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Les éléments sur la stratégie régionale alimentaire. Les éléments de contexte. Le rapport du CESER «La région Centre : une région à croquer du paysage à l’assiette » Le travail sur la biodiversité domestique La création de la SCIC SelfBiocentre L’inventaire du patrimoine alimentaire régional
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Les éléments de contexte • Le rapport du CESER «La région Centre : une région à croquer du paysage à l’assiette » • Le travail sur la biodiversité domestique • La création de la SCIC SelfBiocentre • L’inventaire du patrimoine alimentaire régional • L’étude commandité au cabinet Seve Conseil
La stratégie • Fédérer les acteurs autour d ’un programme d’actions • Avec des valeurs communes : • les hommes, • leur savoir faire respectueux de l’environnement et des conditions de travail • L’attention au consommateur • L’attention aux territoires et à leur identité
Trois orientations • Favoriser le développement de produits locaux dans la restauration scolaire (et plus largement dans la restauration hors domicile) • Favoriser l’utilisation de produits locaux dans les restaurants de la région • Favoriser l’information du grand public
Les moyens • La diffusion de l’inventaire du patrimoine alimentaire • La mise en place d’une signature régionale • Le travail sur les évènements grand public • La mise en cohérence des politiques de la Région (Agriculture, Artisanat, Industrie, Aménagement du Territoire, Enseignement/Formation)
le liens avec les territoires • D’abord sur l’image s’appuyer sur l’identité des territoires à forte notoriété (Touraine, Val de Loire, Berry, Sologne, Perche, Beauce) • Donner des outils au service des initiatives locales • Jouer la complémentarité entre les territoires (notamment sur la restauration collective)
Les orientations générales de la politique agricole • Le SRADDT : • Encourager la logique de réseau et de partenariat dans le domaine de l’innovation • Renforcer les coopérations interfilières • Développer des outils mutualisés ou coopératifs • Renforcer l’autonomie de la région dans le domaine des protéagineux • Poursuivre le développement de l’AB • Renforcer et valoriser le lien au terroir/territoire
Les orientations générales de la politique agricole • Le PCER : • Promouvoir une agriculture compétitive et économe en intrants • Maitriser les consommations d’énergiedans les exploitations et améliorer l’efficacité énergétique des exploitations • Avoir une agriculture et une forêt source d’énergie et d’écomatériaux • Développer le stockage de carbone
Les CAP Filières • Arrivée au terme de la première génération • Evaluation très satisfaisante de la démarche par les acteurs (méthodologie, synergies et structuration, visibilités financement) • Des points nuancés et à améliorer (le sens des contreparties, l’ampleur du programme, la communication)
Les CAP Filières, où en est on ? • Les CAP 2G : • Bovin viande (06/15) • Arboriculture (12/15) • Les CAP 2G en phase de validation • Forêt Bois (04/14) • Equins • Viandes Blanches • Ovins • Les CAP 1G: • Caprins (06/12) • Horticulture (10/12) • Légume (10/12) • Apiculture (11/12) • Viticulture (04/13) • Bovins lait (10/13) • Semences (11/14) • Grandes Cultures (12/15)
LES CAP quelques thématiques fortes • En élevage : • Aide à l’investissement (aménagement de bâtiments, achat de matériel pour autonomie alimentaire et pénibilité du travail) • Des bonus liés à des pratiques respectueuses de l’environnement ou autre • Le soutien à l’évolution des systèmes d’exploitation (renforcer la production et la valorisation de l’herbe, inclure des légumineuses dans l’assolement) • Soutien à l’adaptation des productions aux demandes du marché (bovin viande) • Soutien à la mise en réseau des abattoirs locaux
Les CAP, quelques thématiques fortes • En productions végétales • Soutien à l’investissement (semences, horticulture, productions légumières, arboriculture) • Soutien à la meilleure connaissance des marchés y compris circuits de proximité • Soutien à l’adaptation des productions à la demande des marchés (viticulture) • Soutien au renforcement des débouchés à forte valeur ajoutée (grandes cultures) • Soutien à la recherche de nouveaux acteurs (semences)
Les CAP, quelques thématiques fortes • Soutien à l’expérimentation à travers l’appui aux stations : Bovin viande, ovins, horticulture, légumes, arboriculture, semences, viticulture • Soutien aux relations productions végétales/animales • Appel à projet légumineuses/protéagineux • Echanges paille/compost
Les orientations 2G • Le lien entre la recherche/expérimentation et la filière • L’identification des besoins de formation et de l’offre à développer • Une articulation plus fine entre filière organisée et circuits de proximité • Une réflexion sur les impacts environnementaux et les actions à mener • L’innovation produits pour apporter de la valeur ajoutée • Une meilleure prise en compte de l’emploi et des conditions de travail • L’évolution vers le non OGM • La poursuite et le développement de la réflexion autour de l’autonomie alimentaire des exploitations d’élevage
Une filière particulière : la forêt et le bois, stratégie en 4 axes • La mobilisation du bois et la connaissance des usages • La demande en bois construction • La demande en bois énergie • La gouvernance et le pilotage par Arbocentre et les relais territoriaux
Les objectifs • Mettre la compétitivité au service de la sécurité alimentaire • Jeter les bases d’une compétitivité à long terme qui allie enjeu écologique et économique • Développer une agriculture harmonieuse sur l’ensemble du territoire européen • Simplifier la PAC
Le cadre budgétaire • En l’état actuel et sur la base d’une contribution des EM à hauteur de 1,05% du RNB en euros constants • Une enveloppe équivalente à celle prévue en 2013, • soit pour la période 2014-2020 : 435,5 milliards (prix courants) Premier pilier 317,2 milliards Second pilier 101,2 milliards Fonds supplémentaires 17,1 milliards (dont 5,1 pour la recherche)
Les principes • La poursuite du démantèlement des outils e gestion des marchés : fin des quotas laitiers, sucre, des droits de plantation viticoles, • Le premier pilier : une aide au revenu • Le second pilier : développement rural au sens large, lien étroit avec les fonds structurels (CSC) • L’évolution de la définition des zones défavorisées
Les principes • La convergence européenne des aides à l’ha à horizon 2028 • Dans ce cadre enveloppe de la France passerait de 7,732 milliards en 2014 à 7,619 en 2019 • Une évolution des paiements directs : • Fin des références historiques • Convergence nationale/régionale • Plafonnement des aides directes par exploitation • Aide aux petites fermes • L’aide verte (3 cultures, maintien surface en prairie, 7% de surface d’intérêt écologique) • Le soutien aux nouveaux installés • Le « recouplage » limité (10%), pour des productions ou sur des territoires
Les principes • Des secteurs de production spécifiques : vin, fruits et légumes • La reconnaissance des interprofessions et des organisations de producteurs dans tous les secteurs • Des mesures exceptionnelles (perturbation des marchés et crises sanitaires) • La gestion des risques dans le second pilier
Les principes Six priorités pour le développement rural : • Amélioration du transfert de connaissances dans les secteurs de l’agriculture et de la forêt • Renforcement de la compétitivité de l’agriculture et de la viabilité des exploitations • Promotion de l’organisation de la chaine alimentaire et de la gestion des risques • Préservation des écosystèmes dépendants de l’agriculture et de la forêt • Promotion de l’efficacité des ressources et transition vers une économie à faible carbone dans les secteurs agricoles et forestiers • Création et renouvellement de l’emploi dans les zones rurales
Les principes • Une seule mesure d’aide à l’investissement • Poursuite de leader • Renforcement de la dimension de projets collaboratifs • Retour de la conversion AB dans le second pilier • Maintien des aides agro-environnementales • Renforcement du volet forestier
Les impacts sur le territoire régional • La convergence en macroéconomie • L’impact sur les exploitations et les filières • Le paiement vert • La zone défavorisée
Avenir des DPU • Aujourd’hui les DPU et aides couplées de 256 €/ha à 314 €/ha • Moyenne Centre : 280 €/ha • Moyenne France 287 €/ha Impact de la réforme : redistribution au sein de la Région (Nord/Sud)
Impact du verdissement Mesure optionnelle pour les agriculteurs Mais, perte de 7% des surfaces éligibles aux DPU avec « les surfaces d’intérêt écologique » Pas d’impact du système 3 cultures
Avenir des systèmes d’exploitations Menace sur l’élevage allaitant et laitier si : Suppression PMTVA Suppression complément zone défavorisée Nivellement DPU (suppression différentiel lait suite intégration aide laitière 2005)