80 likes | 222 Views
REPUBLIQUE DU BURUNDI DEUXIEME VICE-PRESIDENCE SECRETARIAT PERMANENT DU COMITE NATIONAL DE COORDINATION DES AIDES SP/CNCA. Assurer un impact durable: «le rôle de l’appropriation national et des différents acteurs » Expérience Burundaise. Bamako, 05 mai 2011.
E N D
REPUBLIQUE DU BURUNDI DEUXIEME VICE-PRESIDENCE SECRETARIAT PERMANENT DU COMITE NATIONAL DE COORDINATION DES AIDES SP/CNCA Assurer un impact durable: «le rôle de l’appropriation national et des différents acteurs » Expérience Burundaise Bamako, 05 mai 2011
Appréciation général du Niveau d’Appropriation • Elaboration et mise en œuvre du CSLP et du CCP; • Elaboration de la vision 2025 • Elaboration du CSLP 2eme Génération; • Implication de tous les acteurs; Contraintes • Faiblesse des capacités institutionnelle en matière de planification stratégiques, • Problématique d’incohérence sur la chaîne de coordination Défis • Renforcer les capacités de planification stratégiques; • Mettre en cohérence les fonctions de planification, de budgétisation et de coordination
Planification Stratégique au Burundi • Outils principaux de planification stratégique (vision 2o25, CSLP, Stratégies sectorielles) • Participation des acteurs a la définition des politiques (gage de leurs adhésion) • Les stratégies pays des donneurs prennent référence aux priorités du CSLP (ajustement du UNDAF) pour contribuer aux résultats escomptes; • Un nombre limités de donneurs discutent de leurs stratégies avec le gouvernement ( moins d’implication des autres acteurs); • Le gouvernement ne joue pas le lead dans ce processus • Les résultats escomptes sont souvent irréalistes et difficilement mesurables • Absence d’approches basée sur le rapport cout - efficacité
Participation des acteurs au processus de planification • Consultations communautaires (Ass, adm, élus, etc), • Consultations sectoriels (SC, PTF, SP, Gov) • Analyse et validations des résultats des consultations dans les Fora stratégique et politique (SC, PTF, SP, Gov, Parl, etc) • Participation des mêmes acteurs aux revues annuelles des politiques et stratégies nationales et sectorielles, et a la validation d’autres documents • Renforce aussi la cohérence et la complémentarité entre les différentes interventions des PTF, • Cette implication renforce l’adhésion des acteurs aux priorités fixées, • Les PTF se sentent progressivement responsables des priorités arrêtées (niveau de responsabilité mutuelle)
Le Mécanisme de Suivi et d’Evaluation • Absence d’un cadre de référence pour le suivi-évaluation • Non fiabilité des statistiques nationales, • Faiblesses des capacités nationales, • Ces contraintes sont un obstacle a l’appropriation nationale de l’évaluation de l’impact de la coopération • Les donateurs utilisent leurs propres systèmes de suivi et d’évaluation pour évaluer les résultats de leur coopération, • Un nombre limite de fonctionnaires sont associes aux revues d’ évaluation, • Une participation significative des fonctionnaires est remarquée la ou les revues conjointes ont été effectuées
Fragmentation de l’aide • Elle se traduit par un éparpillement de l’aide; • Une augmentation inutile du coût de transaction liées à la gestion des projets; • Au Burundi ont totalisait, en 2009, 244 projets • L’engagement par projet variait entre 18 312 USD à 84 millions; • Le nombre de projets/Ministère variait entre 1 et 43 Perspective: • Participation de tous les acteurs dans les travaux des Groupes sectoriels; • Elaboration des politiques, stratégies, plans d’actions et CDMT sectoriels • Les ministères accroîtront la maitrise des interventions qui sont de leurs ressort; • Amélioration de l’alignement sur les priorités nationales
Recommandations • Les nations Unies et autres donneurs devraient aider davantage le pays a assainir le cadre institutionnel et renforcer ses capacités dans les secteurs de la planification stratégique, de la statistique et du suivi-Evaluation, • Les gouvernement doivent jouer pleinement le rôle de leadership dans les processus de planification et d’ évaluation des impacts de actions menées dans le cadre de la mise en œuvre de leurs politique de développement, y compris l’ évaluation de l’impact de la coopération • Les donneurs devraient progressivement avancer vers une planification commune et ouvrir ce processus a tous les acteurs pour avoir une même appréhension des défis et de la réponse a y apporter • Les donneurs et les gouvernement doivent se sentir davantage coresponsables des erreurs et des réussites;