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Retour cours pr?c?dent. . MISE EN SITUATION:. Vous ?tes travailleuse sociale en milieu scolaire. On vous sollicite concernant un enfant consid?r? turbulent. Quelle est la bonne fa?on d'intervenir? Intervenir sur:. Le comportement de l?'enfant. Le rapport famille/?cole. La dynamique familiale. L'organisation du syst?me scolaire pr?vue par le minist?re de l'?ducation.
E N D
1. PROBLÉMATIQUE DE L’ÉDUCATION PRÉSCOLAIRECours 3 lundi 21 janvier 2008
Objectifs du cours:
L’approche écologique du développement humain : une perspective écosystémique de l’intervention éducative selon le modèle de Bronfenbrenner (1979)
La résilience
La notion de prévention : facteurs de risque et facteurs de protection
2. Retour cours précédent
4.
6. L’approche écologique(Bronfenbrenner,1979) Les approches traditionnelles du développement et l’approche écologique
Prend ses racines dans le domaine de la biologie et des sciences naturelles
Adopte une perspective multidisciplinaire :
perspective systémique de la réalité
une conception phénoménologique
une conception constructiviste
Permet de comprendre la nature des interrelations qui relient
l’individu et son environnement
Met l’accent sur la relation qui s'établit entre les niveaux d’environnement et les individus (perspective systémique de la réalité)
Elle se diffère des approches traditionnelles en parce qu’ elle ne situe les causes profondes du développement et de l’ apprentissage ni dans l’ individu ni hors individu, mais bien dans les interactions entre l’ individu e te son milieu.Elle se diffère des approches traditionnelles en parce qu’ elle ne situe les causes profondes du développement et de l’ apprentissage ni dans l’ individu ni hors individu, mais bien dans les interactions entre l’ individu e te son milieu.
7. Le développement
Pour Bronfenbrenner, le développement intégral de l'enfant aux niveaux social, cognitif et affectif est corrélatif à la nature de plus en plus complexes des activités d'échanges réciproques par lesquelles l'enfant établit, auprès des personnes autour de lui, un sentiment positif d'attachement affectif. Relations dyadiques (complémentaire).Le rôle de l'adulte est alors indispensable pour assurer ce développement.
Cependant, pour y arriver, il faut considérer que la participation de l'adulte se traduit par des interactions réciproques qui impliquent la réalisation d'activités significatives et adéquates au développement de l'enfant .
Autrement dit, l'enfant développe auprès de l'adulte un fort sentiment d'affectivité qui lui donne la sensation d'être en sécurité. De plus, l'attachement suppose essentiellement le développement d'une relation affective chaleureuse et la présence d'un partenaire avec lequel l'enfant se sent en confiance, pouvant ainsi faire des échanges et participer à des activités réciproques.Pour Bronfenbrenner, le développement intégral de l'enfant aux niveaux social, cognitif et affectif est corrélatif à la nature de plus en plus complexes des activités d'échanges réciproques par lesquelles l'enfant établit, auprès des personnes autour de lui, un sentiment positif d'attachement affectif. Relations dyadiques (complémentaire).Le rôle de l'adulte est alors indispensable pour assurer ce développement.
Cependant, pour y arriver, il faut considérer que la participation de l'adulte se traduit par des interactions réciproques qui impliquent la réalisation d'activités significatives et adéquates au développement de l'enfant .
Autrement dit, l'enfant développe auprès de l'adulte un fort sentiment d'affectivité qui lui donne la sensation d'être en sécurité. De plus, l'attachement suppose essentiellement le développement d'une relation affective chaleureuse et la présence d'un partenaire avec lequel l'enfant se sent en confiance, pouvant ainsi faire des échanges et participer à des activités réciproques.
8. L’ approche écologique et développement de l’enfant
Le développement de l’enfant est relié aux interactions qu’il maintient avec son environnement :
école, famille, amis, centre de loisirs, les médias, etc. les caractéristiques de ce dernier ont un rôle à jouer dans la qualité de ce développement (Bronfenbrenner, 1979)
les caractéristiques de ce dernier ont un rôle à jouer dans la qualité de ce développement (Bronfenbrenner, 1979)
9. L’environnement écologique
Conçu en tant qu’un ensemble des structures concentriques (poupées russes) incluses l’une sur l’autre et qui maintient entre elles, soit à l’intérieur ou l’extérieur, des relations de plusieurs degrés.
10. Le modèle écologique en tant qu’approche systémique de la réalité
Propose différents niveaux d’analyse de multiples systèmes qui composent une niche écologique
La niche écologique est composée de différentes couches systémiques imbriquées les unes dans les autres, à la manière de poupées russes
Le modèle écologique propose différents niveaux d’analyse:
- le microsystème
- le mesosystème
- l’exosystème
- le macrosystème
- le chronosystème
- ontosystème
Dans une perspective systémique, l’analyse s’est fait toujours à partir de l’individu, son environnement et les facteurs qui ont une influence autour de lui;
Dans une perspective systémique, l’analyse s’est fait toujours à partir de l’individu, son environnement et les facteurs qui ont une influence autour de lui;
11. Structure écologique du modèle écologique Le modèle de Bronfenbrenner implique des relations complexes entre différentes systèmes.Le modèle de Bronfenbrenner implique des relations complexes entre différentes systèmes.
12. L’ approche écologique et l’intervention
Propose d’agir sur plusieurs niveaux à la fois afin de réduire l’impact des facteurs de risque et de promouvoir l’action des facteurs de protection.
les caractéristiques de ce dernier ont un rôle à jouer dans la qualité de ce développement (Bronfenbrenner, 1979)
les caractéristiques de ce dernier ont un rôle à jouer dans la qualité de ce développement (Bronfenbrenner, 1979)
13. La transition écologique Surviens à chaque fois que la position d'une personne est modifiée dans l’environnement suite d’un changement dans ses activités, relations ou rôles.
Ces changements viennent à modifier la position écologique de la personne.
14. Le microsystème Il s’agit du milieu plus proche de la personne;
Il représente à la fois son milieu de vie immédiat et les personnes avec qui il a des relations directes.
Représente le milieu immédiat dans lequel se déroulent les activités, les rôles et les relations qui affectent directement le développement de la personne
les interactions sont directes; on réfère aux lieux physiques, mais également aux personnes et objets, aux activités et rôle qui s’y déroulent;
la famille est le système qui exerce le plus d’influence sur le développement de l’enfant (Bouchard, 1988). La maison est l’endroit où les rapports entre l’enfant et le parent prennent le plus d’ampleur ( Bouchard, 1981). Ainsi, les interactions établies entre l’enfant et le parent vont assurer la qualité de la relation.
Les ressources matérielles dont dispose la famille sont également un autre facteur exerçant influence sur le microsystème familial. Cela signifie que la pauvreté au plan de ressources physiques telle que la pauvreté crée par un faible revenu et la pauvreté au plan des ressources sociales tel que l’isolement social vécu par les familles de milieux défavorisés sont des éléments pouvant nuire au développement de l’enfant tant au niveau physique, socio-afectif que cognitif (Bouchard, 1991, Caouette, 1992).les interactions sont directes; on réfère aux lieux physiques, mais également aux personnes et objets, aux activités et rôle qui s’y déroulent;
la famille est le système qui exerce le plus d’influence sur le développement de l’enfant (Bouchard, 1988). La maison est l’endroit où les rapports entre l’enfant et le parent prennent le plus d’ampleur ( Bouchard, 1981). Ainsi, les interactions établies entre l’enfant et le parent vont assurer la qualité de la relation.
Les ressources matérielles dont dispose la famille sont également un autre facteur exerçant influence sur le microsystème familial. Cela signifie que la pauvreté au plan de ressources physiques telle que la pauvreté crée par un faible revenu et la pauvreté au plan des ressources sociales tel que l’isolement social vécu par les familles de milieux défavorisés sont des éléments pouvant nuire au développement de l’enfant tant au niveau physique, socio-afectif que cognitif (Bouchard, 1991, Caouette, 1992).
15. Le microsystème de l’enfant Le microsystème de l’enfant est relatif, ça dépend de la problématique qu’on analyse. Il faut retenir que le modèle écologique est un modèle d’analyse et d’interprétation d’une réalité donné.
Les activités qui se déroulent dans une classe maternelle, la variété, des activités qui valorisent l’enfant, qui favorisent sin développement, la implication chaleureuse de l’enseignante, la continuité des activités, les interventions realisés etc.. Le rapport enfant-famille, enfant- amis
Le microsystème de l’enfant est relatif, ça dépend de la problématique qu’on analyse. Il faut retenir que le modèle écologique est un modèle d’analyse et d’interprétation d’une réalité donné.
Les activités qui se déroulent dans une classe maternelle, la variété, des activités qui valorisent l’enfant, qui favorisent sin développement, la implication chaleureuse de l’enseignante, la continuité des activités, les interventions realisés etc.. Le rapport enfant-famille, enfant- amis
16. Le mésosystème Il comprend les interrelations entre les microsystèmes.
Réseau de microsystèmes (en interaction) fréquentés par l’enfant
exerçant une influence directe sur la personne qui évolue à travers les relations et les interrelations qu’elle établit dans différents contextes;Réseau de microsystèmes fréquentés par l’enfant. Les interrelations sont constitué d’un lien de participation (Lien direct et lien indirect- la tierce personne)de l’enfant aux microsystèmes. Il va avoir des relations qui peuvent nuire ou favorise le développement de l’enfant. L’accent est mis sur l’importance de la qualité des relations établies pour qui cet environnement soit positif et avantagé pour l’enfant.
EXEMPLES
Il comprend les interrelations entre les microsystèmes. Observer le mésosytème revient à tenter de comprendre la nature des liens (conflictuels, réciproques, antagonistes…) qui ont pu s’établir entre les différents systèmes fréquentés par l’enfant et les impacts de ces interactions sur son environnement. Par exemple, des relations conflictuelles entre l’école et les parents (deux microsystèmes avec qui l’enfant a des relations directes) peuvent avoir une influence néfaste sur la conduite de l’enfant en classe (Evequoz, 1984).
Exemple de l’enfant qui fréquente une garderie ou une classe maternelle
La faiblesse des rapports entre ces deux microsystèmes (garderie-maison) peut rendre difficile la transition de l’enfant entre son contexte familier vers un autre milieu (garderie- école) (enfant –enseignante) qu’il ne connaît pas. Ainsi, l’enfant peut avoir des difficultés d’adaptation et d’ajustement au nouvel environnement s’il n’y a pas un établissement de bonnes relations entre la personne qui s’occupe de l’enfant et les parents.
Le milieu de travail des parents est aussi un élément qui peut aussi avoir des impacts chez l’enfant. Le revenu des parents, le stress parent peut avoir des impacts sur la qualité des relations des parents envers leurs enfants
Type d’interrelations
1.Lien de participation directe
à son micro;
2. Lien de participation indirect (tierce
personne)
3. La communication
4. La connaissance
exerçant une influence directe sur la personne qui évolue à travers les relations et les interrelations qu’elle établit dans différents contextes;Réseau de microsystèmes fréquentés par l’enfant. Les interrelations sont constitué d’un lien de participation (Lien direct et lien indirect- la tierce personne)de l’enfant aux microsystèmes. Il va avoir des relations qui peuvent nuire ou favorise le développement de l’enfant. L’accent est mis sur l’importance de la qualité des relations établies pour qui cet environnement soit positif et avantagé pour l’enfant.
EXEMPLES
Il comprend les interrelations entre les microsystèmes. Observer le mésosytème revient à tenter de comprendre la nature des liens (conflictuels, réciproques, antagonistes…) qui ont pu s’établir entre les différents systèmes fréquentés par l’enfant et les impacts de ces interactions sur son environnement. Par exemple, des relations conflictuelles entre l’école et les parents (deux microsystèmes avec qui l’enfant a des relations directes) peuvent avoir une influence néfaste sur la conduite de l’enfant en classe (Evequoz, 1984).
Exemple de l’enfant qui fréquente une garderie ou une classe maternelle
La faiblesse des rapports entre ces deux microsystèmes (garderie-maison) peut rendre difficile la transition de l’enfant entre son contexte familier vers un autre milieu (garderie- école) (enfant –enseignante) qu’il ne connaît pas. Ainsi, l’enfant peut avoir des difficultés d’adaptation et d’ajustement au nouvel environnement s’il n’y a pas un établissement de bonnes relations entre la personne qui s’occupe de l’enfant et les parents.
Le milieu de travail des parents est aussi un élément qui peut aussi avoir des impacts chez l’enfant. Le revenu des parents, le stress parent peut avoir des impacts sur la qualité des relations des parents envers leurs enfants
Type d’interrelations
1.Lien de participation directe
à son micro;
2. Lien de participation indirect (tierce
personne)
3. La communication
4. La connaissance
17. L’exosystème Il englobe l’ensemble des environnements avec lesquels l’enfant n’a pas d’interactions directes, mais qui exercent une influence au niveau du microsystèmes et du mésosystème
Les commissions scolaires
Les ministères
Le travail
Les Institutions
Les Organismes
on réfère aux lieux physiques, aux personnes, aux activités et rôles qui s ’y déroulent et généralement, aux décisions qui s’y prennent.
Il faut remarquer que les décisions prises par les instances sociopolitiques exercent considérément une influence sur la qualité des relations dans les micros et les mésosystèmeson réfère aux lieux physiques, aux personnes, aux activités et rôles qui s ’y déroulent et généralement, aux décisions qui s’y prennent.
Il faut remarquer que les décisions prises par les instances sociopolitiques exercent considérément une influence sur la qualité des relations dans les micros et les mésosystèmes
18. Le macrosystème Constitue l’ensemble de valeurs, croyances et idéologies qui représentent et le sens des relations sociales d’une communauté.
Les valeurs
La culture
La religion
Les lois
Les politiques
Présent dans tous les autres systèmes; c’est la toile de fond représenté par les valeurs et idéologies d’une société
C’est la toile de fond qui exerce une influence dans tous les autres niveaux systémiques.
Les valeurs sont portées par les divers agents d’éducation, de socialisation de l’enfant (parents, valeurs (prejugés par rapport les parents, par rapport la pauvreté, les enfants de msef), les valeurs dans les émissions(concepteurs) de télé Elles constituent en quelque sorte le cadre de référence culturelle ou sous-culturelle qui dicte les règles de conduite des individus, les relations entre les personnes, les attitudes, les droits et les devoirs des parents à l’égard des enfants, les pratiques parentales., etc. Par exemple, la place accordée aux enfants dans la famille, la manière d’éduquer un enfant, les pratiques disciplinaires… sont en bonne partie le reflet des valeurs et des croyances partagées par le sous-groupe culturel auquel appartient la famille.
Présent dans tous les autres systèmes; c’est la toile de fond représenté par les valeurs et idéologies d’une société
C’est la toile de fond qui exerce une influence dans tous les autres niveaux systémiques.
Les valeurs sont portées par les divers agents d’éducation, de socialisation de l’enfant (parents, valeurs (prejugés par rapport les parents, par rapport la pauvreté, les enfants de msef), les valeurs dans les émissions(concepteurs) de télé Elles constituent en quelque sorte le cadre de référence culturelle ou sous-culturelle qui dicte les règles de conduite des individus, les relations entre les personnes, les attitudes, les droits et les devoirs des parents à l’égard des enfants, les pratiques parentales., etc. Par exemple, la place accordée aux enfants dans la famille, la manière d’éduquer un enfant, les pratiques disciplinaires… sont en bonne partie le reflet des valeurs et des croyances partagées par le sous-groupe culturel auquel appartient la famille.
19. Le crhonosystème
Il comprend le système du temps et la succession des événements vécus par la personne dans le temps.
La naissance d'un enfant
L’entrée à l’école
L’entrée à l’adolescence
La séparation
Le deuil
Il s’agit de comprendre le cycle de la vie qui permet de prendre en considération l'histoire, le développement et l'influence réciproque des environnements.
Il s’agit de comprendre le cycle de la vie qui permet de prendre en considération l'histoire, le développement et l'influence réciproque des environnements.
20. L’ontosystème
Ensemble des caractéristiques, des états, des compétences, des habiletés ou vulnérabilités d’un d’individu.
Il s’agit des interrelations entre les différentes composantes de la personnalité d’un individu: physiques, biologiques, cognitives, socio-affectives
La personnalité
Les perceptions
Les comportements
Les habiletés
Il s’agit de comprendre le cycle de la vie qui permet de prendre en considération l'histoire, le développement et l'influence réciproque des environnements.
Il s’agit de comprendre le cycle de la vie qui permet de prendre en considération l'histoire, le développement et l'influence réciproque des environnements.
21. Exemple d'une analyse écologique Nous présentons une analyse écologique de la situation d'une jeune enfant de 6 ans en échec d'apprentissage de la lecture. Cet exemple permettra d'illustrer ce façon concrète les caractéristiques des différentes couches systémiques que nous venons de définir.À propos du cas de Marie, associez chaque énoncé à un système du modèle écologique de Bronfenbrenner:
La famille de Marie fait partie de
microsystème
L’école où Marie étudie fait partie de
microsystème
Les relations entre la mère de Marie et l’enseignante
mesosystème
L’entreprise pour laquelle son père travaille fait partie de
exosystème
Les adolescents du quartier de Marie
microsystème
Les liens avec ses grands-parents de Marie font partie de
microsystème/mesosystème
La performance exigée dans le travail de son père
macrosystème
22. Analyse écologique Transition écologique
l'entrée à l'école
l'insertion dans un groupe de pairs
la séparation d'avec sa famille
Les changements dans la famille
augmentation de responsabilités professionnelles pour le père
déménagement de la famille,
grossesse à risque de madame,
éloignement des parents de la mère,
difficulté scolaire de Marie)
L’enseignante
Elle n'a pas tout le temps nécessaire pour donner une attention particulière et le soutien affectif et académique adéquat à cette petite fille
25. Pause
26. La résilience
La notion de prévention :
- facteurs de risque
- facteurs de protection -
27. La notion de prévention
La prévention consiste à anticiper des phénomènes afin d’éviter des risques, d'entraîner ou d'aggraver des problèmes
28. La notion de vulnérabilité chez l’enfant
Fait référence aux enfants qui risquent de développer des difficultés d’adaptation et d’apprentissage que la moyenne des enfants de son âge dans une société donnée.
La nature des risques
socioéconomiques
psychologiques
La vulnérabilité est conditionnée par les caractéristiques de risque auxquelles s’exposent les individus, les familles et les communautés.
les enfants vulnérables se situent en majorité dans les « milieux socieconomiquement faible » (msef)
En bref, la vulnérabilité est conditionnée
par les caractéristiques de risque auxquelles
s’exposent les individus, les familles et
les communautés.
socioéconomiques (le contexte de vie de l’enfant, la pauvreté, faim, déscolarisation, la violence, la maltraitance etc.)
psychologiques (carences affectives, absence d’adulte de référence, violences sexuelles, discrimination etc.)
La vulnérabilité est conditionnée par les caractéristiques de risque auxquelles s’exposent les individus, les familles et les communautés.
les enfants vulnérables se situent en majorité dans les « milieux socieconomiquement faible » (msef)
En bref, la vulnérabilité est conditionnée
par les caractéristiques de risque auxquelles
s’exposent les individus, les familles et
les communautés.
socioéconomiques (le contexte de vie de l’enfant, la pauvreté, faim, déscolarisation, la violence, la maltraitance etc.)
psychologiques (carences affectives, absence d’adulte de référence, violences sexuelles, discrimination etc.)
29. Questions ?
30.
Pourquoi y a-t-il des enfants que même dans des conditions défavorables arrive à surmonter des difficultés et d’autres non?
Quelles sont les caractéristiques de cette qualité de faire face à des difficultés, qui permettent à ceux qui en font preuve de résister, de survivre, de se bâtir?
32. Qu’est-ce que la résilience? Petit Robert: terme de physique qui caractérise la résistance au choc, soit le rapport de l’énergie cinétique absorbée nécessaire pour provoquer la rupture d’un métal à la surface de la section brisée (kg/cm2).
Sauter en arrière et puis de rebondir et La résilience n’a rien à voir avec une prétendue invulnérabilité ou une qualité supérieure de certains mais avec la capacité de reprendre une vie humaine malgré la blessure, sans se fixer sur cette blessure. »
À l’origine, il s’agit d’un terme utilisé en physique pour désigner la résistance aux chocs d’un métal.
La résilience est « l’aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l’adversité ou une situation de risque. Cette aptitude évolue avec le temps; elle est renforcée par les facteurs de protection chez l’individu ou dans le système et le milieu; elle contribue au maintien d’une bonne santé ou à l’amélioration de celle-ci. » (Mangham et al., 1995)[1]
En psychologie clinique, la résilience est la capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de l’adversité. D’un point de vue psychique, il s’agit de la possibilité pour un individu de développer des mécanismes de résistance et de survie malgré les vicissitudes de l’existence, des circonstances difficiles, des malheurs, un choc traumatique ou un environnement défavorable, voire hostile .
Capacité de l’enfant de faire face aux risques en lui donnant de ressources necessaires, facteur de protection
M. Bernard Terrisse
L’auteur mentionne que les stratégies d’intervention se sont avérées plus efficaces, à long terme, lorsque l’on tient compte du milieu de l’enfant (familial, social et scolaire) en plus des caractéristiques de l’enfant. Toutefois, ce ne sont pas tous les enfants qui sont exposés à un milieu défavorable, qui ont des difficultés sur le plan social ou sur le plan des études.
la résilience n’est pas un état absolu, mais est
constituée de changements et d’adaptations. Par conséquent, la résilience est un construit à plusieurs dimensions et est relative. Une personne ne peut développer la résilience si elle n’est pas exposée à des conditions défavorables.
Sauter en arrière et puis de rebondir et La résilience n’a rien à voir avec une prétendue invulnérabilité ou une qualité supérieure de certains mais avec la capacité de reprendre une vie humaine malgré la blessure, sans se fixer sur cette blessure. »
À l’origine, il s’agit d’un terme utilisé en physique pour désigner la résistance aux chocs d’un métal.
La résilience est « l’aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l’adversité ou une situation de risque. Cette aptitude évolue avec le temps; elle est renforcée par les facteurs de protection chez l’individu ou dans le système et le milieu; elle contribue au maintien d’une bonne santé ou à l’amélioration de celle-ci. » (Mangham et al., 1995)[1]
En psychologie clinique, la résilience est la capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de l’adversité. D’un point de vue psychique, il s’agit de la possibilité pour un individu de développer des mécanismes de résistance et de survie malgré les vicissitudes de l’existence, des circonstances difficiles, des malheurs, un choc traumatique ou un environnement défavorable, voire hostile .
Capacité de l’enfant de faire face aux risques en lui donnant de ressources necessaires, facteur de protection
M. Bernard Terrisse
L’auteur mentionne que les stratégies d’intervention se sont avérées plus efficaces, à long terme, lorsque l’on tient compte du milieu de l’enfant (familial, social et scolaire) en plus des caractéristiques de l’enfant. Toutefois, ce ne sont pas tous les enfants qui sont exposés à un milieu défavorable, qui ont des difficultés sur le plan social ou sur le plan des études.
la résilience n’est pas un état absolu, mais est
constituée de changements et d’adaptations. Par conséquent, la résilience est un construit à plusieurs dimensions et est relative. Une personne ne peut développer la résilience si elle n’est pas exposée à des conditions défavorables.
33. La résilience chez l’enfant Défini comme l’habileté de l’enfant à s’ajuster adéquatement ou à vaincre les difficultés, malgré les risques et l’adversité.
Capacité de l’enfant de faire face aux risques en lui donnant de ressources nécessaires pour surmonter des circonstances difficiles.
La résilience n’a rien à voir avec une prétendue invulnérabilité ou une qualité supérieure de certains mais avec la capacité de reprendre une vie humaine malgré la blessure, sans se fixer sur cette blessure. »
À l’origine, il s’agit d’un terme utilisé en physique pour désigner la résistance aux chocs d’un métal.
La résilience est « l’aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l’adversité ou une situation de risque. Cette aptitude évolue avec le temps; elle est renforcée par les facteurs de protection chez l’individu ou dans le système et le milieu; elle contribue au maintien d’une bonne santé ou à l’amélioration de celle-ci. » (Mangham et al., 1995)[1]
En psychologie clinique, la résilience est la capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de l’adversité. D’un point de vue psychique, il s’agit de la possibilité pour un individu de développer des mécanismes de résistance et de survie malgré les vicissitudes de l’existence, des circonstances difficiles, des malheurs, un choc traumatique ou un environnement défavorable, voire hostile .
Capacité de l’enfant de faire face aux risques en lui donnant de ressources necessaires, facteur de protection
M. Bernard Terrisse
L’auteur mentionne que les stratégies d’intervention se sont avérées plus efficaces, à long terme, lorsque l’on tient compte du milieu de l’enfant (familial, social et scolaire) en plus des caractéristiques de l’enfant. Toutefois, ce ne sont pas tous les enfants qui sont exposés à un milieu défavorable, qui ont des difficultés sur le plan social ou sur le plan des études.
la résilience n’est pas un état absolu, mais est
constituée de changements et d’adaptations. Par conséquent, la résilience est un construit à plusieurs dimensions et est relative. Une personne ne peut développer la résilience si elle n’est pas exposée à des conditions défavorables.La résilience n’a rien à voir avec une prétendue invulnérabilité ou une qualité supérieure de certains mais avec la capacité de reprendre une vie humaine malgré la blessure, sans se fixer sur cette blessure. »
À l’origine, il s’agit d’un terme utilisé en physique pour désigner la résistance aux chocs d’un métal.
La résilience est « l’aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l’adversité ou une situation de risque. Cette aptitude évolue avec le temps; elle est renforcée par les facteurs de protection chez l’individu ou dans le système et le milieu; elle contribue au maintien d’une bonne santé ou à l’amélioration de celle-ci. » (Mangham et al., 1995)[1]
En psychologie clinique, la résilience est la capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de l’adversité. D’un point de vue psychique, il s’agit de la possibilité pour un individu de développer des mécanismes de résistance et de survie malgré les vicissitudes de l’existence, des circonstances difficiles, des malheurs, un choc traumatique ou un environnement défavorable, voire hostile .
Capacité de l’enfant de faire face aux risques en lui donnant de ressources necessaires, facteur de protection
M. Bernard Terrisse
L’auteur mentionne que les stratégies d’intervention se sont avérées plus efficaces, à long terme, lorsque l’on tient compte du milieu de l’enfant (familial, social et scolaire) en plus des caractéristiques de l’enfant. Toutefois, ce ne sont pas tous les enfants qui sont exposés à un milieu défavorable, qui ont des difficultés sur le plan social ou sur le plan des études.
la résilience n’est pas un état absolu, mais est
constituée de changements et d’adaptations. Par conséquent, la résilience est un construit à plusieurs dimensions et est relative. Une personne ne peut développer la résilience si elle n’est pas exposée à des conditions défavorables.
34. Facteurs de risque
Il s’agit d’une caractéristique individuelle, de l’adversité d’une situation problématique ou d’un contexte environnemental susceptible d’augmenter la probabilité d’apparition d’un comportement inadapté;
Le reflet d’une ou plusieurs caractéristiques observables de l’individu, incluant le temps d’exposition à des conditions spécifiques de l’environnement, qui sont associées à l’apparition d’un comportement problème.
Dans l’ensemble, on doit retenir de ce premier bilan que les facteurs de risque peuvent exercer une influence directe ou indirecte, interagir l’un sur l’autre de telle sorte qu’ils vont affecter le comportement de l’individu,ou encore refléter le cumul des effets de ces variables.
Au cours de sa présentation, l’auteure rappelle les thèmes naissants suivants : le risque devrait être considéré comme faisant partie des étapes d’un processus continu; les facteurs de risque sont multidimensionnels et interactifs; l’étiquette «à risque» suppose une prédiction; le risque est multiplicatif; la nature des facteurs de risque et le moment où ils existent peuvent influencer les résultats de façon différente; la tendance au risque augmente durant les périodes de transition.
Mme Paquin souligne l’importance de programmes d’intervention précoce et de prévention pour atténuer les problèmes de santé et d’adaptation plus tard dans la vie des jeunes, et également dans la vie de leurs enfants quand ils en auront à leur tour.
Les commentatrices parlent de ce qu’elles considèrent être l’un des points forts de l’étude : elle fait ressortir l’interaction qui existe entre les facteurs de risque, de protection et de résilience, par rapport aux caractéristiques de l’enfant et aux facteurs environnementaux.
L’auteure affirme qu’il est primordial à la conception et à la mise en oeuvre des tratégies d’intervention réussies de reconnaître que le risque existe à plusieurs niveaux et qu’il est systémique. Elle souligne que les stratégies d’intervention qui visent un seul facteur de risque sont limitées dans leur approche et susceptibles de ne pas réussir. Par conséquent, elle déclare qu’il est important de concevoir des interventions complexes et globales qui tiennent compte de multiples contextes de fonctionnement.
Bernard Terrisse
Les facteurs de risque sont décrits par l’auteur, aussi bien dans son étude que dans sa présentation, comme étant des facteurs qui, s’ils sont présents,accroissent la possibilité que l’enfant rencontre des difficultés d’adaptation comparativement à un enfant du même âge dans la population en général.
Les auteurs soulignent en outre, tant dans leur étude que dans leur présentation, que les facteurs de risque peuvent être «à plusieurs niveaux et se recouper», ce qui fait que l’intervention doit être précoce et se produire au sein de la famille et de la communauté avant que l’enfant n’entre à l’école. De plus, les chercheuses et chercheurs commencent à souligner la nécessité d’approches d’interventions intégrées, auxquelles participeraient la famille, l’école et la communauté de l’enfant.Il s’agit d’une caractéristique individuelle, de l’adversité d’une situation problématique ou d’un contexte environnemental susceptible d’augmenter la probabilité d’apparition d’un comportement inadapté;
Le reflet d’une ou plusieurs caractéristiques observables de l’individu, incluant le temps d’exposition à des conditions spécifiques de l’environnement, qui sont associées à l’apparition d’un comportement problème.
Dans l’ensemble, on doit retenir de ce premier bilan que les facteurs de risque peuvent exercer une influence directe ou indirecte, interagir l’un sur l’autre de telle sorte qu’ils vont affecter le comportement de l’individu,ou encore refléter le cumul des effets de ces variables.
Au cours de sa présentation, l’auteure rappelle les thèmes naissants suivants : le risque devrait être considéré comme faisant partie des étapes d’un processus continu; les facteurs de risque sont multidimensionnels et interactifs; l’étiquette «à risque» suppose une prédiction; le risque est multiplicatif; la nature des facteurs de risque et le moment où ils existent peuvent influencer les résultats de façon différente; la tendance au risque augmente durant les périodes de transition.
Mme Paquin souligne l’importance de programmes d’intervention précoce et de prévention pour atténuer les problèmes de santé et d’adaptation plus tard dans la vie des jeunes, et également dans la vie de leurs enfants quand ils en auront à leur tour.
Les commentatrices parlent de ce qu’elles considèrent être l’un des points forts de l’étude : elle fait ressortir l’interaction qui existe entre les facteurs de risque, de protection et de résilience, par rapport aux caractéristiques de l’enfant et aux facteurs environnementaux.
L’auteure affirme qu’il est primordial à la conception et à la mise en oeuvre des tratégies d’intervention réussies de reconnaître que le risque existe à plusieurs niveaux et qu’il est systémique. Elle souligne que les stratégies d’intervention qui visent un seul facteur de risque sont limitées dans leur approche et susceptibles de ne pas réussir. Par conséquent, elle déclare qu’il est important de concevoir des interventions complexes et globales qui tiennent compte de multiples contextes de fonctionnement.
Bernard Terrisse
Les facteurs de risque sont décrits par l’auteur, aussi bien dans son étude que dans sa présentation, comme étant des facteurs qui, s’ils sont présents,accroissent la possibilité que l’enfant rencontre des difficultés d’adaptation comparativement à un enfant du même âge dans la population en général.
Les auteurs soulignent en outre, tant dans leur étude que dans leur présentation, que les facteurs de risque peuvent être «à plusieurs niveaux et se recouper», ce qui fait que l’intervention doit être précoce et se produire au sein de la famille et de la communauté avant que l’enfant n’entre à l’école. De plus, les chercheuses et chercheurs commencent à souligner la nécessité d’approches d’interventions intégrées, auxquelles participeraient la famille, l’école et la communauté de l’enfant.
35. Facteurs de protection
Un facteur qui contribue à réduire le risque de manifester un comportement inadapté lorsque l’individu est confronté à la présence de facteurs de risque dans son environnement; Les facteurs de protection sont des caractéristiques de l’enfant ou du milieu qui sont susceptibles de contrecarrer les effets des facteurs de risque ou de les mitiger, quand l’enfant se trouve dans un milieu difficile.L’auteur déduit que les interactions entre les facteurs de risque et de protection se produisent graduellement et n’impliquent pas
uniquement les caractéristiques personnelles et familiales mais également les écoles,les établissements et le milieu social. En outre, au cours de sa présentation, l’auteur souligne que le risque et les vulnérabilités ne se trouvent pas uniquement chez l’enfant mais dans ces divers autres facteurs. De même, il démontre que l’effet des
facteurs de risque et de protection est cumulatif. L’auteur ajoute également que la majeure partie de la recherche s’intéresse aux caractéristiques des personnes et de leur famille, moins aux écoles et encore moins aux établissements et à la société. Les facteurs de risque et de protection à ces niveaux plus élevés sont moins apparents et souvent accessibles uniquement par déduction et ne deviennent observables que lorsqu’ils sont traduits en politiques.
À retenir
Les auteurs soutiennent qu’il y a lieu de se montrer circonspect en reconnaissant et en étiquetant les enfants à risque. Ceci en partie à cause des séquelles que cela peut créer et également du fait que toutes les personnes qui appartiennent à une population qui est désignée comme étant à risque ne rencontreront pas nécessairement des difficultés. Les auteurs mentionnent également que ce ne sont pas les facteurs associés aux personnes à risque qui invitent le risque, mais plutôt le contexte dans lequel les personnes évoluent. Les auteurs laissent entendre que le système scolaire constitue un de ces contextes.Un facteur qui contribue à réduire le risque de manifester un comportement inadapté lorsque l’individu est confronté à la présence de facteurs de risque dans son environnement; Les facteurs de protection sont des caractéristiques de l’enfant ou du milieu qui sont susceptibles de contrecarrer les effets des facteurs de risque ou de les mitiger, quand l’enfant se trouve dans un milieu difficile.L’auteur déduit que les interactions entre les facteurs de risque et de protection se produisent graduellement et n’impliquent pas
uniquement les caractéristiques personnelles et familiales mais également les écoles,les établissements et le milieu social. En outre, au cours de sa présentation, l’auteur souligne que le risque et les vulnérabilités ne se trouvent pas uniquement chez l’enfant mais dans ces divers autres facteurs. De même, il démontre que l’effet des
facteurs de risque et de protection est cumulatif. L’auteur ajoute également que la majeure partie de la recherche s’intéresse aux caractéristiques des personnes et de leur famille, moins aux écoles et encore moins aux établissements et à la société. Les facteurs de risque et de protection à ces niveaux plus élevés sont moins apparents et souvent accessibles uniquement par déduction et ne deviennent observables que lorsqu’ils sont traduits en politiques.
À retenir
Les auteurs soutiennent qu’il y a lieu de se montrer circonspect en reconnaissant et en étiquetant les enfants à risque. Ceci en partie à cause des séquelles que cela peut créer et également du fait que toutes les personnes qui appartiennent à une population qui est désignée comme étant à risque ne rencontreront pas nécessairement des difficultés. Les auteurs mentionnent également que ce ne sont pas les facteurs associés aux personnes à risque qui invitent le risque, mais plutôt le contexte dans lequel les personnes évoluent. Les auteurs laissent entendre que le système scolaire constitue un de ces contextes.
36. Les interactions entre les facteurs de risque et les facteurs de protection Les facteurs de risque et les facteurs de protection peuvent être reliés:
- à l’individu,
- à son écosystème
- aux interactions entre les différents niveaux des
écosystèmes.
chaque niveau de l’écosystème peut générer des facteurs de risque mais aussi des facteurs de protection.
les interactions relevant de différents niveaux de l’écosystème peuvent conduire l’individu à une situation d’échec ou au contraire à être résilientLes facteurs de risque et les facteurs de protection peuvent être reliés:
- à l’individu,
- à son écosystème
- aux interactions entre les différents niveaux des
écosystèmes.
chaque niveau de l’écosystème peut générer des facteurs de risque mais aussi des facteurs de protection.
les interactions relevant de différents niveaux de l’écosystème peuvent conduire l’individu à une situation d’échec ou au contraire à être résilient
37. Les personnes résilientes:Quelles en sont les caractéristiques? La sympathie
Le sens de l’humour
tempérament facile
L’haute estime de soi
Compétence cognitive
Compétence sociale
Capacité de se projeter dans l’avenir
Habilité à résoudre de problèmes
38. Analyse des facteurs de risque et facteurs de protection Facteurs de risque
Les mauvais traitements
Violence conjugal
Les difficultés scolaires au début du cycle élémentaire
Facteurs de protection
Le lien affectif avec son grand-père
Le soutien d’une jeune bénévole d’une association
39. Figure 1 : Modèle écosystèmique de la vulnérabilité ou de la résilience :Interactions des facteurs de risques et des facteurs de protection(Terrisse, Larose & Lefebvre (2002)
43. Conception théorique dominante qui a cours à une certaine époque dans une communauté scientifique. La théorie de la relativité a entraîné un véritable changement de paradigme en physique.
Conception théorique dominante qui a cours à une certaine époque dans une communauté scientifique. La théorie de la relativité a entraîné un véritable changement de paradigme en physique.