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LE SUICIDE – Prévention, Intervention et Postvention en milieu scolaire. Aperçu pour les gestionnaires des écoles. Le Suicide est un SUJET difficile.
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LE SUICIDE – Prévention, Intervention et Postvention en milieu scolaire Aperçu pour les gestionnaires des écoles
Le Suicide est un SUJET difficile Nous avons tous été confronté à cette questionsoit dans nos vies personnelles et/ou professionnelles.Puisque nous traitons d’un sujet difficile, veuillez être vigilants les uns envers les autres pour encourager un soutien mutuel non seulement aujourd’hui mais dans les prochains jours. Il n’y aura pas de pauses à des heures fixes : libre à vous de rentrer et sortir à votre guise.Si vous ressentez le besoin de parler à quelqu’un, vous pouvez vous adresser à nous.
ContextE • Cette présentation s’adresse à l’équipe de leadership en matière de santé mentale de votre école. • Elle est conçue pour: • Établir une compréhension commune du suicide parmi les leaders en santé mentale. • Mettre en évidence des stratégies utiles de prévention, d’intervention et de postvention. • Recommander des actions à considérer au niveau de l’école.
GRANDES LIGNES DE L’ATELIER • Survol de la question du suicide chez les enfants et les jeunes • Stratégies de prévention, d’intervention et de postvention • Enjeux pour les leaders des conseils scolaires • Actions recommandéespour l’équipe de leadership en santé mentale • Rôles et protocoles (équipe de leadership en santé mentale, direction d'école, équipe de gestion et de réponse aux incidents critiques) • Stratégies (identification précoce et prise en charge rapide des problèmes de santé mentale, engagement des jeunes, création d’une culture communautaire) • Renforcement des capacités (diffusion de l’information, formation des observateurs, éducation dans les médias)
Bref aperçu Le suicide chez les jeunes
Comportement suicidaire • Automutilation non suicidaire • Tentative délibérée de causer des blessures à son propre corps, sans avoir consciemment la volonté d’en mourir. • Idéation suicidaire • Pensées suicidaires comprenant des idées de vouloir mourir par suicide et l’élaboration d’un plan d’action pouvant mener à la mort. • Tentative de suicide • Comportement autodestructeur manifestant une intention de mourir • Décès par suicide • Comportement autodestructeur entraînant la mort
Faits et chiffres • La deuxième cause de décès après les accidents, représentant de 17,3 à 20,4 % de la mortalité chez les adolescents (il est toutefois important de mettre cela en perspective, car la mort est relativement rare dans ce groupe d’âge) • Chez les jeunes de 15 à 19 ans, les garçons ont plus tendance que les filles à se suicider. • D’après une étude épidémiologique récemment menée au Canada, les taux de suicide sont demeurés généralement stables au cours des 30 dernières années, mais les tendances évoluent vers une baisse des taux chez les hommes et une hausse chez les femmes (Skinner et McFaull, 2012)
La complexité du risque Facteurs de protection
Vulnérabilités - individu • Maladie mentale (ex:troubles d’humeur, d’anxiété, de comportement) • Antécédents d’un comportement suicidaire • Consommation de substances • Humeur instable, forte impulsivité • Tendances à avoir des pensées ou modes d’adaptation rigides • Mauvaise santé physique, maladie chronique N.B. Ces facteurs de risque sont corrélatifs et non causatifs; normalement, c’est l’accumulation des facteurs de risque qui est associée au comportement suicidaire.
Vulnérabilités - Famille • Antécédents suicidaires de sa famille • Maladie mentale chez les parents • Alcoolisme ou toxicomanie à la maison • Antécédents de violence ou de mauvais traitements • Divorce, séparation, autres pertes, décès • Tension et agression entre les parents • Manque de temps par les parents, rejet, négligence N.B. Ces facteurs de risque sont corrélatifs et non causatifs; normalement, c’est l’accumulation des facteurs de risque qui est associée au comportement suicidaire.
Vulnérabilités – École/ communauté • Difficultés d’apprentissage • Décrochage scolaire • Manque d’un sentiment d’appartenance • Marginalisation • Rupture d’identité ou d’orientation (culturelle, langagière, sexuelle) • Certaines communautés vivent des vulnérabilités plus aigues (ex: autochtone, LGBTQ, sans abris) • Relations sociales négatives, comprenant l’intimidation
Intimidation et le suicide Augmente le risqued’intimidation Victimisation Vulnérabilitépréexistante • DéclencheouAggrave: • L’anxiété • Humeurdépressive • Diminution d’estime de soi • Sentiment d’emprisonnement • Solitude • Décrochage • Difficultés de sommeil/alimentation • Désespoir Qui sont des facteurs de risque pour Idéationsuicidaire Tentative de suicide Décès par suicide AdaptéLenny Berman 2010 Bullying and Suicide 8doc.webinar American Association of Suicidology
Déclencheurs • Rupture amoureuse avec copain/copine • Conflits et arguments fréquents avec parents et/ou frères ou sœurs • Perte d’un ami ou d’une amie proche • Difficultés en milieu scolaire – conflits avec les enseignants, élèves • Démêlés avec la justice • Changement dans l’état financier des parents • Maladie ou blessure grave d’un membre de la famille • Perte de statut réel ou perçu
Contagion • Se produit lorsqu’un comportement suicidaire influence d’autres personnes à manifester également un tel comportement. • De multiples comportements suicidaires ou décès par suicide qui se produisent dans une région géographiquequelconque ou lors d’une période déterminée peuvent constituer un ‘cluster’ ou une vague potentielle. • Bien que ces vagues soient rares, elles se produisent surtout chez les adolescents.
Cercles de vulnérabilité Population à risque Lahad et Cohen, 2006
Rôle des médias sociaux et VIRTUELS • Nombre croissant de sites, de salons de chat et de blogues qui encouragent l’idéation suicidaire • Les méthodes de suicide sont décrites en-ligneet quelques chercheurs proposent que l’augmentation récente de certaines méthodes serait attribuable à ces discussions. • La diffusion rapide des rumeurs et des détails sur les suicides est difficile à gérer. • De façon paradoxale, les médias sociaux pourraient offrir des avantages par rapport à la prévention du suicide.
Le rôle des médias • Les médias peuvent être bénéfiques ou nocifs, mais ils ne sont pas neutres et ne peuvent se considérer comme des observateurs impartiaux. • La contagion (mimer le comportement suicidaire) est un phénomène réel auquel les jeunes sont particulièrement vulnérables. • Les médias doivent être tenus responsables du respect de directives sécuritaires sur la diffusion de l’information suite à un décès par suicide. • Les médias peuvent aider à sensibiliser les gens de façon plus générale sur les problèmes de santé mentale des enfants et des jeunes.
Réactions aux nouvelles dans les médias de masse et les médias sociaux • Au cours des dernières semaines, on a vu… • Un exemple extrêmement tragique de la complexité du comportement suicidaire • Une illustration de l’influence et des dangers des médias sociaux • Une couverture médiatique irresponsable et une simplification excessive des enjeux dans une bonne partie de ce qui se dit dans les médias • Des actions bien intentionnées mais pouvant causer du tort • La contagion • L’amplification du besoin que les gestionnaires des écoles et des conseils scolaires veillent à la sécurité des élèves
Facteurs de protection • Résolution de problèmes, habiletés de vie et de communication • La sociabilité • Une personnalité résiliente • Un sentiment d’appartenance (école, communauté) • Attachement sécure avec un parent/famille positive • Access to other caring & supportive adults • Accès à d’autresadultesbienveillants • Rapports pro-sociaux avec les pairs • Discipline appropriée, limites et structure bienétablies • Occasions pour développerl’estime de soi • Bonne santé mentale
Le suicide des jeunes est un problème complexe qui représente le point de convergence de nombreux facteurs. Les explications et les solutions sont tout aussi complexes.
Que pouvons-nous faire? • Réduire les vulnérabilités – à l’école • Assurer un climat scolaire bienveillant et sécuritaire, en particulier pour les élèves vulnérables (accroître le sentiment d’appartenance, augmenter l’engagement, démontrer le respect pour les différences) • Bâtir les facteurs de protection • Offrir des occasions de développer l’estime de soi, les habiletés de vie, etc. • Reconnaitre les déclencheurs • Écouter et identifier les élèves à risque • Minimiser le risque de contagion • Détenir un plan de soutien
Stratégies Le suicide - Prévention, intervention, postvention
En premier lieu, éviter de faire du tort • En envisagent des stratégies de prévention, d’intervention et de postvention, l’équipe de leadership en santé mentale doit reconnaitre que ce travail n’est pas sans conséquences. • Certaines actions sont plus efficaces que d’autres, certaines comportent des risques, et plusieurs n’ont pas fait l’objet d’une évaluation rigoureuse. • Il faudrait donc réexaminerles pratiques existantes pour voir si elles sont conformes aux données factuelles dans le domaine. • Dans le cas où il serait nécessaire de modifier certaines pratiques, il sera également important d’assurer une communication étroite avec l’équipe de gestion supérieure.
À considérer… • Que fait votre conseil scolaire de façon consistante à l’échelle du système par rapport à la prévention, l’intervention et la postvention du suicide. • Ces initiatives s’alignent-elles avec les données probantes?
Réponse au suicide en milieu scolaire • Comprend quatre éléments: • Fondements administratifs, la prévention, l’intervention et la postvention
Qu’est-ce que le fondement administratif? • Le fondement administratif comprend le soutien et l’engagement du conseil scolaire sous forme de politiques et de directives administratives véhiculées par les directions d’écoles, afin de répondre à l’étendue des besoins des élèves pouvant être à risque de suicide.
Qu’est-ce que la Prévention? L’effort de réduire le risque de pensées et de comportements suicidaires chez les jeunes de façon systématique
Qu’est-ce que l’ intervention? • Des pratiques comprenant l’identification et la réaction aux élèves ayant des idées ou des comportements suicidaires • Des pratiques comprenant le soutien d’élèves vulnérables faisant la transition vers un service en santé mentale et à leur retour
Qu’est-ce que lapostvention? Soutien pour la communauté scolaire en réaction à un soupçon, à une tentative ou à un décès par suicide
Stratégies de Prévention efficaces • Une culture scolaire accueillante et sécuritaire • Apprentissage socio-émotionnel (aptitudes d’adaptation, résolution de conflits) • Identification précoce et prise en charge de problèmes de santé mentale • Formation des sentinelles • Diffusion de l’information (personnel, parents, élèves)
Stratégies de prévention à éviter • Il existe des risques inhérents aux stratégies suivantes : • Organiser des programmes cadre de sensibilisation au suicide pour les élèves, surtout sous forme de leçon unique (il est préférable de donner cet enseignant dans le contexte d’un programme consacré à la santé mentale en général, étalé sur plusieurs leçons, avec l’accent mis sur les facteurs de protection, et après que les adultes aient suivi une formation pour observateurs). • Faire du suicide le point central ou unique de l’étude. • Donner des conférences sur le suicide avec un public très nombreux. • Organiser des activités pouvant glorifier le suicide ou le rendre attirant. • Offrir du counseling par les pairs au sujet du suicide.
Diffusion de l’information et formation des Sentinelles • Les besoins de connaissances diffèrent selon les auditoires • SENSIBILISATION – Les enseignants peuvent profiter d’une séance de seulement deux heures pour les informer au sujet des facteurs de risque, des signaux d’alerte et de ce qu’il faut faire si un élève semble être à risque de suicide • LITTÉRATIE – Une formation plus poussée des sentinelles peut être offerte aux quelques personnes dans l’école qui occupent un poste dans lequel elles sont plus susceptibles d’être abordées par des élèves à la recherche d’aide (équipe administrative, d’orientation, ressource, de réussite des élèves) et qui sont disposées à offrir des services de consultation et de soutien en cas de crise. • EXPERTISE – Les professionnels en santé mentale à l’école doivent maintenir des connaissances et des compétences solides au sujet de l’évaluation du risque de suicide et de la prise en charge.
Connaissances nécessaires • Pour qu’une intervention porte fruit, on peut partager les connaissances fondamentales sur les signes précurseurs avec des personnes plus aptes à remarquer des changements de comportement chez les jeunes. • Personnel scolaire, parents, élèves, membres de la collectivité qui travaillent auprès des jeunes • On peut partager ces connaissances de différentes façons (dépliants, ateliers, fiches de renseignements, sites Web de confiance, médias). • Les principaux signes précurseurs décrits ici peuvent servir d’outil de référence rapide. • Il est impossible de prévoir totalement le suicide. On ne peut faire que de notre mieux.
Signes précurseurs : Comportement • Perte d’intérêt par rapport aux activités antérieures • Perte d’intérêt envers les contacts sociaux • Difficulté à se concentrer, problèmes de jugement et de mémoire • Changement significatif du rendement scolaire • Sentiments de tristesse, de vide et de désespoir se reflétant dans les travaux écrits • Troubles du sommeil Ces signaux concernent également des problèmes de santé mentale en général.
Signes précurseurs : Comportement • Expressions de colère et de rage excessives • Consommation de quantités excessives de drogues ou d’alcool • Promiscuité • Comportement inhabituel d’écarts de conduite ou de recherche de sensations fortes • Automutilation • Gestes ou tentatives antérieurs de suicide • Planification en vue de sa propre mort; prise de dispositions finales; distribution des biens préférés
Signes précurseurs: Communication • Déclarations montrant le désir de mourir ou une préoccupation avec la mort • Commentaires nihilistes : la vie n’a pas de sens, est remplie de malheurs, à quoi bon continuer…? • Menaces verbales ou écrites • Une période de gaité soudaine faisant suite à une longue période de dépression peut exprimer le soulagement suite à une prise de décision.
Stratégies d’Intervention efficaces Identification et aiguillage • Assurer que le personnel soit sensibilisé aux signes précurseurs • Assurer un protocole claire au niveau de l’école • Offrir un soutien immédiat et calme à l’élève • Assurer la sécurité et la supervision • Faciliter l’évaluation et la prise en charge • Contacter les parents/tuteurs/tutrices • Documenter les actions
Stratégies d’Intervention efficaces Soutenir les élèves vulnérables • Assurer que les membres du personnel comprennent les rôles et les limites de compétences • Encourager le personnel à adopter un rôle d’adulte bienveillant • Identifier les élèves vulnérables • Collaborer avec le personnel clinique lorsqu’il est impliqué • Créer un plan de sécurité en milieu scolaire pour chaque élève selon les besoins • Mettre en œuvre et réévaluer les plans selon les besoins
Stratégies d’intervention à éviter • Modèles d’intervention par les pairs ayant un encadrement et une surveillance adulte insuffisants • Recrutement de sentinelles qui ne sont ni à l’aise ni prêtes à assumer le rôle • Counseling avec des élèves à risque élevé par des professionnels non-qualifiés
Stratégies de postventionefficaces • Comprendre les phases de postvention • Détenir un plan qui définit les rôles de chacun dans les phases de postvention • Dans les 24 premières heures suivant l’incident • De 48 à 72 heures qui suivent l’incident • Au cours du premier mois • Plans d’avenir • Soyez vigilants pour assurer votre bien-être personnel et celui de l’équipe
LE TRAVAIL PAR phases • La présentation complémentaire pour l’équipe de leadership en santé mentale propose des éléments pour la postvention selon les phases • Cette tâche difficile est généralement dirigée par l’équipe de gestion de l’école, soutenue par la surintendance, l’équipe de gestion de crise, l’équipe de leadership en santé mentale et le service des communications internes, selon les besoins. • Message clé – détenir un plan afin de déterminer qui fait quoi à chaque étape de la postvention.
Dans les 24 premières heures • Confirmer le décès et les faits, parler en personne à la famille de l’élève (en principe la direction appuyée par l’équipe du conseil scolaire). • Mobiliser l’équipe de gestion de crise/d’intervention. • Évaluer l’impact du décès et l’ampleur de l’intervention requise. • Si les parents ne veulent pas que la cause du décès soit divulguée et que les élèves ont peu de chances de l’apprendre, il n’est pas nécessaire de mener une postvention à grande échelle. • Par contre, les événements ayant eu de nombreuses répercussions et une résonance dans les médias exigent le soutien de l’équipe de gestion du conseil scolaire pour la mise en oeuvrede protocoles de postvention. • Identifier les élèves vulnérables et offrir un soutien. • Déterminer quelle information partager, avec qui et comment. • Informer la surintendante ou le surintendant, le personnel de l’école, les élèves en classe (et non par le système d’annonces ou devant des rassemblements), à l’aide de scénarios préparés d’avance. • Gérer les médias en faisant appel à un agent de liaison ayant une formation en la matière (il peut s’agir d’un membre de l’équipe du conseil scolaire).
De 48 à 72 heures suivant l’incident • Rétablir les routines habituelles de l’école. • Faire le lien avec la famille endeuillée ou concernée. • Envisager de participer aux funérailles ou cérémonies. • Éviter d’avoir sur le campus des commémorations qui risquent de glorifier le suicide. • Veiller au bien-être du personnel. • Tenir la communauté scolaire au courant. • Faire participer les partenaires communautaires au soutien à la postvention. • Documenter les mesures prises.
Au cours du premier mois • Veiller au bien-être du personnel et des élèves. • Planifier les activités scolaires pertinentes (album-souvenir, soirée de remise des prix, remise de diplômes). • Mener une analyse d’incident critique. • Envisager d’offrir aux parents des séances d’information avec l’organisme de santé mentale. • Continuer à documenter les actions. • Débriefing de l’équipe d’intervention
Plans d’avenir • Continuer à soutenir et à surveiller les élèves et le personnel. • Planifier les anniversaires, fêtes et événements significatifs. • Mettre en œuvre les recommandations de l’analyse de l’incident critique, en consultation avec les surintendants et l’équipe de leadership en santé mentale. • Évaluer les stratégies actuelles de prévention du suicide et les renforcer si possible. • Partager le plan de postvention avec les nouveaux employés. • Continuer à collaborer avec la collectivité pour améliorer les réponses à l’avenir.
Médiassociaux Médias
Se soutenir les uns et les autres • Le décès d’un élève par suicide signifie une crise particulière au sein d’une communauté scolaire et celle-ci nous affecte aux niveaux professionnels et personnels • L’équipe de l’école doit collaborer pour avoir plusieurs des séances de débriefing et pour s’entraider lorsqu’un autre membre de l’équipe souffre • Les membres doivent prendre le temps de réflexion pour se soigner. • L’équipe du conseil scolaire peut offrir de l’aide à cet égard – l’équipe école ne doit pas être seule
Documentation de la mobilisation d’une collectivité en réaction à une série de suicides
Une stratégie complète pour la prévention du suicide doit comprendre les éléments suivants : • Des stratégies universelles proactives qui visent la promotion du sentiment d’appartenance à l’école (la main tendue aux élèves vulnérables) • Un enseignement généralisé sur les aptitudes d’adaptation comme la résolution des problèmes et des conflits • Les connaissances et aptitudes nécessaires à l’identification précoce des problèmes de santé mentale (avec des liens clairement établis vers les services) • Formation des sentinelles, avec des protocoles pour les élèves à risque • Postvention efficace avec des protocoles D’autres stratégies? Évaluons-les!