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Du Modèle Conceptuel des données MCD pour réfléchir Au modèle Logique de données MLD

Du Modèle Conceptuel des données MCD pour réfléchir Au modèle Logique de données MLD modèle « mathématique » Au modèle Physique de données MPD pour programmer. Le Modèle Logique de Données.

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Du Modèle Conceptuel des données MCD pour réfléchir Au modèle Logique de données MLD

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  1. Du Modèle Conceptuel des données MCD pour réfléchir Au modèle Logique de données MLD modèle « mathématique » Au modèle Physique de données MPD pour programmer Modèle Logique de données

  2. Le Modèle Logique de Données • La modélisation conceptuelle a décrit de manière exhaustive les données du système d’information et leurs structures avec deux outils: • ENTITES - ASSOCIATIONS • Comment intégrer les contraintes techniques pour une implantation informatique, un SI automatisé ? Modèle Logique de données

  3. Les techniques d’implantation d’un SI IMPLANTATION SUR MACHINE = MODELE PHYSIQUE • Le modèle fichier (S.G.F) • Le modèle SGBD : On implante le SI à partir d’un logiciel appelé Système de Gestion de Bases de Données Modèle Logique de données

  4. Le Modèle Logique de Données • Le MLD prend en compte la nature de l’outil logiciel avec lequel sera implanté la future base de données. • Différents SGBD basés sur • le modèle hiérarchique ou réseau IMS/DL1 chez IBM • le modèle relationnel ORACLE, MySQL • le modèle objet db4O Modèle Logique de données

  5. Modèle logique relationnel : MLR • Edgar Frank Codd : A Relational Model of Data for Large Shared Data Bank ; CCAM 13; N°6, june 1970 • Simple à appréhender • Basé sur la théorie des ensembles en mathématique • Représentation de l’ORGANISATION : Manipulation de listes de données • Indépendance totale avec le système d’exploitation et le stockage physique • Règles de normalisation Modèle Logique de données

  6. Plan de l’étude : 1- Exemples de bases de données relationnelles. 2- Définitions du modèle relationnel. 3- Passage du MCD au MLD relationnel. 4- Exemples complexes. Modèle Logique de données

  7. La base de données du Père Noël Modèle Logique de données

  8. La traduction en tables de la base PèreNoël • « résider » Modèle Logique de données

  9. La traduction du MCD:PèreNoël Modèle Logique de données

  10. La traduction du MCD:PèreNoël • « commander » et « obtenir » Modèle Logique de données

  11. La traduction du MCD:PèreNoël • Les fournisseurs de cadeaux: Modèle Logique de données

  12. Le passage au MLD • Les entités sont-elles transformées en tables ? • Toute association est-elle transformée en tables ? • Si non , quelles sont les associations transformées en tables ? Quelle est la structure de ces tables ? Modèle Logique de données

  13. Les tables de la base PèreNoël • ENFANT ( noEnfant , nomEnfant, prénomEnfant, gentil, codeAdresse) • ADRESSE ( codeAdresse, rueAdresse, cp , ville, cheminée, fénêtre, souterrain ) • COMMANDER ( noEnfant, noCadeau ) • OBTENIR(noEnfant, noCadeau ) • FOURNISSEUR ( noFsseur, nomFsseur, adrFsseur ) • CADEAU ( noCadeau, nomCadeau, noFsseur) Modèle Logique de données

  14. 2- Le modèle relationnel • Une base de données relationnelle est constituée d’ un ensemble de tables aussi appelées relationsliées entre elles. • La table ou relation ENFANT: ENFANT ( noEnfant , nomEnfant, prénomEnfant, gentil, codeAdresse) • Clé primaire : noEnfant ; la connaissance de la valeur de la clé primaire permet de connaître la valeur des autres propriétés. Modèle Logique de données

  15. La clé étrangère ENFANT ( noEnfant , nomEnfant, prénomEnfant, gentil, codeAdresse) • Clé étrangère: codeAdresse Clé présente dans une table dont elle n’est pas la clé primaire, tout en étant clé primaire d’une autre table. Modèle Logique de données

  16. Deux types de tables • Les tables statiques: aucune colonne n’est clé primaire d’une autre table : (exemples : tables ADRESSE, FOURNISSEUR) • Les tables dynamiques: Il existe au moins une colonne qui est clé primaire d’une autre table (exemples : tables COMMANDER , OBTENIR , etc) Modèle Logique de données

  17. Passage au MLD relationnel • Règle 0 : traitement des entités Une entité est traduite par une table ( une relation ) de même nom dont les colonnes correspondent aux propriétés de l’entité . La clé primaire de cette table est l’identifiant de l’entité Modèle Logique de données

  18. Passage au MLD relationnel Traitement des associations : Tenir compte des cardinalités maximales de chaque association : 1 et n Modèle Logique de données

  19. Passage au MLD Règle 1 : association binaire avec cardinalités maximales : 1 et n L’association n’est pas transformée en table . L’identifiant de l’entité but (0, n) devient clé étrangère dans la table source (1,1) Modèle Logique de données

  20. Exemple de la règle 1 but source CREATE TABLE PRODUIT ( REFPRODUIT VARCHAR(5) NOT NULL, NOMPRODUIT VARCHAR(60), NOFOURNISSEUR VARCHAR(5) NOT NULL ) ALTER TABLE PRODUIT ADD CONSTRAINT FK_PRODUIT_FOURNISSEUR FOREIGN KEY NOFOURNISSEUR REFERENCES FOURNISSEUR (NOFOURNISSEUR); Modèle Logique de données

  21. Exemple de la règle 1 MCD MLD NB : Le no de messager n’est pas obligatoirement renseigné dans COMMANDES Modèle Logique de données

  22. Passage au MLD relationnel Traitement des associations : Tenir compte des cardinalités maximales de chaque association : 1 et 1 Modèle Logique de données

  23. Passage au MLD • Règle 1 bis : association binaire avec cardinalités maximales : 1 et 1 La cardinalité 1,1 est une contrainte plus forte que la cardinalité 0,1. Donc: L’ identifiant de l’entité but du lien 1,1 devient clé étrangère dans la table issue de l’entité source. Modèle Logique de données

  24. Exemple de la règle 1 bis MCD MLD Modèle Logique de données

  25. Règle 1 Pour chaque occurrence, 1 valeur à mémoriser  une propriété suffit Modèle Logique de données

  26. Passage au MLD relationnel Traitement des associations : Tenir compte des cardinalités maximales de chaque association : n et n Modèle Logique de données

  27. Passage au MLD relationnel Règle 2 :association binaire avec cardinalités maximales : n et n, non porteuses de données: L’association est traduite en table avec pour clé primaire, la concaténation des identifiants des entités reliées par l’association. Cette table contient deux clés étrangères. Modèle Logique de données

  28. Passage au MLD relationnel • Exemple de la règle 2 : MCD MLD Modèle Logique de données

  29. Passage au MLD • Règle 2 bis : association binaire avec cardinalités maximales : 1 et n porteuse dedonnées: L’association est traduite en table avec pour clé primaire , la concaténation des identifiants des entités reliées. Cette table contient deux clés étrangères et les propriétés portées par l’association. Modèle Logique de données

  30. Exemple de la règle 2 MCD MLD Modèle Logique de données

  31. Exemple de la règle 2 CREATE TABLE DETAILCOMMANDES (REFPRODUIT VARCHAR(5) NOT NULL, NOCOMMANDE INTEGER NOT NULL, QUANTITE INTEGER, REMISE INTEGER ); ALTER TABLE DETAILCOMMANDE ADD CONSTRAINT PK_DETAILCOMMANDE PRIMARY KEY (REFPRODUIT, NOCOMMANDE); ALTER TABLE DETAILCOMMANDE ADD CONSTRAINT FK_DC_PRODUIT FOREIGN KEY (REFPRODUIT) REFERENCES PRODUITS(REFPRODUIT); ALTER TABLE DETAILCOMMANDE ADD CONSTRAINT FK_DC_COMMANDE FOREIGN KEY (NOCOMMANDE) REFERENCES COMMANDES(NOCOMMANDE); MPD Modèle Logique de données

  32. Règle 2 Pour chaque occurrence, n valeurs à mémoriser  une table supplémentaire Modèle Logique de données

  33. Passage au MLD • Règle 3 : une association ternaire et plus de cardinalités 0,n- 0,n – 0,n – L’association est traduite par une table ayant pour clé primaire : la concaténation des clés étrangères provenant des entités participant à l’association. Modèle Logique de données

  34. MLD Exemple de la règle 3 MCD Modèle Logique de données

  35. Passage au MLD • On convient de ne pas créer les tables comportant comme unique propriété son identifiant. Exemple : la table DATE ……….. Et qui voudrait la remplir à chaque réveillon ? Modèle Logique de données

  36. Du MLD au Modèle Physique • Si le modèle physique de données est conforme au modèle logique relationnel, on est sûr de ne pas avoir de soucis de redondance d’informations. Les traitements en seront simplifiés. • On garde cette garantie en STS1 • Le modèle physique de données peut être dénormalisé (dans les règles !!) s’il est nécessaire d’optimiser certains traitements. Modèle Logique de données

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