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Atelier de démarrage du PIRAM Kinshasa, du 28 février au 4 mars 2011. Communication et Gestion des connaissances. COMMUNICATION ET VISIBILITE. Contexte Présence renforcée du FIDA dans les pays/Décentralisation Ampleur du Portefeuille FIDA
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Atelierde démarrage du PIRAM • Kinshasa, du 28 février au 4 mars 2011 Communication et Gestion des connaissances
COMMUNICATION ET VISIBILITE • Contexte • Présence renforcée du FIDA dans les pays/Décentralisation • Ampleur du Portefeuille FIDA • Importance que la Communauté internationale accorde à l’agriculture et au développement rural • Information et Communication: enjeux, mutations en cours (intranet/ internet) • Défis Des efforts plus intenses et plus structurés autour de trois piliers • les communications internes entre le bureau/pays et le terrain, c’est à dire les projets, les populations bénéficiaires et les prestataires de services • les communications externes avec les pouvoirs publics, le SNU, la société civile, le secteur privé et les média) • la visibilité des réalisations.
COMMUNICATION ET VISIBILITE But - Accroître par la communication l’efficacité opérationnelle et l’impact des programmes et projets Implications sur le terrain • Renforcer la communication interne - entre les projets/pays (partage d’informations, visites d’échanges et de partage d’expériences, mieux comprendre la vision, la mission du FIDA) - avec les partenaires/prestataires de services. • Renforcer la communication avec les populations - Développer des activités de sensibilisation, d’information et de communication (ateliers d’information, émissions radios de proximité, rencontres de partage et d’échanges entre bénéficiaires, …) - Donner davantage la parole aux populations rurales pauvres (sexe, âge, statut) avec un focus sur les femmes et les jeunes - Renforcer la capacité à communiquer des populations rurales pauvres.
COMMUNICATION ET VISIBILITE • Renforcer la communication externe - Développer des partenariats institutionnels et des synergies intersectorielles (SNU, Pouvoirs publics, Ministères concernés, Société civile, Secteur privé…) - Assurer le plaidoyer et le dialogue politique en tirant parti de son expérience, de ses compétences internes et de ses avantages comparatifs - Amener le FIDA à se positionner en tant que chef de file du développement agricole et rural dans le pays. • Améliorer la visibilité de nos réalisations sur le terrain (résultats et impacts) - Mieux communiquer sur les projets et les réalisations sur la base d’activités planifiées et d’outils appropriés (panneaux d’indication, d’affichage, de commémoration, visites de terrain en relation avec les autorités locales) • Bâtir de solides partenariats avec les media locaux et nationaux (Profil et image) et augmenter leur compréhension des questions de pauvreté rurale et de développement agricole
Quelques pistes de reflexion /Communication • Tirer parti de la décentralisation en cours • Renforcer les capacités internes des bureaux pays en RH/Communication • Faire figurer la Composante Communication dans les PTBA • Echanges et partages d’expériences entre les programmes /projets • Davantage axer nos messages sur nos réussites (mêmes limitées), notre efficacité et notre expertise • Tire parti du réseau FIDAfrique et du site web FIDA qui demeure la façade publique du FIDA pour le plus grand nombre de personnes • Améliorer la promotion et la diffusion des publications au niveau opérationnel (le terrain et les projets) • Se doter d’un dispositif de suivi-évaluation performant et efficace pour apprécier les résultats et l’impact des activités réalisées ainsi que des ressources mobilisées.
La gestion des connaissances But? Renforcer la pertinence et l’efficacité des services en prenant appui sur les leçons tirées : • de nos programmes et projets (conception, mise en œuvre et évaluation finale) • et des expériences de nos partenaires , des populations rurales notamment. Objectifs ? • Promouvoir les bonnes pratiques (éviter de répéter les erreurs du passé) • Identifier les innovations, les stabiliser en vue de les reproduire à grande échelle • Influencer les politiques nationales de lutte contre la pauvreté rurale Questions-clef : comment? • Identifier, capter/capturer et documenter ces expériences et leçons tirées • Organiser, partager, archiver les innovations • Valoriser, protéger, partager les savoirs locaux dans une perspective d’innovation • Optimiser la gestion des connaissancesavec le réseaux régionaux • Passer des cas isolés de best practices à la masse critique (niveaux village, CR)
La gestion des connaissances Dispositif opérationnel du PIRAM • Les cadres d’élaboration des Plans locaux de développement (populations bénéficiaires, ONG/PS, services de l’Etat, les autorités locales) • Les ateliers de bilan annuel au niveau de chaque bassin (acteurs de l’exécution du programme, acteurs du pilotage, projets des autres partenaires) • Le dispositif de suivi-évaluation au service de tous les acteurs et partenaires (identification des succès/échecs, capitalisation de bonnes pratiques et effets sur les exploitations familiales, les groupes-cibles selon le genre, l’âge, statut socio-économique…) • Supervision du projet/revue à mi-parcours (appréciation des résultats/impacts enseignements à partager avec le Gouvernement et les partenaires, capitalisation) Réseaux régionaux des connaissances Dons régionaux : don pour la lutte contre les maladies du manioc), don pour la diffusion des variétés NERICA et Projet de renforcement des capacités des projets/ FIDA Réseau Fidafrique: Partenaire du FIDA/efficacité et impact des projets en AOC (appui aux projets, OP et l’UCP dans les démarches de capitalisation et d’échanges avec les autres projet/FIDA.
La gestion des connaissances Quelques pistes d’action • Donner davantage la parole aux partenaires dont les populations rurales • Ecouter et/ou renforcer notre capacité d’écoute et d’observation (équipe-pays, projets et terrain/populations • Créer des espaces d’intéraction dynamique et productive avec les partenaires • Améliorer la technicité des intervenants dans le cycle des programmes (dotation d’outils efficaces d’identification, de codification et de collecte de bonne pratique ou d’innovation) • Mettre à la disposition des nouveaux programmes/projets les expériences et bonnes pratiques documentées (selon leurs centres d’intérêt) • Encourager les partenariats et échanges avec les projets (pays et sous-région) • Encourager les équipes d’élaboration de projets/siège à intéracter davantage avec le terrain (visites de terrain).