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MALI. Atelier sous régional de WACRAT1 (19, 20 et 21Avril 2006, Lieu: Hôtel Nord Sud Bamako, Mali). Thème: “Comment intégrer les offres de services financiers aux stratégies de lutte contre la pauvreté ”. I. PRESENTATION DU MALI. Vaste pays : 1.241.238 km2,
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MALI Atelier sous régional de WACRAT1 (19, 20 et 21Avril 2006, Lieu: Hôtel Nord Sud Bamako, Mali) Thème: “Comment intégrer les offres de services financiers aux stratégies de lutte contre la pauvreté ”
I. PRESENTATION DU MALI • Vaste pays: 1.241.238 km2, • Enclavéentre 7 états, plus de 7000 Km de frontière • Population: estimée à 11,5 millions en 2005 jeune : 46% de la population a moins de 15 ans rurale :72% réside en milieu rural 28% en milieu urbain • Croissance démographique: taux moyen de 2,2 % par an • Forte émigration de la population d’âge actif: diaspora estimée à près de 4 millions de maliens • Diversité des zones agro-climatiques • Croissance économique volatile: 11,9% en 2001; 4,3 % en 2002; 7,6% en 2003; 2,2% en 2004; 7,1 % en 2005 (prévision)
II. CADRE STRATEGIQUE DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (CSLP) Le CSLP s’attaque à quatre (4) défis: • croissance forte et durable • intégration des pauvresdans le processus de croissance et de développement; • utilisation rationnelle et efficace des ressourcesinternes et externes; • participation de tous les acteursà la préparation et à la mise en œuvre des politiques et stratégies de développement
II.1. SITUATION DE LA PAUVRETE AU MALI • Phénomène généralisé au Mali : Pauvreté : 64 % de la population en 2002 Extrême pauvreté : 21 % de la population • Surtout en zones rurales 90 % des pauvres • Touche de plus en plus les grandes villes Raisons principales : • Dégradation du marché du travail • Migrations
II.2. PRESENTATION DU CSLP 2002-2006 Objectifs: • ramener le taux de pauvreté de 64 % en 2001 à 47,5 % en 2006 • Réaliser un taux moyen de croissance du PIBde6,7% sur la période 2002-2006 axes prioritaires - Axe préalable: cadre macroéconomique stable - Axe 1: développement institutionnel, Gouvernance et participation • Axe 2: accès aux services sociaux de base, • Axe 3: infrastructures de base et secteurs productifs
II.3. CONTEXTE DE MISE EN ŒUVRE DU CSLP Environnement national et international défavorable: • aléas climatiques • coût élevé des facteurs de production • fluctuations des prix des principaux produits d’exportation (coton, or) et d’importation (hydrocarbures, matériaux, etc.) • crise et conflits dans la sous région
II.4. Principaux résultats (1) • En matière d’évolution de la pauvreté: en attendant l’évaluation précise du niveau de pauvreté par les services du département du Plan, on relève sur la base d’une enquête qualitative, ELIM (enquête légère intégrée auprès des ménages) menée par la DNSI en 2003 et d’un suivi des indicateurs sociaux, une amélioration sensible des conditions de vie des ménages, particulièrement en milieu rural. En effet, plus de deux tiers (67 %) des ménages ont estimé que leur situation économique au moment de l’enquête était meilleure à celle qui était la leur un an auparavant.
II.4. Principaux résultats (2) • En termes de performances macro-économiques: en 2003, le taux de croissance a été de 7,4% (contre 4,3% en 2002) dû essentiellement aux résultats exceptionnels de la campagne agricole. En 2004, le taux de croissance du PIB n’a été que de 2,2 % imputable essentiellement à la baisse de la production céréalière et de la production d’or, par rapport à 2003. Les estimations pour 2005 indiquent un taux de croissance de l’ordre de 7 %.
II.4. Principaux résultats (3) • dans le domaine de l’éducation, l’analyse de certains indicateurs d’accès montre que des progrès considérables ont été réalisés. Ainsi, le taux brut de scolarisation (TBS) dans le primaire est ainsi passé de 64,3 % en 2002 à plus de 70 % en 2004 ; cependant, des efforts restent à faire pour une amélioration de la qualité de l’éducation ;
II.4. Principaux résultats (4) • dans le domaine de la santé, on note une nette amélioration de la situation depuis 2002 : la Proportion de la population vivant à moins de 5km d'un CS fonctionnel est passée de 44 % en 2002 à 48 % en 2004, le taux de vaccination DTCP3 des enfants de moins d’un an a été de 90 % en 2004 contre 74 % en 2002, le taux de couverture en consultation prénatales atteint 75 % contre 54 % en 2002. Toutefois les taux de mortalité infanto-juvéniles et maternelles restent encore inacceptables. Cependant, grâce aux mesures volontaristes prises par le Gouvernement et aux dispositions contenues dans le PRODESS II, de bonnes perspectives s’ouvrent pour l’atteinte des OMD dans ce domaine ;
II.5. PRINCIPAUX ATOUTS DU PROCESSUS Les principaux atouts du processus CSLP sont les suivants: • Le processus participatif: a permis d’espace de dialogue entre le Gouvernement et à l’ensemble de acteurs. • Sur le plan de l’alignement des activités de développement, l’on observe une volonté affirmée des acteurs gouvernementaux, non gouvernementaux et des bailleurs de fonds de faire du CSLP le cadre unique de référence pour le développement au Mali.
II.5. PRINCIPAUX ATOUTS DU PROCESSUS • Une plus grande coordination entre d’une part les PTF et d’autre part entre les PTF et le Gouvernement, à travers le fonctionnement régulier de la Commission Mixte Mali-PTF. • Sur le plan de l’harmonisation des procédures, on peut observer un certain nombre d’efforts de la part des bailleurs visant à mieux coordonner les procédures de suivi conjoint, des ententes de co-financement ainsi que certaines initiatives de coopération déléguée.
II.6. PRINCIPAUX POINTS FAIBLES DU PROCESSUS les aléas climatiques ; • les fluctuations des prix des principaux produits • d’exportation et d’importation ; • les effets des crises et conflits dans la sous-région. • Faibles capacités institutionnelles dans le suivi; • Calendrier du rapport et calendrier budgétaire; • Coordination des projets de LCP • le coût élevé des facteurs de production (énergie, • transports) ; • la faiblesse du système financier dans le financement des investissements productifs ; • l’insuffisance des ressources humaines qualifiées;
II.6. PRINCIPAUX POINTS FAIBLES DU PROCESSUS • Problème du suivi des indicateurs sectoriels • Au niveau du dispositif institutionnel de suivi évaluation: non fonctionnement descomités régionaux CSLP. • Au niveau des méthodes, outils, instruments et indicateurs utilisés, les difficultés rencontrées peuvent être résumées comme suit : i) Le système d’information demeure encore inapte à mesurer précisément les indicateurs de performance, étant donné le manque d’une culture de gestion axée sur les résultats; ii) La fiabilité et la cohérence de l’information et des statistiques obtenues de diverses sources demeure un problème sérieux.
III. VERS UN CSLP DE 2ème GENERATION 2007- 2011 Le Gouvernement s’engage dans la mise en place de la seconde génération de son CSLP par: • la consolidation des acquis du CSLP 2002-2006 • l’intégration des OMD • l’accélération de la croissance à travers : - la levée des contraintes majeures - la mise en œuvre de nouvelles sources de croissance à travers une meilleure exploitation des atouts et potentialités du pays
III.1. CONTRAINTES MAJEURES • aléas climatiques • enclavement • coût élevé des facteurs de production • insuffisance des ressources humaines • insuffisance des infrastructures de base • la faiblesse du système financier ; Un Défi permanent pour le Mali : Lever ces contraintes
III.2. MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE • Améliorer le climat des investissements à travers: • de nouveaux instruments de financements prévues dans le cadre du Projet d’appui aux sources de croissance, PDSF; • l’aménagement d’une nouvelle zone industrielle à Bamako ; • l’existence de mesures administratives et réglementaires ; • l’amélioration de l’environnement juridique: traité OHADA, dispositifs de sécurisation des investissements, etc.
III.3. Potentialités • Investir dans des secteurs à fort potentiel de croissance : • Filière riz • Filière coton • Filière bétail-viande • Fruits et légumes • Mines (or, pétrole, ciment, phosphates, etc.) • Artisanat et tourisme
IV. SECTEURS SOCIAUX • Renforcer l’accès aux services sociaux de base: • Education: mise en œuvre du PISE II (accent sur l’accès et l’amélioration de la qualité de l’éducation) • Santé: mise en œuvre du PRODESS II (extention de la couverture et amélioration de la qualité des prestations) • Accès à l’eau potable: Mise en œuvre du Plan National d’Accès à l’Eau Potable (2004 – 2015): coût: 400 milliards de FCA
IV. place du système financier dans le CSLP • Dans le cadre du CSLP la politique monétaire vise à: i) accroître l’efficacité du système bancaire par l’amélioration de l’intermédiation financière ; ii) une politique prudente de la monnaie et du crédit compatible avec les objectifs de taux de change et de consolidation de la position extérieure de l’UEMOA.
IV. place du système financier dans le CSLP • Un projet de développement du système financier vient d’être développé dont l’objectif est d’appuyer les réformes ayant pour but de permettre une croissance diversifiée du secteur privé en aidant spécifiquement le Gouvernement malien à améliorer la viabilité, les performances et la compétitivité du système financier.
IV. place du système financier dans le CSLP • La Banque Malienne de Solidarité vient d’être mis en place afin de soutenir la mise en œuvre de la stratégie pour la microfinance (adopté en 1998) qui repose sur : i) l’amélioration sensible de l’accès des populations les plus nécessiteuses aux services financiers de proximité ; ii) la mobilisation et la sécurisation de l’épargne intérieure à travers les systèmes financiers décentralisés ;
IV. place du système financier dans le CSLP • iii) le développement du crédit, notamment en faveur des couches vulnérables de la population.; iv) la consolidation de la complémentarité entre les banques et les SFD. • Tous ces instruments devraient d’une part, permettre aux pauvres d’augmenter leurs actifs et leurs revenus par le biais de l’épargne et du crédit en vue d’appuyer les activités génératrices de revenus, d’autre part, développer l’intermédiation financière permettant de réduire les risques et les coûts et capable d’offrir des services financiers sur le long terme aux producteurs exclus du système bancaire formel.
V. aperçu sur le système financier national • Le Gouvernement a élaboré, en 2000, une lettre de politique de développement du secteur financier qui a servi de base à la négociation du Projet de Développement du Secteur Financier (PDSF) dans le cadre de l’Accord de crédit de la Banque Mondiale (N° 3394 – MLI) d’un montant total de 15,8 Millions de DTS soit environ 12,6 Milliards de FCFA sur une période de 5 ans (2001-2006).
V. aperçu sur le système financier national A travers les composantes du Projet, d’importantes actions de réformes ont été engagées et peuvent se résumer comme suit : • au titre de la composante Banque et marchés de capitaux : - restructuration et de désengagement de l’Etat de certaines banques (BIM SA, BHM SA, BDM SA). - réalisation d’études diagnostiques ou d’audits spécialisés, de business plan au profit des banques et établissements financiers ; - études d’ordre général visant à améliorer la viabilité et les performances du secteur financier • réalisation des programmes et/ou modules de formation au profit des banques sur la base du principe de partage des coûts, des services de consultants afin d’identifier les besoins en formation de leur personnel et à mettre en œuvre un programme de formation ; • actions de développement du marché financier : formation, information, sensibilisation et accompagnement des acteurs du marché (banques et opérateurs économiques du secteur privé)
V. aperçu sur le système financier national - réalisation des programmes et/ou modules de formation au profit des banques; - actions de développement du marché financier : formation, information, sensibilisation et accompagnement des acteurs du marché (banques et opérateurs économiques du secteur privé)
V. aperçu sur le système financier national • au titre de la composante renforcement du secteur financier non bancaire : • audits financiers et institutionnels de l’INPS, de la CRM et de la CDC ; • audits financiers et institutionnels et la préparation de plans d’action pour les compagnies d’assurance, • mise en place de système d’information de gestion, • assistance technique en faveur des compagnies d’assurance, • réalisation des études actuarielles de la (CRM) et de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS)
V. aperçu sur le système financier national • au titre de la composante Micro Finance : - Elaboration de plans d’affaires pour les SFD ; - Renforcement des capacités de l’Association Professionnelle des Institutions de microfinance (APIM-Mali) ; - Renforcement des capacités des systèmes financiers décentralisés - Restructuration de la CAS/SFD qui devrait être scindée en deux structures différentes.
V. aperçu sur le système financier national • au titre de la composante Cadre Légal & Réglementaire : - Diverses études pour l’identification des facteurs d’ordre législatif, réglementaire et judiciaire qui entravent le développement du Secteur Financier et pour proposer des mesures de reformes destinées à améliorer le cadre légal et réglementaire du secteur, - Formation en droit bancaire, en comptabilité, aux dispositions du code CIMA des magistrats, avocats, huissiers de justice et juristes de banques, - Diffusion des textes de l’OHADA au niveau de toutes les institutions du Secteur Financier.
V. aperçu sur le système financier national • Evolution de la situation monétaire Comparée à fin décembre 2003, la situation monétaire estimé à fin décembre 2004 a été marquée par : - une amélioration des avoirs extérieurs nets (+59,7 milliards de FCFA ou +14,9 %) ; - une hausse du crédit intérieur (+48,0 milliards de FCFA ou 11,8 %) ; - un accroissement de la masse monétaire (+92,6 milliards ou 12,1 %).
V. aperçu sur le système financier national • Réglementation et Cadre Juridique Le cadre légal et règlementaire comprend pour l’essentiel : • La loi 94 – 040 du 15 août 1994 portant réglementation des institutions mutualistes ou coopératives d’épargne et de crédit et son décret d’application 94 – 302/P – RM du 20 septembre 1994; • La convention cadre adoptée en juillet 1996 par le Conseil des Ministres de l’UMOA relative aux conditions d’exercice et aux modalités de reconnaissance des structures ou organisations non constituées sous formes mutualistes ou coopératives • Les instructions n° 01 à 08 du 10 mars 1998 de la BCEAO relatives à la production de l‘information financière ; • Les actes uniformes de l’OHADA, notamment ceux relatifs aux sûretés et aux Procédures Simplifiées de recouvrement et aux Voies d’Exécution ; • L’ordonnance n°41 PCG du 28 mars 1959 relative aux associations.
V. aperçu sur le système financier national • Réglementation et Cadre Juridique Le cadre légal et règlementaire comprend pour l’essentiel : - La loi 94 – 040 du 15 août 1994 portant réglementation des institutions mutualistes ou coopératives d’épargne et de crédit et son décret d’application 94 – 302/P – RM du 20 septembre 1994; • La convention cadre adoptée en juillet 1996 par le Conseil des Ministres de l’UMOA relative aux conditions d’exercice et aux modalités de reconnaissance des structures ou organisations non constituées sous formes mutualistes ou coopératives
V. aperçu sur le système financier national • Réglementation et Cadre Juridique - Les instructions n° 01 à 08 du 10 mars 1998 de la BCEAO relatives à la production de l‘information financière ; • Les actes uniformes de l’OHADA, notamment ceux relatifs aux sûretés et aux Procédures Simplifiées de recouvrement et aux Voies d’Exécution ; • L’ordonnance n°41 PCG du 28 mars 1959 relative aux associations.
VI. Progrès réalisés par les SFD • Les Systèmes Financiers Décentralisés interviennent de façon transversale, dans la presque totalité des secteurs de l’économie, notamment dans l’agriculture, l’artisanat, le commerce, la pêche pour répondre aux besoins de financement de la majeure partie de la population n’ayant pas accès au système financier classique. • Dynamisme du secteur de la micro finance à jouer son rôle d’instrument efficace de lutte contre la pauvreté.
VI. Progrès réalisés par les SFD • Toutes les régions administratives du pays sont couvertes par les SFD avec toutefois des taux inégaux d’une région à l’autre. La plupart des SFD sont concentrés dans les zones à potentialités économiques relativement importantes telles que Sikasso, Ségou, Bamako ou Koulikoro, alors que les régions du Nord (Gao, Tombouctou et Kidal), sont peu touchées par la micro finance. • le sociétariat de l’ensemble des SFD du Mali se chiffre à près de 700.000 membres
VI. Progrès réalisés par les SFD • En matière de création d’emploi, en 2004, l’effectif du personnel des SFD s’élevait à 3 111 agents, composé de 78,43% de gérants/caissiers et de 21,57% de techniciens d’encadrement. Ce chiffre ne prend pas en compte les stagiaires, les milliers d’hommes et de femmes qui travaillent de façon bénévole au service de la micro finance.
VI. Difficultés rencontrées par les SFD 1) La faible capacité financière des SFD 2) Le manque de coordination des interventions des partenaires techniques et financiers 3) Les contraintes liées à l’application de la loi PARMEC (Programme d’Appui à la Réglementation des mutuelles ou Coopératives d’Epargne et de Crédit) 4) Les difficultés administratives et judiciaires
VI. Difficultés rencontrées par les SFD 5) Les difficultés pour les SFD de concilier les objectifs de viabilité financière avec leur mission de lutte contre la pauvreté 6) La Problématique de la sécurisation des fonds pour les SFD 7) La fragilisation des acquis institutionnels et financiers des réseaux de micro finance 8) La problématique de l’assainissement du secteur
VI. Difficultés rencontrées par les SFD • 9) Les contraintes liées à l’extension de leurs activités dans les zones pauvres et à faible potentialité économique ; • 10) Le coût élevé des services financiers offerts par les systèmes Financiers Décentralisés; • 11) Le faible niveau de mobilisation de l’épargne locale ; • 12) Le manque de ressources à moyen et long termes ;
VII. Recommandations • La Promotion de la politique de financement des SFD par la mobilisation de ressources stables à des taux d’intérêt préférentiels, à moyen et long termes auprès d’institutions financières sous- régionales et internationales : AFD, KFW, BAD, BOAD, BID, BEI, Banque mondiale… • l’extension des services de micro finance aux zones pauvres non encore servies; • la conception de produits spécifiques pour un large accès des femmes et des jeunes aux services financiers de proximité à moindre coût.
VII. Recommandations • La promotion de l’entrepreneuriat féminin. • Soutenir et appuyer auprès de la BCEAO, les recommandations des associations professionnelles de l’UMOA, relatives à l’amélioration du cadre juridique ; • mise en place d’un observatoire juridique de la micro finance ; • mise en place d’un fonds de la micro finance pour les besoins de refinancement et de garantie des SFD ; • Appuyer la mise en œuvre du Plan d’Action National 2005-2008.
VII. Recommandations • La promotion de l’entrepreneuriat féminin. • Soutenir et appuyer auprès de la BCEAO, les recommandations des associations professionnelles de l’UMOA, relatives à l’amélioration du cadre juridique ; • mise en place d’un observatoire juridique de la micro finance ; • mise en place d’un fonds de la micro finance pour les besoins de refinancement et de garantie des SFD ; • Appuyer la mise en œuvre du Plan d’Action National 2005-2008.
VII. Pistes de reflexion • Le rôle joué par les Institutions de Micro finance dans le processus de réduction de la pauvreté • L’implication plus accrue du secteur dans la promotion et le développement de Petites, Moyennes et Micro Entreprises (PMME) • L’accessibilité des couches vulnérables aux services financiers de proximité, à travers une couverture géographique plus large du pays et une diminution du coût des services financiers offerts • L’implication plus accrue de l’Etat pour l’amélioration du cadre légal
VII. Pistes de reflexion • La création de synergie entre toutes les actions de développement et celles des IMF • La collaboration entre les IMF et les banques • Le regroupement des Réseaux des IMF en structure fédérale • Le développement de l’esprit mutualiste et associatif à tous les niveaux et dans toutes les localités pour une plus grande mobilisation de l’épargne locale
Fin de la présentation MERCI DE VOTRE ATTENTION