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CONTRÔLE DE LA TRYPANOSOMIASE HUMAINE AFRICAINE

CONTRÔLE DE LA TRYPANOSOMIASE HUMAINE AFRICAINE. Quelques défis après le MCM Pascal Lutumba RD CONGO. SITUATION THA EN RDC. 20 000 cas chaque année donc plus de la moitié des cas déclarés en Afrique. 10 % de couverture de la population à risque? 133 districts sanitaires touché sur 306

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CONTRÔLE DE LA TRYPANOSOMIASE HUMAINE AFRICAINE

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Presentation Transcript


  1. CONTRÔLE DE LA TRYPANOSOMIASE HUMAINE AFRICAINE Quelques défis après le MCM Pascal Lutumba RD CONGO

  2. SITUATION THA EN RDC • 20 000 cas chaque année donc plus de la moitié des cas déclarés en Afrique. • 10 % de couverture de la population à risque? • 133 districts sanitaires touché sur 306 • Urbanisation de la THA : Kinshasa, Mbujimayi etc.

  3. INTRODUCTION • Le cours MCM nous a permis de rendre compte des difficultés de • rationalité, évidence et efficience dans le contrôle de la THA notamment: • Planification stratégique • Mise en œuvre • Éthique et recherche

  4. PLANNIFICATION STRATEGIQUE • Les stratégies sont basées sur l’empirisme • Leur efficacité opérationnelle inconnue • Le niveau d ’endémicité est calculé en se basant sur le TI? • Mélange cas passif et actif. • Dénominateur incorrect • Le PNLTHA a changé la manière de calculer mais le dénominateur?

  5. MISE EN ŒUVRE COLLABORATION ENTRE PARTENAIRES • La responsabilité technique, administrative et logistique des zones d ’intervention • Rôle de chaque partenaire. • Exemples: • Un médecin coordonnateur provincial est sous la responsabilité: • Administrativement par le Médecin Inspecteur Provincial, la direction du programme, l ’ONG

  6. MISE EN ŒUVRE 2COLLABORATION ENTRE PARTENAIRES • Techniquement par l ’ONG, la direction du programme • Logistique et finance par l ’ONG après décision du CC • Si bon Résultat Ok Sinon ?? on se rejette la responsabilité et cela est à l ’origine des conflits permanents. • Solution: contrats programmes avec les ONG? Rôle du BCT alors?

  7. MISE EN ŒUVRE 3 • Évidence des stratégies utilisées: • Palpation ganglionnaire avec sérologie CATT • Lutte contre le vecteur • Participation communautaire surtout en milieu urbain • Validité des tests sérologiques • Contenu de l ’intégration

  8. MISE EN ŒUVRE 4 • Organisation des supervisions • Adéquation entre information récoltée et celles dont on utilise effectivement. • Traitement informatique des données difficiles à introduire.

  9. ÉTHIQUE ET RECHERCHE • Le comité éthique est assez jeune. • La durée d ’approbation longue liée au paiement des frais. • Consentement éclairé : pas l ’habitude, ne peuvent pas signer alors empreinte digitale.

  10. ETHIQUE ET RECHERCHE 2 • Compensation pour participation à l ’étude difficile à justifier et à organiser. • Devient l’élément amenant le malade à accepter l’essai!

  11. CONCLUSION • Écart entre ce qui se fait et les notions d ’évidence, de rationalité et d ’efficience. • Il faudrait du temps et du tact pour arriver à le réduire. • masse critique ayant une même vision et idéologie

  12. CONCLUSION 2 • Former davantage pour avoir une masse critique • afin de passer du traditionnel à la rationalité, l ’efficience et l ’évidence tenant compte des coûts d ’opportunité

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