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La sécurité du jeune joueur dans le rugby. Les risques encourus. L’évolution du règlement. La prévention. Les risques encourus :. Des blessures légères. L’arrêt de la pratique < 8 jours. Des blessures moyennes. L’arrêt de la pratique < 30 jours. Des blessures sévères.
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La sécurité du jeune joueur dans le rugby Les risques encourus. L’évolution du règlement. La prévention.
Les risques encourus : • Des blessures légères. L’arrêt de la pratique < 8 jours. • Des blessures moyennes. L’arrêt de la pratique < 30 jours. • Des blessures sévères. L’arrêt de la pratique < 90 jours. • Des blessures graves. La saison est terminée.
Les parties du corps les plus touchées : • Les chevilles • Les genoux • Les épaules • La tête • Le cou
L’évolution du règlement Permettre aux joueurs de pratiquer dans un contexte SECURISE et SECURISANT
Faire reculer la défense doit permettre d’éviter les chocs frontaux
L’apprentissage progressif des joueurs participants à la MELEE devra diminuer les risques • Pas de mélée en – 11 ans : « jouer vite » • Choix à partir des – 13 ans : « jouer vite » ou « mélée » ( apprentissage : placement, gainage , liaisons , appuis …. ) • En –15 ans : mélée « imposée » ( apprentissage : placements et lutte pour le gain du ballon au talonnage )
Dans le même esprit , l’aide au saut enTOUCHEfait l’objet d’un apprentissage progressif et n’apparaît qu’après 15 ans
Le PLACAGE sera réglementé afin d’éviter les accidents et traumatismes : • « à partir de la zone de la ceinture » • interdiction des « projections » et des « cuillères »
L’alternance sur une rencontre de plusieurs séquences de jeu et de pauses entraîne une fatigue réduite
Un règlement SECURISANT, PROGRESSIF ET ADAPTE , répondant aux nouvelles exigences du jeu : avec des lancements dynamiques favorisants la polyvalence et à « l’intelligence situationnelle »
Les éducatifs. Position du bassin : méthode des contrastes entre ce qu’il faut faire – antéversion (« fesses sorties ») – et ce qu’il ne faut pas faire – rétroversion (« fesses rentrées »).
Au placage : Remarque: l’expression « plaquage aux jambes» est une facilité de langage qui trompe les joueurs et notamment les jeunes sur la réalité du plaquage. . Un plaquage aux jambes est dangereux pour le plaqueur et le plaqué et les jambes sont l’élément le plus mobile d’un joueur qui court. Elles comportent en outre les segments et les articulations les plus exposés. . On ne fait pas reculer un adversaire qu’on plaque aux jambes. Donc la cible est la ceinture : là, on fait reculer, avec certainement une rupture de continuité pour l’adversaire et en toute sécurité pour les deux protagonistes. C’est un geste typique de combat.
A la percussion A la poussée (regroupements) Cf schéma « main courante » et ajouter le serrage des bras.