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Les doctorants de l’URCA. Questionnaire envoyé à tous les doctorants de l’URCA. Échantillon. 150 réponses : 50,8 % en SHS 49,2 % en STS 32,6 % en 1 e année 33,7 % en 2 e année 22,1 % en 3 e année 5,3 % en 4 e année 4,2 % en 5 e année 2 % en 6 e année et au-delà
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Les doctorants de l’URCA Questionnaire envoyé à tous les doctorants de l’URCA
Échantillon • 150 réponses : • 50,8 % en SHS • 49,2 % en STS • 32,6 % en 1e année • 33,7 % en 2e année • 22,1 % en 3e année • 5,3 % en 4e année • 4,2 % en 5e année • 2 % en 6e année et au-delà 38 % étaient inscrits à l’URCA avant d’engager une thèse
43,7 % sont allocataires ou allocataires-moniteurs • 24,5 % ont un emploi hors enseignement • 9,6 % sont financés par leur famille • 8,5 % sont en CIFRE • 8,5 % sont vacataires • 8,5 % sont enseignants dans le secondaire • 5,3 % sont ATER
Pourquoi une thèse ? • Les raisons d’une inscription en thèse sont : • L’intérêt pour la recherche : 58,2 % • Les débouchés : 21,4 % • L’équipe de recherche et le sujet : 11,2 % • La relation avec l’industrie (CIFRE) : 2 % • La qualité de la formation à l’URCA : 2 % • L’obtention du diplôme : 2 % • Le ressenti d’un besoin : 1 % • La création de nouveaux produits : 1 % • L’incitation du laboratoire : 1 %
Avant de commencer une thèse, les étudiants étaient informés sur : • Les financements possibles : 50 % • La charte des thèses : 46,7 % • Les débouchés après la thèse : 34 % • Les conditions de travail : 28,7 % • Les difficultés : 25,3 % • Les moyens à disposition : 21,3 % • Les méthodes de travail : 21,3 %
49,3 % des doctorants sont intéressés par une demi-journée de présentation sur ces éléments (financement, organisation de la thèse, choix du sujet…) • 67,3 % des doctorants sont intéressés par un guide papier regroupant ces éléments
Besoins des doctorants Le type d’information recherché par les doctorants porte sur : • Les débouchés : 33,3 % • La méthode : 15,9 % • Le financement : 15,9 % • L’encadrement : 14,3 % • Les moyens nécessaires : 4,8 % • Les difficultés rencontrées : 4,8 % • L’encadrement : 3,2 % • Les droits et devoirs du doctorant : 3,2 % • Les publications : 3,2 % • L’aide à la recherche : 1,6 %
Les formations A été jugée très majoritairement utile la formation en anglais. Ont été jugées de façon controversée les formations sécurité, Nouveau chapitre la thèse, les Doctoriales, le TOEIC. Ont été peu cités mais de façon unanime la Gestion du stress, la BU, et EGEE Certains des doctorants s’inquiètent de ce qu’elles soient rendues obligatoires.
46,8 % des doctorants sont satisfaits des formations proposées par l’école doctorale (dont 5,1 % très satisfaits) • 53,2 % sont insatisfaits (dont 8,9 % très insatisfaits)
Suggestions de formations Les formations suggérées portent sur (importance décroissante) : • L’anglais par discipline • La rédaction d’articles scientifiques • La méthodologie de la rédaction d’une thèse • Les statistiques et traitements de données • L’informatique • La préparation de la soutenance • La prise de parole en public
Conditions de travail • 56 % connaissent le contenu de la charte des thèses de l'URCA • 50,7 % ont un bureau pour travailler • 49,3 % travaillent sur un ordinateur individuel • 17,3 % partagent un ordinateur mis à disposition dans une salle • 31,3 % sont favorables à une salle réservée aux doctorants • 34 % ont un remboursement de leurs frais de déplacement • 35,3 % ont un paiement de leur inscription aux colloques • 46,7 % ont été informés sur l'importance des publications • 49,3 % souhaiteraient une formation sur les publications • 62 % souhaitent la mise en place d'un service d'aide à la préparation matérielle de la soutenance
29,3 % connaissent la procédure de qualification CNU • 54,7 % souhaitent une information à ce sujet • 20 % ont des informations sur les possibilités d'insertion professionnelle dans le privé • 56 % souhaitent une information à ce sujet • 54 % sont intéressés par la mise en place d'un réseau d'anciens doctorants • 58,7 % souhaiteraient y participer en tant que professionnel une fois leur thèse soutenue • 50,7 % des doctorants souhaitent devenir enseignants-chercheurs • 2,7 % souhaitent être dans la recherche privée • 16,7 % souhaitent ne pas être dans la recherche