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Questions au capitalisme cognitif. 1- Territoires. Effectifs = 18 000 Capitalisation = 180 Mds$. Effectifs = 320 000 Capitalisation = 0 Mds$. Industries de fabrication / transformation. PRODUCTIVITE. INPUT. OUTPUT. Industries de captation et de convergence. Territoire productif.
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Questions au capitalisme cognitif Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
1- Territoires Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Effectifs = 18 000 Capitalisation = 180 Mds$ Effectifs = 320 000 Capitalisation = 0 Mds$ Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Industries de fabrication / transformation PRODUCTIVITE INPUT OUTPUT Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Industries de captation et de convergence Territoire productif Outcome INPUT UPGRADE OUTPUT Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Entreprise Employés Clients Entreprise Fournisseurs Clients Clients Fournisseurs Fournisseurs Employés Externalisation Captation / intégration Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Intangible asset = ? More in the Whole than in the sum of the part • Intangible asset = ? • More in the Whole than in the sum of the part Internal drivers External drivers • brand value • CRM value • IP • Value of convergence • shaping future options • HR Capital • network effects • competitive territory • in which the company is located • prosuming • being perceived as an integrator • reshaping company’s sector • externality capture GOODWILL Intangibleassets Externalities Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Le mouvement stratégique causé par la dématérialisation Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
2- Désirs Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
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Les nouvelles valeurs de consommation Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Signification et valeur(s) des marques depuis septembre 2008 Savoir-faire historique recentré autour du core business patrimonial Acceptabilité et désirabilité des marques Insertion de l’entreprise dans des grandeurs de biens communs Personnalisation, interactivité, design de service L’entreprise devient un hub rassemblant et connectant les contributions Développement durable Préservation des biens communs de la biosphère Développement responsable Augmentation des biens communs de la noosphère
En bleu, les « acquis » sur lesquels s’appuyer Capital de Confiance Problème principal : comment maintenir une dynamique d’innovations convertissant l’importante augmentation actuelle du capital de confiance ? Une histoire racontée par 65 millions de personnes Un imaginaire de BIEN COMMUN qui dépasse l’opposition public – privé Problème principal : comment passer du statut d’entreprise industrielle au statut d’acteur central de la noosphère ? • Problème principal : • comment convertir les valeurs de proximité (spatiales) en valeurs d’accès (temporelles) ? • comment se situer à la convergence des flux numériques et physiques, et devenir un tiers de confiance central du 3.0 ?
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Emploi Activité Employabilité Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Employabilité Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
3- Les externalités : d’une question plutôt économiste à la grande réappropriation Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Qu’est-ce qu’une externalité ? Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Qu’est-ce qu’une externalité ? MARCHAND NON - MARCHAND Régulation publique Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Qu’est-ce qu’une externalité ? « Economie » « Culture » Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Une explicitation massive du périmètre des externalités • Sustainable growth • Social acceptance • Network economy • Derivate products economy • Long Tail • CtoC models • Viral marketing • New medias • Prosuming Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Product marketing attributes Brand Equity Externalities Externality capture considered as intangible asset (= goodwill) Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
quality desirable fashionable beautiful Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
omnipower technologic multifunction quick C to C Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
fresh tasteful nourishing convenient HEALTH Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
3- Financiarisation et tâtonnements Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
…1990 • Capitalisme managérial : « Je fabrique des maillots de bain et des parapluies »
1995 • Shareholder Value : « Je peux moi-même pondérer mes risques; concentre-toi sur les maillots de bain ou sur les parapluies : rends toi comparable » • « Le capital n’est pas gratuit » • Généralisation des calculs de coûts d’opportunité • Economic Value Added • Mouvements massifs d’externalisation des immobilisations • « L’entreprise sans usines » : dissociation conception / fabrication • Upgrade du core business • Création massive d’immatériels sans principes de capitalisation
2001 • Fair value : comment recréer des principes de capitalisation et de valorisation sur les principaux actifs, désormais situés « hors les murs » ? • Déclassement des concepts patrimoniaux d’analyse de la valeur • Séparabilité • Visibilité • Innovation = capture des externalités et des effets de réseau • Horizon de dépassement de l’antinomie offre / demande par la figure de l’interactivité • Forfaits & abonnements • Bouquets • Consommateur = prosumer
La mutation du paradigme financier Depuis milieu 2000’ 1990’ • Upgrade – centrifuge • Périphéries, convergences, intersections, captations • Recherche d’une survaleur / prime d’incomparabilité • Fair value • Opportunités liées aux imperfections de la finance de marché dans leur évaluation des immatériels • Immatériels comme leviers de valorisation • Productivité interne - centripète • Core business • Conformité au benchmark sectoriel • Shareholder value • Finance de marché détermine • la finance d’entreprise • Immatériels constatés et maîtrisés par la comptabilité Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
La montée en compétences vers le statut • d’intégrateur implique aussi un renoncement • au « bouclage» des modèles économiques • producteur / producteur intermédiaire / • systémier / intégrateur … • producteur de publics Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Le paradoxe organisationnel • Les processus de capitalisation endogène du capital tangible (capacités de production) ou intangible (savoir-faire, marques, etc.) entrent en très forte tension avec les exigences nouvelles de séparabilité, de visibilité, de nécessité d’acquérir une valeur perçue pour les actifs les plus stratégiques • Vers une mise en cause du modèle du « pure player » (90’ – 2000’) au profit du modèle de l’intégrateur ? • Le pure player est un acteur comparable au sein de son secteur • L’intégrateur agrège ses périphéries et crée son propre secteur • Le paradoxe organisationnel : la montée en compétences vers le statut d’intégrateur implique aussi un renoncement au « bouclage» des modèles économiques • producteur / producteur intermédiaire / systémier / intégrateur … producteur de publics Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Le paradoxe de la productivité • Les entreprises extériorisent leurs critères de valorisation (ARPU, audience, forfaitisation des transactions…), ce qui entraîne une crise aigue du « périmètre de la firme » • Le paradoxe de la productivité : dans une économie immatérielle, les facteurs essentiels de productivité (effets de réseaux et de club, captation des externalités) des actifs et du capital engagé sont en même temps de puissants moteurs centrifuges de diversification des activités • Le paradoxe de la production : de la production de biens et services à la production de publics • Modèles économiques basés d’abord sur forfaits, fidélisation, audience • Crise des droits de propriété : comment émettre des droits de propriété sur sa propre extériorité ? Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Le paradoxe financier • La comparabilité financière est appuyée sur les multiples sectoriels, qui déterminent les taux d’actualisation • Le paradoxe financier : • La valeur doit pouvoir correspondre précisément à l’actualisation des cash-flows futurs; elle doit n’en être que l’expression (faute de quoi, elle est spéculative) • MAIS EN MEME TEMPS la survaleur (et ses effets de levier) ne se forme que par irréductibilité de la valeur aux comparables… et donc aux logiques proprement sectorielles • Il faut donc démontrer que la survaleur est fondée sur des convergences à venir (entre technologies, usages de consommation), et par l’efficience propre des consomm’acteurs Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Le paradoxe marketing • Les marques veulent renforcer leur audience et leur identifiabilitié (« ADN » de marque), mais en même temps elles ne peuvent être productives d’en captant des externalités et en laissant suffisamment de place à l’expression propre des consommateurs / producteurs • Hésitations fortes entre • micro-économie (ADN de marque) et nano-économie (indétermination, interactivité, marque-capteur) • marketing de masse (global brands, TV…) et marketing relationnel (RP, web, mécénat, signaux faibles, communication dite « holistique »…) Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Finance Marketing Production Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Immatériels 2 Opinions & valeurs perçues Design capitalism ? Capitalisme cognitif ? Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Immatériel 1 et Immatériel 2 Immatériel 1 : processus d’incorporation du cognitif et des savoirs à la production matérielle émission de droits de propriété sur des immatériels codifiés (brevets, droits d’auteur, marques, bases de données) Immatériel 2 : processus de subordination de la production matérielle à des dispositifs de captation de l’innovation perturbation de la gouvernance économique par des immatériels implicites (audience, opinion, marques) Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Intangibles durs , intangibles mous Difficultés croissantes d’exécution des droits de propriété inhérents aux intangibles durs Montée de la coopération en réseaux numériques de l’activité vivante et de la maîtrise d’interrelations complexes dans la production de l’innovation Apparition à côté des intangibles durs d’intangibles mous couvrant partiellement ces nouveaux facteurs de production (organisation, confiance, formation d’une opinion commune, capacité de l’entreprise à apparaître non pas comme un acteur de son secteur mais comme délimitant le périmètre de son secteur) Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com
Septembre 2008 Intangible assets economy 1995 – September 2008 Outcomes Commonwealth Outputs Industrialist reaction Low-cost products Green bubble Hybridizing public sector / market goods Cycle Philosophie & Management – Bruxelles, 20 mars 2010 antoine.rebiscoul@gmail.com