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Mouvements de population, urbanisation, métropolisation. Lille. Manche. Douai-Lens. Rouen. Rennes. Strasbourg. PARIS. Nantes. Océan atlantique. Lyon. Bordeaux. Grenoble. Nice. Montpellier. Toulouse. Toulon. Marseille. Mer Méditerranée.
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Mouvements de population, urbanisation, métropolisation Lille Manche Douai-Lens Rouen Rennes Strasbourg PARIS Nantes Océan atlantique Lyon Bordeaux Grenoble Nice Montpellier Toulouse Toulon Marseille Mer Méditerranée
Mouvements de population, urbanisation, métropolisation • 1. Une France dominée par les grandes métropoles 1.1 Une armature urbaine hiérarchisée Paris, à la tête d’un réseau urbain macrocéphale, réunissant 11.8 M d’hab, soit 1 français sur 5. Métropole de rang mondial : concentration des fonctions de commandement de rang national et international, dans tous les domaines : politique, culturel, économique. Aires urbaines millionnaires en 2008 (Lyon = 2 ; Marseille = 1.7 ; Toulouse = 1.2 ;Lille = 1.1 ; Bordeaux = 1.1 ; Nice = 1) Métropoles régionales, concentrant fonctions de commandement à rayonnement régional : Autres métropoles régionales (Nantes = 854 000 ; Strasbourg = 750 000 ; Grenoble = 664 000 ; Rennes = 654 000 . Rouen = 650 000, Toulon = 600 000 ; Douai-Lens = 540 000 ; Montpellier = 534 000 Aires urbaines qui perdent des habitants ou qui stagnent (tx croissance < 0.3) Rouen, Lille • 1.2 Des aires urbaines inégalement dynamiques Aires urbaines attractives (tx croissance >0.8% entre 1999 et 2008) : Toulouse ; Rennes, Montpellier , Bordeaux, Nantes puis Lyon, Marseille-Aix ; Nice ; Toulon Aires urbaines à la croissance moyenne (0.3 à 0.7) : Paris, Strasbourg, Grenoble, • II. Les dynamiques de population et les dynamiques urbaines • 2.1 Des espaces inégalement attractifs (carte 6 p109 à simplifier) Espaces au solde migratoire négatif : France rurale et anciennes régions industrielles où l’emploi décline Espaces au solde migratoire positif du fait de la proximité d’une grande ville ou d’un cadre de vie agréable (littoralisation, héliotropisme) Cas particulier de la région francilienne : attractive pour les jeunes et les populations étrangères mais solde migratoire globalement négatif. Croissance liée à sa démographie. • 2.2 Les mobilités des français A l’échelle des villes : l’étalement périurbain qui accentue les migrations pendulaires vers le pôle urbain où se trouve les espaces d’activité. A l’échelle du territoire : effets de la littoralisation et de l’héliotropisme (attractivité des Régions ensoleillées)