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LE COACHING CENTRÉ SUR LA SOLUTION. 13 mai 2013. Palo Alto Milton Erickson Le MRI Le BFTC. LES INFLUENCES. Steve de Shazer Insoo Kim Berg L’équipe du BFTC : William O’Hanlon Michele Weiner -Davis Peter De Jong. LES AUTEURS.
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LE COACHING CENTRÉ SUR LA SOLUTION 13 mai 2013
PaloAlto • Milton Erickson • Le MRI • Le BFTC LES INFLUENCES
Steve de Shazer • InsooKim Berg • L’équipe du BFTC : • William O’Hanlon • MicheleWeiner-Davis • Peter De Jong LES AUTEURS
Le problème est le résultat des tentatives de solutions • La solution ne dépend pas du problème • Les humains construisent les mondes dans lesquels ils vivent • Le langage rend compte de ces constructions et y participe • L’endroit où vous vous trouvez détermine ce que vous voyez et ce que vous ne voyez pas LES PRESUPPOSES (1)
Les différentes manières de décrire les choses entraînent l’exploration de territoires différents • Quelles que soient l’importance et la chronicité d’un problème, il existe toujours des moments où il ne se pose pas • Pour la plupart des clients, c’est le problème qui est primordial, pour nous, ce sont les exceptions • Au lieu de construire la plainte, nous choisissons de déconstruire le problème LES PRESUPPOSES (2)
Une relation de « copilotes » • Le client est considéré comme un expert • Les informations sont traitées avec considération • Les compliments, sincères, occupent une place importante dans l’entretien LA RELATION COACH - CLIENT
Ecouter sans chercher à analyser les causes • Poser des questions précises : • Dans quelles circonstances le problème se pose-t-il ? • Qui fait quoi, quand, combien de temps ? • Qu’est-ce qui est un problème pour le client dans ces moments-là ? • Quels sont les signes qui lui montrent que c’est un problème ? DECONSTRUIRE LE PROBLEME
Quand est-ce différent ? • Quels sont les moments où le problème ne se pose pas, ou moins ? • Qu’est-ce qui permet que le problème ne se pose pas ? • Quelles sont les ressources qui interviennent dans ces moments-là ? • « Les problèmes se maintiennent parce que les gens les décrivent comme se produisant tout le temps » S. de Shazer RECHERCHER LES EXCEPTIONS
Supposons … notre entretien se termine … • Vous repartez et faites ce que vous avez à faire … La journée se passe … La soirée se déroule … Vient le moment de vous coucher … Vous vous couchez … Vous vous endormez … • Et pendant votre sommeil … un miracle se produit … Le problème pour lequel vous étiez venu est résolu … • Le lendemain, à votre réveil … quels sont les premiers tout petits signes qui vous montrent … à vous et à votre entourage … qu’un miracle s’est produit … que le problème pour lequel vous étiez venu est résolu ? LA QUESTION MIRACLE !
Choisir le moment • « Théâtraliser » par le rythme et le ton, de façon à focaliser l’attention • Placer le client dans le cadre « comme si », où tout est possible • Ecouter ce qui, dans les réponses, fait partie des objectifs réalisables POUR POSER LA QUESTION MIRACLE
Et du coup ? • Qu’est-ce qui est différent ? • Qu’est ce que cela permet ? • A quoi votre entourage perçoit-il qu’un miracle s’est produit ? • Et ensuite, que faites-vous de différent ? EXPLOITER LES REPONSES
L’échelle de progrès • L’échelle de motivation • L’échelle d’espoir ou de confiance • L’échelle relationnelle LES ECHELLES D’EVALUATION
La pause pour réfléchir aux « points forts » du client • Choisir les compliments : sincères, productifs • S’impliquer dans le compliment • « Permettez-moi de vous dire que je suis impressionné par … » PAUSE ET COMPLIMENTS
D’observation • De continuation • De prédiction • « Comme si » LES PRESCRIPTIONS OU TÂCHES
Qu’est-ce qui va mieux ? • Qu’est- ce qui a permis cela ? • Qu’est-ce que cela a permis ? • Rechercher de nouvelles exceptions • Utiliser à nouveau les échelles LES ENTRETIENS SUIVANTS
Le passant ou visiteur • Le plaignant • L’acheteur • Le copilote DIFFERENTS TYPES DE RELATION