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B.E.P. ??m?tiers de l'h?tellerie?? technologie de cuisine 1?re ann?e. B.E.P. ??m?tiers de l'h?tellerie?? technologie de cuisine ann?e terminale. LA TENUE DU CUISINIER. . . . LA TOQUEElle peut ?tre remplac?e par un calot ou une charlotte en papier. Le port d'une coiffe est obligatoire.. . LE TOUR DE COUTriangle en tissus tr?s l?ger, il permet d'absorber la transpiration du cou..
E N D
1. B.E.P. « métiers de l’hôtellerie » Technologie de cuisine
2. B.E.P. « métiers de l’hôtellerie »technologie de cuisine 1ère année
3. B.E.P. « métiers de l’hôtellerie »technologie de cuisine année terminale
4. LA TENUE DU CUISINIER
7. LES QUALITES DU CUISINIER
8. CONSIGNES DE SECURITE
11. STRUCTURE D ’UNE BRIGADE ET REPARTITION DU TRAVAIL
12. STRUCTURE DE LA PROFESSION
13. Les différentes formes d’organisation du travail
14. Les brigades
15. Les rôles en cuisine
18. L’organisation en cuisine
19. La lecture des tableaux de service
20. FICHE DE POSTE PATISSERIE RESTAURANT DU LYCEE Mises en place pour la carte été
fonds de tartelettes cuites
crème d ’amandes
crème pâtissière au Kirsch
crème au citron
poires pochées à la vanille et badiane
fondant au chocolat en cercle individuel
charlotte russe individuelle
entremet moka et caramel
pâte à bombe pour gratin de fruits
crème glacée à la vanille Bourbon
crème glacée chocolat caraïbe
sorbet au citrons de Provence
sorbet au fromage blanc
sorbets fruits rouges
crème Chantilly vanille
21. LES SECTEURS OU ZONES DE TRAVAIL, LA VENTILATION
28. LA VENTILATION
31. L ’ENTRETIEN DES LOCAUX
32. Hygiène des locaux et des matériels
33. Extrait de l’arrêté
34. Détergent et désinfectant
35. Fiches de procédures
36. Plan de nettoyage-désinfection
37. LA GESTION DES DECHETS
40. LE DEBARRASSAGE DES DECHETS
41. Manipuler les conteneurs en dehors des périodes de services dans la cuisine
Nettoyer et désinfecter les conteneurs et le local avec les produits lessiviels corrects ( détergents - désinfectants )
Vérifier l ’état général de bonne propreté du local
S ’assurer du ramassage fréquent et régulier des conteneurs L ’ENTRETIEN DES CONTENEURS
42. LA GASTRO - NORME
44. LE MATERIEL ELECTROMECANIQUE « ensemble des appareils possédant un moteur électrique »
45. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUES: Parmentière
46. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUES: coupe légumes
47. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUES: Cutter Mixer
48. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUES: Mixer plongeant
49. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUES: Batteur mélangeur
50. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUES: trancheur universel
51. ENTRETIEN ET SECURITE DU MATERIEL ELECTROMECANIQUE ET DE PREPARATION
53. LES APPAREILS ELECTROMECANIQUE EN RESTAURATION
54. L ’HISTOIRE DE LA CUISINE
63. ANALYSE SENSORIELLE
66. LES CUISSONS LES MODES DE CUISSON
68. CUISSON AVEC BRUNISSEMENT
69. CUISSON SANS BRUNISSEMENT
70. CUISSON EN ATMOSPHERE COMBINE
71. LE BUT DES CUISSONS
72. ACTION DE LA CHALEUR SUR LES PRINCIPES NUTRITIFS
74. ROTIR
75. POELER
76. SAUTER
77. FRIRE
78. GRILLER
79. SOUS VIDE
80. CUIRE A LA VAPEUR
81. CUIRE DANS UN LIQUIDE
82. BRAISER
83. CUIRE EN SAUCE OU RAGOUT
84. LES PREPARATIONS DE BASE
85. LES COURTS BOUILLONS
86. LES BEURRES COMPOSES
96. ROLES DES MARINADES
97. Marinade crue Réunir la garniture aromatique dans un récipient assez haut. Déposer l’aliment à traiter. Couvrir de vin et ajouter un peu de vinaigre et d’huile. Réserver au frais.
Marinade utilisée pour les viandes de boucherie et gibier.
98. Marinade cuite Suer la G.A. dans un récipient assez haut. Mouiller de vin et ajouter un peu de vinaigre et d’huile. Cuire 30 min. environ. Refroidir puis immerger la pièce. Réserver au frais.
Cette marinade utilisée pour les viandes de boucherie et gibiers permet d’accélérer les échanges de saveurs.
99. Marinade instantanée Disposer les éléments dans une plaque. Ajouter l’huile et le jus de citron. Placer les aliments en marinade quelque minutes ou quelques heures au frais en fonction de l’aliment et du but recherché.
100. LES GELEES
103. LES FONDS LES SAUCES DE BASE
104. LES FONDS BLANCS
105. LES FONDS BRUNS
106. LES FUMETS
107. REMARQUE
108. LES SAUCES DE BASE
109. LES LIAISONS
110. FARINE TORREFIEE Colorer au four la farine répartie uniformément sur une plaque, sous faible épaisseur.
Singer et exposer l ’aliment à la chaleur directe du four
111. BEURRE MANIE Beurre en pommade mélangé en proportions égale avec de la farine crue.
Incorporer progressivement et par petites quantités, dans le liquide à l’ébullition.
Remuer vivement avec un fouet et laisser cuire quelques minutes.
112. LES ROUX Beurre fondu sur le feu et mélangé en proportion égales avec de la farine, cuit doucement, plus ou moins longtemps selon la couleur recherchée.
Pour éviter la formation de grumeaux , le liquide est versé bouillant sur le roux froid.
113. AMIDON DILUE DANS UN LIQUIDE Mélanger de la fécule ou de la crème de riz ou de la maïzena avec un peu d’eau.
Incorporer peu à peu au liquide bouillant.
114. CEREALES Dans un liquide bouillant, verser de la semoule ou de la polenta.
Cuire quelques minutes en remuant.
Laisser gonfler.
115. Fruits ou légumes riches en amidon
116. Œufs entiers
117. Jaunes d’oeufs
118. Liaison par réduction
119. Beurre ou crème
120. LES LIAISONS COMPLEXES
121. LES SAUCES EMULSIONNEES
125. LES SAUCES EMULSIONNEES INSTABLES LA VINAIGRETTE
Ici il n’y a pas d’agent émulsifiant. Les éléments de la sauce se désolidarisent après quelques temps de repos. On peut servir cette sauce chaude ou froide, nature ou additionnée d’autres ingrédients. LE BEURRE BLANC
Apportée par le vin blanc, l’acidité de la réduction permet d’obtenir une émulsion. Cet élément est insuffisant pour assurer un maintien stable très longtemps. Cette sauce est toujours servie chaude
126. LA PATISSERIE ET ENTREMETS DE CUISINE
127. LES APPAREILS DE BASE
128. PRECAUTIONS ESSENTIELLES POUR LA REALISATION
129. LES CREMES DE BASE
132. FABRICATION DES GLACES
142. Appareil à crème prise
144. LES POTAGES
154. LA GESTION DES PRODUITS
155. CHOIX DES FOURNISSEURS
156. LIEUX D ’ACHAT
157. STOCKAGE DES MARCHANDISES
158. DISTRIBUTION DES PRODUITS
159. FICHE TECHNIQUE et BON D ’ECONOMAT
162. APPLICATION DES PRINCIPES DU SYSTEME H.A.C.C.P. : exemple la crème pâtissière 1. Analyse, identification et évaluation des danger.
Pour la crème pâtissière, le danger se situe surtout au niveau de la cuisson et du refroidissement.
2. Déterminer, parmi les dangers, les points critiques à maîtriser.
La bonne pasteurisation constitue un point critique, les conditions de refroidissement l’autre point critique. Une pasteurisation, un refroidissement, mal réalisés, sont des danger importants au niveau bactériologique.
3. Établir les critères, valeurs à atteindre et tolérances pour maîtriser les points critiques.
- Critère de températures : ébullition dans la masse totale
- Critère de temps : froid suffisant, pour assurer un refroidissement rapide ; ébullition pendant 1,30 à 2 min. selon le volume de crème pâtissière à cuire.
4. Surveiller les points critiques pour la maîtrise.
- Désigner un responsable capable de vérifier la pasteurisation de la crème pâtissière : temps d’ébullition puis refroidissement rapide sous film.
- Disposer de matériel efficace (horloge) pour s’assurer du temps d’ébullition.
- vérifier la propreté du matériel mis en œuvre, puis le filmage de la crème mise à ,refroidir.
5. Proposer des actions de correction à réaliser si, malgré la surveillance, un point critique n’a pas été maîtrisé.
- Pasteuriser à nouveau en prenant les mêmes précautions
- Détruire ou jeter, si la crème a été introduite dans une autre préparation fragile non recuite.
6. Vérifier le bon fonctionnement du système dans son ensemble.
Examiner si tous les points critiques identifiés sont bien surveillés.
7. Établir des documents ou fiches-protocoles, s’inspirant du système H.A.C.C.P.
Pour :
- toutes les fabrications
- l’emploi des produits de nettoyage et de désinfection
- le laboratoire, le matériel petit et gros, l’outillage
- l’hygiène du personnel
- les livraisons de marchandises et leur stockage
164. G.B.P.H.
165. LES 5 M
166. FICHE TECHNIQUE et BON D’ECONOMAT
169. LES ABATS
170. ANATOMIE
171. CLASSIFICATION
172. CRITERES DE FRAICHEUR
173. PREPARATIONS PRELIMINAIRES ET MODES DE CUISSON
174. CONSERVATION
175. COQUILLAGES, MOLLUSQUES et CRUSTACES
177. ACHAT
179. CONSERVATION
181. INDICES DE FRAICHEUR
184. CONSERVATION
186. LES LEGUMES FRAIS
187. CLASSIFICATION
188. LES FRUITS
189. CLASSIFICATION
190. L ’ETIQUETAGE
191. CONSERVATION
192. LES GAMMES
193. LES OEUFS ET
OVO - PRODUITS
194. STRUCTURE DE L ’OEUF
195. APPRECIATION DE LA FRAICHEUR Par mirage
coloration à peine rosée du blanc, jaune bien centré, chambre à air presque inexistante
Par observation
aspect de l ’œuf cru cassé
aspect de l ’œuf cuit au plat
aspect de l ’œuf cuit dur
196. CATEGORIE DE POIDS ET QUALITE
197. LES EMBALLAGES
198. PROPRIETES PHYSIQUES Propriétés liantes dues aux protéines du jaune et du blanc.
Propriétés moussantes et levantes (blancs ).
Propriétés émulsifiantes et stabilisantes (jaunes )
Propriétés colorantes
Propriétés aromatiques et sapides.
Propriétés clarifiantes ( blancs )
199. MODE DE CUISSONS
200. LES OVOPRODUITS
201. AVANTAGES DES OVOPRODUITS Utilisation rationnelle, pratique, rapide
Facilité d ’emploi
Garantie bactériologique très sûre
Qualité constante
Préparations économiques
Facilités de stockage et de conservation
Propriétés physiques remarquables
202. LES POISSONS
203. LES CATEGORIES DE PECHE LA PETITE PECHE ou PETIT METIER (artisanale )
bateaux s ’absentant du port 24 heures maxi
LA PECHE COTIERE ( artisanale )
bateaux s ’absentant du port entre 24 et 96 heures
LA PECHE AU LARGE ou PECHE HAUTURIERE
bateaux s ’absentant du port 10 jours environ
LA GRANDE PECHE ou « TERRE - NEUVAS »
bateaux s ’absentant du port plus de 25 jours
204. CRITERES DE FRAICHEURS
205. L ’ACHAT DU POISSON
206. MODES DE CONSERVATIONS
207. CLASSIFICATION
208. LES POISSONS DE MER LES POISSONS RONDS
Merlan
Bar ou loup
Merlu
Cabillaud
Sardine
Maquereau
LES POISSONS PLATS
Sole
Turbot
Barbue
Limande
Dorade
St Pierre
209. POISSONS D ’EAU DOUCE ANGUILLES
SAUMON
ALOSE
SANDRE
BROCHET
TRUITE
LAMPROIE
CARPE ...
210. CUISSONS
211. LES PRODUITS LAITIERS
212. LE LAIT
213. VALEUR ALIMENTAIRE
214. COMMERCIALISATION
215. TECHNIQUES DE CONSERVATION DU LAIT
216. LA CREME
217. LE BEURRE
218. CLASSIFICATION DES BEURRES
219. CONSERVATION DU BEURRE
220. LES FROMAGES
221. CLASSIFICATION DES FROMAGES
222. LES CORPS GRAS
223. LES CORPS GRAS
224. LES CORPS GRAS
225. REMARQUES
226. PRODUITS ALIMENTAIRES INTERMEDIAIRES
228. LES GAMMES DE PRODUITS 1er gamme : produits frais
2eme gamme : produits appertisés
3eme gamme : produits surgelés
4eme gamme : fruits et légumes conservés crus sous atmosphère contrôlé
5eme gamme : fruits et légumes conservés cuits sous vide
233. AVANTAGES Disparition des tâches ingrates ( épluchage, lavage ) entraînant une réduction du coût de la main - d’œuvre.
Gestion optimisée et plus précise ( calcul précis des coûts de revient).
Stockage réduit et moins coûteux ( disparition des chambres froides pour les légumes).
Qualité sanitaire assurée, hygiène accrue.
Réduction des surfaces de production.
Coût d’énergie réduit.
Capacité d’accueil en salle augmentée par la
réduction de la surface de production ( cuisine ).
Gestion des stock plus aisée.
Augmentation de l’activité de l’entreprise sans avoir recours aux extras ( banquet, séminaires, ... ).
Valorisation du métier de cuisinier qui nécessite désormais une plus grande connaissance des produits et des techniques modernes.
234. INCONVENIENTS Disparition progressive du personnel qualifié.
Standardisation des prestations qui entraîne évidemment la lassitude des convives, leurs désintérêt.
Démotivation du personnel qui ne fait pas toujours l’effort de valoriser le produit.
Effectifs de personnel en diminution.
La standardisation et la banalisation sont les deux dangers qui guettent la cuisine d’assemblage.
236. LES VIANDES DE BOUCHERIE
237. LES VIANDES CLASSIFICATION
ESTAMPILLES SANITAIRES
QUALITE
CATEGORIES ET CUISSONS
MORTIFICATION
238. CLASSIFICATION VIANDES ROUGES
bœuf, mouton, cheval
VIANDES BLANCHES
veau, agneau, chevreau
VIANDE DE PORC
239. ESTAMPILLES SANITAIRES F : PAYS D’ORIGINE
31: DEPARTEMENT D’ORIGINE
156: N° DE COMMUNE INSEE
01 : N° DE L’ABATTOIR
C.E.E.: EUROPE
240. CATEGORIES
241. CUISSONS PARTIES ARRIERES ET BAS DU DOS
cuisson courtes et rapides
ROTIR, GRILLER, SAUTER
EPAULES ET PARTIES COSTALES
cuissons plus longues
BRAISER, RAGOUT, POELER
COLLIER, POITRINE ET EXTREMITES
cuisson lentes et longues
POCHER, BRAISER, RAGOUT
242. MORTIFICATION Immédiatement après l’abattage , la viande n’est pas consommable car trop dure. Il faut la faire rassir ou mortifier quelques jours pour l’attendrir.
4 conditions pour réussir la mortification:
TEMPERATURE VOISINE DE 4°C
BONNE AERATION
TAUX D’HUMIDITE BAS
RESPECT DES DELAIS DE MORTIFICATION
243. L ’AGNEAU et LE MOUTON
244. LE PORC
245. LE VEAU
247. LE BOEUF
250. LES VINS ET ALCOOLS EN CUISINE
257. B.E.P. « métiers de l’hôtellerie »technologie de cuisine
258. LES VOLAILLES
259. CLASSIFICATION VOLAILLES A CHAIR BLANCHE
Poulet
Poule
Coquelet
Dinde
Chapon
VOLAILLES A CHAIR ROUGE
Canard
Pintade
Oie
Caille
Pigeon
260. COMMENT RECONNAÎTRE UNE VOLAILLE DE BONNE QUALITE Peau nette, fine, tendue à grain fin
Cou charnu, la volaille doit être lourde
Poitrine large, épaisse et bien fournie en viande
Partie inférieure du bréchet flexible
Chair ferme et souple sous la pression du doigt
Pattes lisses sans écailles trop prononcées, ergots à peine développé
A l ’odeur douce et agréable
A la lecture de l ’étiquette commerciale
261. PRESENTATIONS COMMERCIALES EFFILEES
EVISCEREES ou PRETES A CUIRE
MORCEAUX DECOUPES
VIANDES DE VOLAILLE SEPAREE MECANIQUEMENT ET IRRADIEES
VIANDES DE VOLAILLE RECONSTITUEES
262. ESTAMPILLES SANITAIRE
263. CRITERES DE QUALITE
264. REMARQUES
265. MODES DE CUISSONS
266. LES GIBIERS
267. CLASSIFICATION
268. ETIQUETAGE - ESTAMPILLAGE
270. QUAND ET QUEL GIBIER VENDRE AU RESTAURANT
271. LA CONSERVATION DES ALIMENTS
272. Les procédés de conservation
273. TECHNIQUES DE CONSERVATION
274. AUTRES MODES DE CONSERVATIONS
275. CONSERVATION DES DENREES CONGELEES
276. CONSERVATION DES ALIMENTS REFRIGERES
277. ECONOMAT
278. LES TYPES DE CUISSON LES MODES DE CUISSON
280. LE BUT DES CUISSONS ?
281. ACTION DE LA CHALEUR SUR LES PRINCIPES NUTRITIFS
283. POELER
284. SOUS VIDE
285. BRAISER
286. CUIRE EN SAUCE OU RAGOUT
287. LES PATES FRAICHES ET FARINAGES
292. LES PLATS CUISINES ELABORES A L ’AVANCE
297. LES SIGNES DE LA QUALITE La France, pays de la gastronomie et du bien manger, dispose depuis de longues années de signes officiels de qualité et d’origine, mis en place par les pouvoirs publics. Ces produits font l’objet de cahiers des charges spécifiques et sont contrôlés par des organismes certificateurs indépendants.
307. LE GROS MATERIEL
308. LES ENERGIES UTILISEES
309. Fours
310. Plaque à induction
311. Four à micro-ondes
312. Batteur mélangeur
313. Tour réfrigéré
314. Cellule de refroidissement
315. Turbine à glace
316. Matériel frigorifique
317. Fermentation contrôlée
318. Laminoir
319. Four convoyeur
320. PIANO OU MODULE DE CUISSON