour parler de cesproblèmes ! Se confronter au processus du mourir et à la mort peutêtreuneexpérience de traversée du désert et le désertpeutêtre l’inconnu qui révèlel’incertitude de notre vie et l’incertitude de savoir vers quoi la vie nous conduit. De plus, ne pas savoir quand nous allonsmourir, nous demande d’être préparés, sachantqueDieu sera avec nous, dans la vie et dans la mort.
Comme Paul l’écritdans la lettre aux Romains : “Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur ». Donc qui mieux que notre paroisse pourrait nous conduire et nous accompagner à travers le désert de nos vies ?
Les conversations portantsur la fin de vie ne sont pas faciles à mener pour la plupartd’entre nous. Nous avonstousnoscroyances et notre propre conception de ce qui est “juste” pour nous. Pour cette raison, les conversations portantsur la fin de vie ne convainquent pas les autresce de qui est la position “juste” et ce qui est la “fausse” position. Il faut savoir comment VOUS ressentez la manièredontvotre corps est traitélorsquevousvousrapprochez de la fin de
votre vie de façon à cequevouspuissiez faire les choix et quevouspreniez les décisions qui sont “justes” pour vous. Le moment de faire savoir aux autres savoir quelssontvossouhaitsc’est MAINTENANT pendant quevousêtes encore capables de discutervossouhaits et de les faire conaître clairement. Ainsiilest important de menerces discussion et d’être sûrd’yinclurece qui est important à vosyeux pour quevotre vie ait un sens et aussi comment vouspouvezenvisager votre vie dansplusieursannées.
(par exemplelorsquej’aiécritmes premières directives anticipéesj’avais à peuprès 30 ans. A cette époque j’aiditsi je ne pouvais pas tout faire, je ne voulais pas continuer à vivre…. Eh bien, je vaisavoir 60 ans et j’aidit à la personne qui connaîtmessouhaitsqu’aussilongtemps que je suis en mesure de communiquer, alors tout vabien. Je peux assumer d’être dans un fauteuil roulantmais ne plus pouvoircommuniquerest différent et plus important pour moimaintenant que de pouvoirêtre en mesure de “tout faire”,
Notre conception de la vie et de la mort change au fur et à mesureque nous vieillissons; c’est pourquoiilestsi important que nous soyons conscients de la manièredontnospriorités peuvent changer avec les années qui passen de façon à ceque nous puissionsrelayercela auprès de notre “personne de confiance”. Il y a différentesmanièred’avoirce type de conversations, L’une des meilleuresfaçonsest de choisir un moment oùtoutevotrefamille
estprésente en même temps (si possible) parce qu’ilseraittrès utile à chacund’entendre directement de votre part quelssont vossouhaits. Ce ne sont pas de conversations faciles et beaucoup d’enfants (et même des enfantsadultes) ne veulent pas discuter de ces problèmes. Vouspourriezvousasseoirautour de la table de la suisineou de la salle à manger avec ceux qui voussont le plus proches.
Voiciquelques questions quevouspouvez utilisercomme guide - Qu’est-ce pour vousqu’ unevie qui a d- sens ? • qu’estque le mot “vivant “évoque en vous? • Y a-t- il des choses quevous DEVEZ pouvoir faire pour que la vie ait un sens à vosyeux ?Devezvousêtrecapablescecommuniquer ? Devez-vousêtrecapables de vousoccuper de vosfonctionscorporellesvous-mêmes ? • :vons de faire pou
estprésente en même temps (si possible) parce qu’ilseraittrès utile à chacund’entendre directement de votre part quelssont vossouhaits. Ce ne sont pas de conversations faciles et beaucoup d’enfants (et même des enfantsadultes) ne veulent pas discuter de ces problèmes. Vouspourriez inviter le jeuneThéo assisautour de la table avec ceux qui voussont le plus proches.
estprésente en même temps (si possible) parce qu’ilseraittrès utile à chacund’entendre directement de votre part quelssont vossouhaits. Ce ne sont pas de conversations faciles et beaucoup d’enfants (et même des enfantsadultes) ne veulent pas discuter de ces problèmes. Vouspourriez inviter le jeuneThéo assisautour de la table avec ceux qui voussont le plus proches.
Après avoirdituneprièrecomme par exemple le psaume 139 versets 1-18, 23-24 qui sera unepartie de mon sermon de ce matin, commencez à parler des élments de votre vie qui sontimportants pour vous, Voiciquelques questions qui peuventvous guider :
Qu’est-cequ’une vie qui a du sens pour vous ? Queveut dire “vivre” pour vous ? Y a-t-I des choses quevous DEVEZ pour faire pour quevotre vie ait un sens ? Par exempledevezyvouspouvoircommuniquer ? Devez-vousêtre en mesure de vousoccuper de vosfonctionscorporellesvous-mêmes ? Devez-vouspouvoirinteragir avec votrefamille et vosamisproches ? Qu’est-ce qui est le PLUS important pour vous ? Par exemple passer du temps avec votrefamille et vosamisproches ?
Voirgrandirvosenfantsouvospetits-enfants ? Aller à l’église et/ou faire des promenades en forêt ? Voulez-vousque tout soit fait pour vous maintenir en vie sans tenircompte de la qualité de la vie quevousaurezéventuellement ? Quelleest la place de Dieudansvotre vie et dansvotre mort ?
OùestDieudansvosdécisionconenantle type de soinsmédicauxquevoussouhaitezrecevoirlorsque voussereztrèsmaladesou en fin de vie ? Pensez-vousqueDieuvoudraitquevoussoyezconnectés à des machines qui maintiennentvotre corps en état de marchemêmesivousêtes incapable de bouger, de répondre sans espoird’améliorationou de guérison ? Voulez-vousêtredonnerd’organesou de tissussi vosorganesoutissussontviablessivousdeviez être en état de mort encéphalique ?
Y a-t-il des considérationsd’ordre familial qui pourraient influencer vossouhaitsconcernant un éventueltraitementmédicalsivousdevieztomber malade ? A nouveau ce ne sont pas des conversations faciles à menermais les menerdans le contexte de votre foipeutêtretrèsaidant à la fois pour vous guider et pour aider votrefamille à comprendrevosvaleurs et ce qui est important pour vous,
Il y a à peuprèsquinzeans, ilyaeuuneétude qui a étéfaite à Kansas City dansl’état du Missouri. Les pasteurs, prêtres et autresresponsables de commuanutésreligieusesontétéinvités à participer à uneséried’ateliers de travail et ontété équipés de matériel pour les aider à se perfectionner concernant les problèmes de fin de vie. Cettesérie d’ateliers a conduit au “ sabbat de compassion”, un week-end où les gens qui sontallésce week-end à l’église et sunagoguesontdans plus de 300 églises et synagogues un sermon les incitant à se préparer pour la fin de leur vie.
Puis des ateliers étaientorganisés pour que les gens puissentremplir des directives médicales anticipéesouqu’ilsaient au moinsl’occasion de débuter des conversations concernantleurs souhaits de savoir comment ilsvoulaientqu’on traiteleur corps en fin de vie. Cela a été un événement qui a eu beaucoup de succès et d’autresvillesaméricainesontutilisé le modèle du “sabbat de compassion” pour mobiliser leurs communautésautour des problèmes de vin de vie.
Un des résultats du” sabbat de compassion” a été le début de conversations entre les membres des familles et leursresponsables religieux de communautés qui ontpermisqu’il y aitmoins de confusion et de migraines lorsqu’un procheétaitmalade, plus capable de communiquer et que des décisions de fin de vie étaient à prendre.
Commeleursrepsonsablesreligieux connaissaientleurssouhaits, cela a aider les familleslorsquecesdécisionsdIfficilesont du êtreprises. Le responsblesreligeuxétaitlà pour soutenir la famille et les aider à être au clair concernant les souhaits de la personne concernée. Et tout cela a étéorganisé de manièrepriantece qui permettait de s’assurer aussi la présence de Dieu en cescirconstances.
Les paroissesjouent un rôletrès important dans l’aide à ceux qui sont en train de mourir. L’une pouvons des histoiresque nous pouvons apprendredans la Bible estcelle d’un groupe d’hommes qui rencontrentunegrandefoule, si Grande quecegroupe ne peutatteindr la maison avec leuramiqu’ilveulentvoirguéri par Jésus, Alrsque font-ils ? Ilstrouvent un moyen… un moyen radical… Ils font un troudans le toit et descendent leurami pour qu’ilpuisseatteindre Jésus.