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Fernandel Un dur, un vrai, un tatoué. Moi Montebourg!,. Par Nanou et Stan. Tu me reconnais petite tête ? Non, non monsieur Ah, ah, ah ! Forcément je suis mon frère. Je ne porte pas de perlouzes Je ne suis pas un nervi Je trouve que ça fait tartouze Et c'est pourquoi moi je vous le dis
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Fernandel Un dur, un vrai, un tatoué Moi Montebourg!, Par Nanou et Stan
Tu me reconnais petite tête ? Non, non monsieur Ah, ah, ah ! Forcément je suis mon frère
Je ne porte pas de perlouzes Je ne suis pas un nervi Je trouve que ça fait tartouze Et c'est pourquoi moi je vous le dis J'ai l'air de ne pas avoir l'air Mais avec mon air je fais la pige à Bébert
Je suis un dur, un vrai, un tatoué Je fais pas des magnes Qu'est-ce qu'on y gagne pour les tournants Mais faut pas me les jouer J'ai risqué le bagne faut l'avouer J'ai bouffé du cannibale
J'ai même digéré des balles Il en faut pour que je m'emballe Je sais discuter car des bataillons d'Afrique Je porte la marque de fabrique Et voilà tout le portrait D'un tatoué, d’un dur, d’un vrai
Pour l'amour c'est la même chose Je suis un type à passions Les gonzesses voient tout en rose Quand je leur flanque des gnons Et v'lan ! Ce n’est pas du boniment Pas besoin de serments Je les ai au sentiment Si tu reviens Audrey, je te rends le robot
Je suis un dur, un vrai, un tatoué Je fais pas des magnes Qu'est-ce qu'on y gagne pour les tournants Mais faut pas me les jouer J'ai risqué le bagne faut l'avouer J'ai bouffé du cannibale
J'ai même digéré des balles Il en faut pour que je m'emballe Je sais discuter car des bataillons d'Afrique Je porte la marque de fabrique Et voilà tout le portrait D'un tatoué, d’un dur, d’un vrai
Quand je joue à la belote Au petit bistrot du coin Faut pas m'en mettre plein les bottes Car aussitôt je fais du foin De quoi ? il y a pas de pourquoi Les autres restent cois Alors je dis narquois :
Je suis un dur, un vrai, un tatoué Je ne fais pas des magnes Qu'est-ce qu'on y gagne pour les tournants Mais faut pas me les jouer J'ai risqué l'bagne faut l'avouer J'ai bouffé du cannibale
J'ai même digéré des balles Il en faut pour que je m'emballe Je sais discuter car des bataillons d'Afrique Je porte la marque de fabrique Et voilà tout le portrait D'un tatoué, d’un dur, d’un vrai De quoi ? Monsieur Montebourg moi le mou
Fernandel, de son vrai nom Fernand-Joseph-Désiré Contandin, est un chanteur, acteur et réalisateur français né le 8 mai 1903 à Marseille (Bouches-du-Rhône) et mort le 26 février 1971 à Paris. Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français, champion du box-office qui attira plus de 100 millions de spectateurs dans les salles. Comique emblématique du cinéma d'après-guerre, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également brillé dans les compositions plus dramatiques notamment dans La Vache et le Prisonnier, Naïs ou Heureux qui comme Ulysse. Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à sa fameuse « gueule de cheval » comme il se plaisait à le dire lui-même, il acquit une popularité telle en France et dans le monde que le général de Gaulle déclara qu'il était le seul Français à être aussi célèbre que lui. Son succès ne s'est jamais démenti. Marcel Pagnol dit aussi de lui : Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin Il est le père du chanteur comédien Franck Fernandel et le grand-père de l'écrivain Vincent Fernandel. Son frère était également comédien sous le pseudonyme de Fransined. Vedettariat Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque, Un de la légion et François Ier (1936), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), La Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951). Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en film par la suite. Certaines des chansons qui y sont interprétées deviennent des « tubes », comme Ignace, Simplet ou Félicie aussi. En 1937, il publie ses premières mémoires en feuilletons qui s'arrachent dans le quotidien communiste Ce soir En 1939, à la suite de la déclaration de guerre à l'Allemagne, il est mobilisé pendant la « drôle de guerre » à Marseille dans le 15e escadron du train des équipages. Il est cantonné dans la cour de son unité après avoir provoqué une émeute lors de son premier tour de garde[7], puis démobilisé à la suite de la signature de l'armistice. Il a entre temps enregistré Francine (1939), chanson très engagée contre la propagande allemande. …./…..
Le 18 janvier 1953 alors qu'il était à Rome avec sa fille Jeanine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ». Autres activités[modifier] Tombe de Fernandel au cimetière de Passy.Réalisateur de trois de ses films (Simplet en 1942, Adrien en 1943 et sur un scénario de Sacha Guitry : Adhémar ou le Jouet de la fatalité en 1951), il fonde en 1963 avec Jean Gabin la société de production Gafer[11]. Leur première production sera L'Âge ingrat de Gilles Grangier. Fernandel a également remporté un grand succès avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.); Grand prix du disque de l'académie Charles-Cros. Atteint d'un cancer du poumon, il meurt le 26 février 1971 dans son appartement de l'avenue Foch à Paris. Il est inhumé au cimetière de Passy[1]. Il était propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « Les Mille Roses ». Filmographie[modifier] Don Camillo Ses films des années 1940 seront peu marquants, essentiellement tournés pour la Continental-Films. Comme nombre d'artistes sous l'Occupation, il continue de chanter dans des cabarets et fredonne sur Radio Paris. Dans les années 1950, il retrouve le succès grâce à des films comme L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara, Ali Baba et les Quarante voleurs (1954) de Jacques Becker et surtout La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil tourné en 1959. Mais c'est surtout la série des Don Camillo, tirés de l'œuvre de Giovannino Guareschi dans laquelle le curé et le maire communiste d'un petit village italien se livrent une lutte d'influence, qui va lui apporter l'immortalité. Il tourne six films : Le Petit Monde de don Camillo (1951) et Le Retour de don Camillo (1953) de Julien Duvivier, puis, avec d'autres réalisateurs, La Grande Bagarre de don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les Contestataires, qu'il commence en 1970 mais ne pourra achever en raison d'un cancer qui va l'emporter l'année suivante. Le 18 janvier 1953 alors qu'il était à Rome avec sa fille Jeanine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ». Fernandel a également remporté un grand succès avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.); Grand prix du disque de l'académie Charles-Cros. Atteint d'un cancer du poumon, il meurt le 26 février 1971 dans son appartement de l'avenue Foch à Paris. Il est inhumé au cimetière de Passy Il était propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « Les Mille Roses ». Nanou et Stan le 08/10/2014