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1. MENU L’ouvrage est en biais par rapport au lit du fleuve et il est nécessaire d’aligner les tours parallèlement au courant afin de perturber le moins possible l’écoulement des eaux, surtout en période de crues.

2. MENU

3. MENU La Seine Chenal de navigation : 86 m Viaduc d’accès nord 70.2° Travée levante : 119.25 m Viaduc d’accès sud Vue de dessus du pont levant

4. Gabion La Seine 70.2° Travée levante amont Appuis des travées levantes Fûts de la tour Socle Travée levante aval Viaduc d’accès sud Gabion Vue de dessus partielle du pont levant MENU Le socle sur lequel reposent les appuis du pont, ainsi que les gabions de protection, sont orientés de façon à être parallèles au courant de la Seine. Ce qui donne un angle de 78 grades (70,2°) par rapport à la direction des travées levantes.

5. MENU PHEC : Niveau des Plus Hautes Eaux Connues NGF : Nivellement Général de la France (Altitude par rapport au niveau de la mer) PHEC : + 5,67 NGF La Seine Lit de la Seine : -8,00 NGF -8,70 NGF Alluvions sablo-graveleuses -11.90 NGF Calcaire marneux -27,00 NGF Vue en élévation des appuis et fondations

6. Platine Tablier Les charges, appliquées au socle, sont transmises au sol par l’intermédiaire de fondations profondes de type pieux, constituées de tubes métalliques remplis de béton. Ces pieux ont un diamètre de 1800 mm et une longueur d’environ 20 m. Les appuis en béton armé reposent sur un socle de forme ovoïde (35 m de longueur, 20 m de largeur) également en béton armé, reposant sur le lit de la Seine. Les tabliers reposent sur des appuis en béton armé, par l’intermédiaire de platines fixées en sous face sur la largeur de l’appui. Platine Appui Appui béton armé Socle Socle 15 m Pieu 20 m MENU Vue en élévation des appuis et fondations

7. MENU Le pont est situé dans la zone maritime, donc des navires de fort tonnage passent à proximité, voire dessous en ce qui concerne les paquebots et l’Armada. Ils doivent pouvoir accoster près du centre ville. Records obtenus par le port maritime de Rouen : Il est nécessaire d’envisager le cas d’un navire en perdition suite à une panne des moteurs ou du gouvernail. La structure du pont est incapable de reprendre le choc d’un navire de près de 158 000 tonnes. Il est donc indispensable de mettre en place des éléments protégeant les socles, supports des piles du pont levant. Les solutions les plus utilisées sont, soit de mettre en place des enrochements autour des socles, soit de construire des structures de part et d’autre des socles, servant de butoirs.

8. La Seine Gabion 70.2° Fûts de la tour Socle Gabion Vue de dessus partielle du pont levant MENU A proximité des socles, la profondeur de la Seine est relativement importante (de l’ordre de 15 mètres). L’enrochement autour des socles n’est pas choisi du fait des volumes très importants de matériaux à mettre en œuvre. La solution retenue est donc la mise en place de gabions de part et d’autre des socles. Ces éléments sont positionnés sur un axe parallèle à la route fluviale, donc orienté suivant la direction principale de navigation.

9. La Seine Gabions MENU Les gabions sont de forme cylindrique en béton armé, de 22 m de diamètre, remplis de tout venant (mélange sablo-graveleux) et reposent sur le lit de la Seine. Ils ont une hauteur d’environ 15 mètres. Le remplissage en tout venant sert à alourdir les gabions, mais également à absorber l’énergie en cas de choc, afin d’endommager le moins possible le bateau.

10. La Seine 70.2° Vue de dessus partielle du pont levant MENU Les efforts dus au poids des gabions et du remplissage en tout venant, sont transmis au sol par l’intermédiaire de fondations profondes de type pieux, constituées de tubes métalliques remplis de béton. Ces pieux ont un diamètre de 1800 mm et une longueur d’environ 20 m. 22 m Gabion 15 m 20 m Pieu Vue en élévation des appuis, gabions et fondations

11. MENU Sur le diaporama intégré au DVD, le schéma est complété en faisant glisser les vignettes au bon endroit