E N D
1. Comptabilité…Contrôle :les outils du décideur ?
2. PLAN DU COURS Objet, rappels et principes,
Méthodes Direct Costing,
La méthode des sections homogènes,
ABC……et ses formes parasitaires ..ABM
«Balanced Scorecard» ou Tableaux de bord
Retour sur la répartition
Final
3. Objet , Rappels, Principes:Pourquoi un contrôle de gestion ? Stratégiquement on peut dominer un marché par les coûts,
La mondialisation des marchés intensifie la concurrence et donc la nécessité de savoir comment se consomment les ressources,
Les actionnaires veulent plus d’information sur la gestion opérationnelle.
4. Pourquoi s’intéresser aux coûts: D’un point de vue théorique sur des marchés concurrentiels , l’entreprise ne peut avoir d’action que sur ses coûts , les prix s’imposent à elle.
Sur des marchées concurrentiels les ressources sont rares donc coûteuses, pour être performant l’entreprise doit savoir comment ces ressources sont consommées et optimiser ses consommations….
5. La notion de performance: Ce concept n’existe que par rapport à un référentiel ( consensuel !), qui sert de repère,
Ce référentiel peut être basé sur des indicateurs internes ( performance antérieure) ou externes ( progression moyenne du secteur),
Ce référentiel peut être à but interne ( les cadres) ou externes ( actionnaires ou commission de contrôle)
6. Les instruments du contrôleur: Le calcul de soldes intermédiaires de gestion,
Les comptes de surplus,
Les budgets,
La comptabilité analytique,
Les tableaux de bord.
7. Les charges en comptabilité analytique: Notion de charges incorporables : »Les charges peuvent être divisées en charges incorporables ou non et base du coût ,jugée raisonnable par le décideur » (PCG 1982).
Les charges non incorporables; les taxes qui ne restent pas à la charge de l’entreprise, les charges exceptionnelles, les frais correspondant aux exercices antérieurs, les dotations aux provisions , réglementées ou exceptionnelles, l’impôt sur les bénéfices.
9. Illustration 1: L’entreprise multidépartements Dans l’entreprise en question, nous produisons du béton qui servir à réaliser des produits dérivés ou à être vendu à la clientèle sous forme de béton frais,
L’usine permets de produire différents biens : cheminée, bordures, tubes, dalles et pavés.
L’entreprise dispose aussi d’un parc de camions pour la livraison éventuelle.
Les commandes sont réceptionnées au bureau et une zone de stockage permets l’entreposage des matériaux.
13. Illustration 6: Stratégie et performance….. Nous sommes un organisme bancaire régional de nature généraliste , avec un objectif de rentabilité à moyen terme,
Nous avons une activité commerciale avec des agences qui font du prêt et des placements,
Comment définir un tableau de bord dynamique……
14. Le BSC de la Banque au sens de la causalité
15. La comptabilité analytique: Au début était…. le Direct Costing …1920,
Puis … la méthode des Sections Homogènes, début des années 1930,
Simultanément….on trouve la méthode des coûts standards,
Vers les années 1970 Target Costing et Kaizen Costing,
Autour des années 1985… ABC,
Dans les années 1990 BSC…..
Fin des années 1990 ..EVA..
17. Deux catégories de méthodes : Méthode en une phase: Charges versus produits ( Direct costing)
Méthodes en 2 phases : Charges versus structures intermédiaires ( département, activités..) versus produits,
18. Ces méthodes veulent : Estimer les coûts et prix de revient des biens et services réalisés,
Définir des budgets par produit et départements pour un horizon donné ( mois, trimestre, semestre ou année),
Analyser la performance en comparant budget et réel,
Analyser les écarts de gestion pour dégager les responsabilités.
21. Quelle charges ? Charges du compte de résultat qui sont dites incorporables.
Achats,
Salaires,
Charges sociales,
Charges financières,
Amortissements,
En fait toutes les charges d’exploitations normales hors impôts et taxes.
24. Par principe: Les charges directes n’existent que dans le cadre de l’entreprise monoproduit ou monoprestation.
Les charges indirectes existent dans tous les autres cas de figure , en particuliers dés lors qu’ils existent des structure intermédiaires comme départements, section , activités ou divisions.
25. Ou sont les charges variables… Toutes rémunération à l’unité,
Tous les achats de consommables,
Tous les éléments de charge basés sur des rémunération à l’unité,
Tous les frais de gestion basés sur le chiffre d’affaire ( frais divers de gestion, assurances, impôts et taxes sur le chiffre d’affaire ou sur les salaires).
26. Ou trouvons-nous de charges fixes ? Toutes les charges sans rapport avec le chiffre d’affaire ou le volume d’activité,
Toutes les charges invariantes comme, les loyers, les amortissements ( immobilisations), les assurances, les intérêts d’emprunts, les honoraires)
27. Toute la question consiste à répartir les charges indirectes …. Dans le secteur de la santé 60% du total des charges,
Dans les secteur des services 60% à 80 % comme dans la banque,
25 à 50 % dans les activités industrielles.
28. Pour les répartir on utilise: une règle de calcul proportionnelle à un critère : quantité, ventes, marge , charge directe, surface…….,
Une enquête de terrain pour savoir qui fait quoi et comment,
Un calcul d’optimisation,
Un partage consensuel .
29. Mais surtout……les règles classiques obéissent à trois principes.. 1: Principe d’identité,
2: Principe d’unicité,
3: Principe de monotonicité
31. Méthodes de coûts partiels : Les directs Costing Méthodes qui s’appuient sur la différentiation entre charge variable et fixes,
Méthodes analysant la relation : vente – coûts –marge,
Méthodes mettant en lumière le concept de seuil de rentabilité.
34. Inconvénients… La notion de charges indirectes n’existe pas,
Il n’y a ici aucune structure organisationnelle,
Les stocks de produits finis sont sous évalués,
La marge brute ne traduit pas la profitabilité du produit si les frais fixes sont importants.
35. Le seuil de rentabilité:
36. Ce qui aboutit à :
37. Méthode de coûts complets : Les sections homogènes. On centre l’analyse sur le coût complet dont la marge nette dégagée par le produit ,
On raisonne par centre de responsabilité correspondant à la structure de l’organisation,
On segmente les charges sur la base d’affectation ( charge directe) ou d’imputation ( charge indirecte)
38. Deux concepts de base : Une section : partie réelle de l’entreprise, regroupement de moyens et centre de responsabilité.
Les unités d’œuvres : indicateur d’activité de la section, corrélée avec la charge de la section , correspondant soit à une consommation soit à une production.
40. Méthode des sections homogènes
41. Méthode des sections homogènes
42. Méthode des sections homogènes
43. Méthode des sections homogènes
44. Inconvénients… Le plan comptable ne précise pas comment structurer l’entreprise en section,
Le plan comptable ne précise pas comment trouver le unités d’œuvre,
Une charge peut être indirecte de produit et de section donc clés de répartition……
On utilise des règles arbitraires à 3 niveaux..
45. Définition de l’ABC
46. Critère de répartition des charges indirectes Ceci parce qu’on croyait que la main d’œuvre directe et les charges indirectes étaient hautement corrélés.
Ceci parce qu’on croyait que la main d’œuvre directe et les charges indirectes étaient hautement corrélés.
47. Activity-Based Costing
48. Activity-Based Costing
49. Activity-Based Costing
51. Identifier et classifier les activités relatives aux produits / services
Estimer leurs coûts relatifs
Calculer le coût des inducteurs d’activité
Imputer les coûts des activités aux produits La mise en place de l’ABC
52. Étape 1: Identifier et classifier les activités
53. Différence entre ABC et les méthodes traditionnelles ABC déplace les coûts indirects relatifs aux niveau lot et niveau produit des produits fabriqués en grands volume par grands lots vers les produits fabriqués en petites quantités et par petits lots.
ABC déplace les coûts indirects relatifs aux niveau lot et niveau produit des produits fabriqués en grands volume par grands lots vers les produits fabriqués en petites quantités et par petits lots.
54. Étape 1: Identifier et classifier les activités
55. Logique bottom-up L'idée est de capter les informations issues du terrain pour les remonter dans le système de management.
56. Étape 1: Identifier et classifier les activités Avoir une relation de cause à effet avec l’activité et l’utilisation des ressources (charge).
Etre « mesurable »
Prédire ou expliquer avec une certaine précision l’utilisation des ressources par les activités
Etre basé sur la capacité utilisée
Le choix de l’inducteur est primordial: il doit mettre en évidence un comportement de coût cohérent qui évolue proportionnellement au nombre d’inducteursLe choix de l’inducteur est primordial: il doit mettre en évidence un comportement de coût cohérent qui évolue proportionnellement au nombre d’inducteurs
57. Étape 2: Estimer les coûts relatifs à chaque activité
58. Étape 2: Estimer les coûts relatifs à chaque activité
59. Étape 2: Estimer les coûts relatifs à chaque activité
60. Différence entre ABC et les méthodes traditionnelles Méthodes traditionnelles
Les règles de répartition sont basées sur l’activité budgétée.
Il en résulte que l’on répartit également les coûts de la capacité inutilisée.
Activity BasedCosting
Les produits ne supportent que les coûts de la capacité qu’ils utilisent
61. Étape 3: Calculer le coût des inducteurs Coût de l’activité = coût de ressources attribuées à l’activité
Volume d’activité= nombre d’inducteurs
Activity rate = Annual cost of Activity : annual capacity of activity
Capacité théorique = capacité inutilisée + capacité non-productive + capacité productive
capacité inutilisée : due aux vacances, réglements, inefficience
capacité non-productive : capacité qui ne résulte pas dans la production des biens et services (maintenance, réglages), activités sans valeur ajoutée
capacité productive: capacité utilisée à produire les biens et services
Coût de l’activité = coût de ressources attribuées à l’activité
Volume d’activité= nombre d’inducteurs
Activity rate = Annual cost of Activity : annual capacity of activity
Capacité théorique = capacité inutilisée + capacité non-productive + capacité productive
capacité inutilisée : due aux vacances, réglements, inefficience
capacité non-productive : capacité qui ne résulte pas dans la production des biens et services (maintenance, réglages), activités sans valeur ajoutée
capacité productive: capacité utilisée à produire les biens et services
62. Étape 3: Calculer le coût des inducteurs
63. Étape 4: Imputer le coût des activités aux produits
64. Étape 4: Imputer le coût des activités aux produits Exemple: Yazz Inc. produit 130’000 unités de Produit A et 400’000 unités de Produit B.
Quelle est la part des charges indirectes qui devrait être imputé au Produit A?
65. Étape 4: Imputer le coût des activités aux produits
66. EXERCICE La clinique « Maternité » traite trois types de cas :
accouchement normal,
césarienne,
accouchement avec complications. jours patient= 1’100’000 / 11’000 = 100 $
Heure soins = 1’100’000 / 55’000 = 20 $
Jour acouchement : $ 100 * 8000 + $20 * 30000 / 8000 = 175
Jour césarienne : $ 100 * 2000 + $20 * 13000 / 2000 = 230
Jour acouchement av. compl. : $ 100 * 1000 + $20 * 12000 / 1000 = 340
Et non pas (1’100’000 + 1’100’000)/ 11’000 = $200 pour chaque type d’acouchement
jours patient= 1’100’000 / 11’000 = 100 $
Heure soins = 1’100’000 / 55’000 = 20 $
Jour acouchement : $ 100 * 8000 + $20 * 30000 / 8000 = 175
Jour césarienne : $ 100 * 2000 + $20 * 13000 / 2000 = 230
Jour acouchement av. compl. : $ 100 * 1000 + $20 * 12000 / 1000 = 340
Et non pas (1’100’000 + 1’100’000)/ 11’000 = $200 pour chaque type d’acouchement
70. Forces et faiblesses d’ABC Méthode lourde à mettre en place et coûteuse
Base d’imputation subjective
Danger de vouloir minimiser les coûts à tout prix
Hypothèse de linéarité Permet de gérer les causes et non constater des conséquences
Implique un questionnement sur
la valeur des prestations telles que perçues par les clients
les processus Rappelle que les coûts doivent être pertinents en fonction des analyses que l’on veut faire et de la communication interne que l’on veut mener autour de ce qui constitue la performance
Implique
un questionnement sur la façon dont l’entreprise travaille par rapport à ses concurrents
Un questionnement sur les causes réelles de performances
Rappelle que l’information comptable est malléable et que grâce à l’informatique on peut trouver le coût à divers niveaux
Les systèmes ABC sont des projets qui requièrent un investissement conséquent. Les avantages doivent être supérieurs aux coûts inhérants au fonctionnement d’ABC.
Les données produits par ABC peuvent être mal interprétées et doivent être utilisées avec la plus grande attention pour la prise des décisions.
Hypothèse de linéarité:ABC assume que presque tous les coûts sont variable, ils changent donc en fonction du volume produit. Toutefois, à court terme, il existe de nombreux coûts fixes, tels que salaires, location, équipement, etc.. ABC peut donner des informations erronées quand il s’agit de décisions à court termeRappelle que les coûts doivent être pertinents en fonction des analyses que l’on veut faire et de la communication interne que l’on veut mener autour de ce qui constitue la performance
Implique
un questionnement sur la façon dont l’entreprise travaille par rapport à ses concurrents
Un questionnement sur les causes réelles de performances
Rappelle que l’information comptable est malléable et que grâce à l’informatique on peut trouver le coût à divers niveaux
Les systèmes ABC sont des projets qui requièrent un investissement conséquent. Les avantages doivent être supérieurs aux coûts inhérants au fonctionnement d’ABC.
Les données produits par ABC peuvent être mal interprétées et doivent être utilisées avec la plus grande attention pour la prise des décisions.
Hypothèse de linéarité:ABC assume que presque tous les coûts sont variable, ils changent donc en fonction du volume produit. Toutefois, à court terme, il existe de nombreux coûts fixes, tels que salaires, location, équipement, etc.. ABC peut donner des informations erronées quand il s’agit de décisions à court terme
71. L’utilisation d’ABC est conseillée quand l’entreprise: a des charges indirectes importantes par rapport aux charges directes
propose une large palette de produits
offre des produits complexes, réquérant de nombreux processus de production
Observe que ses produits complexes, produits en petits volumes sont moins performants que les produits simples, produits en grand volume
sert de nombreux clients différents
a changé sa structure des opérations mais le système de calcul de coût est resté inchangé ABC is often considered as an option when one or more of the following conditions exist:
Indirect costs are significant in proportion to direct costs and use only one or two cost-drivers.
Goods are complex, requiring many inputs and processes.
Simple, high-volume products perform more poorly than complex, low-volume products.
Different departments believe costs are assigned inaccurately.
The company loses bids it thought were low, and wins bids it thought were high.
Operations have changed significantly, but the costing system has not changed. ABC is often considered as an option when one or more of the following conditions exist:
Indirect costs are significant in proportion to direct costs and use only one or two cost-drivers.
Goods are complex, requiring many inputs and processes.
Simple, high-volume products perform more poorly than complex, low-volume products.
Different departments believe costs are assigned inaccurately.
The company loses bids it thought were low, and wins bids it thought were high.
Operations have changed significantly, but the costing system has not changed.
72. Conditions de succès Impliquer aussi les non-comptables
Disposer de ressources nécessaires:
Temps
Engagement des comptables, direction, employés niveau opérationnel, informaticiens, consultants
Niveau important « d’informatisation »
Utiliser les informations obtenues par ABC avec prudence
Impliquer aussi les non-comptables, sinon les comptables construiront un système qui ne satisfait que leurs besoins
Disposer de ressources nécessaires:
Temps (mise en place en moyenne 3 ans)
Engagement des comptables, direction, employés, informaticiens (le choix d’un logiciel personnalisé plutôt qu’un logiciel générique ne constitue pas un facteur de succès), consultants
Utiliser les informations obtenues par ABC avec la +grande prudence: on a tendance de rationaliser les processus sans considérer l’effet négatif que cela porrait avoir sur la flexibilité et la satisfaction du client
En utilisant l’information de manière inappropriée, on peut sous-optimiser le système, réduire les coûts d’un processus peut causer l’augmentation des coûts d’un autre processus.Impliquer aussi les non-comptables, sinon les comptables construiront un système qui ne satisfait que leurs besoins
Disposer de ressources nécessaires:
Temps (mise en place en moyenne 3 ans)
Engagement des comptables, direction, employés, informaticiens (le choix d’un logiciel personnalisé plutôt qu’un logiciel générique ne constitue pas un facteur de succès), consultants
Utiliser les informations obtenues par ABC avec la +grande prudence: on a tendance de rationaliser les processus sans considérer l’effet négatif que cela porrait avoir sur la flexibilité et la satisfaction du client
En utilisant l’information de manière inappropriée, on peut sous-optimiser le système, réduire les coûts d’un processus peut causer l’augmentation des coûts d’un autre processus.
73. Difficultés rencontrées pendant la mise en place d’ABC Définir et obenir l’information relative aux inducteurs
souvent les données sont incomplètes ou n’ont pas été archivées
Obtenir les réponses valables et non-biaisées de la part des employés
Il faut que les employés se sentent à l’aise et non-menacés par ABC
Obtenir les réponses en temps voulu
Pour remettre le système à jour, sinon ABC ne reflète plus les changements et peut en perdre de sa crédibilité
Interférences avec d’autres tâches
Autres priorités peuvent perturber le suivi de la mise en place de l’ABC
Définir et obenir l’information relative aux inducteurs
souvent les données sont incomplètes ou n’ont pas été archivées
Obtenir les réponses valables et non-biaisées de la part des employés
Il faut que les employés se sentent à l’aise et non-menacés par ABC
Obtenir les réponses en temps voulu
Pour remettre le système à jour, sinon ABC ne reflète plus les changements et peut en perdre de sa crédibilité
Interférences avec d’autres tâches
Autres priorités peuvent perturber le suivi de la mise en place de l’ABC
74. Contexte économique changeant Concurrence de plus en plus vive,
Mondialisation,
Fusions/acquisitions,
Inflation des lois et réglementations
Rapidité de communication,
75. Repenser son système de management Les pressions économiques forcent les entreprises à:
Réduire leurs budgets (- 20 % à - 30 %)
Augmenter des coûts directs et indirects
Suivre l'évolution des technologies
76. Première variante : «Time Driven ABC» La mise en place de la méthode est couteuse; interview pour estimer les allocations, étude de terrain…
Le coût de maintenance est élevé et souvent les entreprises font des réévaluations ponctuelles aussi couteuses,
The accuracy of the cost driver rates when they are derived from individuals’ subjective estimates of their past or future behavior has also been called into question (Kaplan working paper 04-045)
Tout cela induit l’idée que l’intérèt de la méthode faiblit…..
83. Time equation…
84. Kaplan continue en argumentant…
85. Et encore……
86. Activity Based ManagementABM
87. Activity-Based Management Evalue les coûts et la valeur ajoutée des activités et identifie des opportunités pour augmenter l’efficience. augmenter l’efficience et non pas l’efficacité (si une activité ss valeur ajoutée est effectuée de manière efficace -> ne sert à rien)
ABC constitue slm un outil qui détermine le coût des activités et produits mais n’est pas suffisant en soi pour amener une amélioration. AbM par contre est une philosophie de gestion qui se concentre sur la planification, execution et mesure d’activités et aide les entreprises à survivre dans le monde de compétition. ABM utilise l’info obtenu par ABC pour réduire ou éliminer les activité ss val ajoutée et améliorer les processus.augmenter l’efficience et non pas l’efficacité (si une activité ss valeur ajoutée est effectuée de manière efficace -> ne sert à rien)
ABC constitue slm un outil qui détermine le coût des activités et produits mais n’est pas suffisant en soi pour amener une amélioration. AbM par contre est une philosophie de gestion qui se concentre sur la planification, execution et mesure d’activités et aide les entreprises à survivre dans le monde de compétition. ABM utilise l’info obtenu par ABC pour réduire ou éliminer les activité ss val ajoutée et améliorer les processus.
88. Activity-Based Management
89. L’importance de la valeur client Contribuent à la perception de la valeur des produits / services aux yeux du client
tout en poursuivant les objectifs fixés par l’entreprise
Ne contribuent pas à la perception de la valeur par le clientContribuent à la perception de la valeur des produits / services aux yeux du client
tout en poursuivant les objectifs fixés par l’entreprise
Ne contribuent pas à la perception de la valeur par le client
90. Les activités sans valeur ajoutée Les concurrents font un effort constant pour créer davantage de valeur pour le client pour un coût moindre
L’entreprise peut utiliser les ressources « libérées » pour les activités à valeur ajoutée
De nouveaux concurrents peuvent apparaître du jour au lendemain Pour déterminer quelles sont les activités ss valeur ajoutée, elle doivent répondre « oui » aux questions suivantes:
est-ce que l’activité est nécessaire pour la poursuite de la bonne marche de l’entreprise?
Est-ce qu’elle a de la valeur pour les collaborateurs?
Est-ce qu’elle constitue un gaspillage? (outsourcer)Pour déterminer quelles sont les activités ss valeur ajoutée, elle doivent répondre « oui » aux questions suivantes:
est-ce que l’activité est nécessaire pour la poursuite de la bonne marche de l’entreprise?
Est-ce qu’elle a de la valeur pour les collaborateurs?
Est-ce qu’elle constitue un gaspillage? (outsourcer)
91. Identifier les activités à valeur ajoutée Exemple:
Une entreprise de produits isolants se rend compte après une étude ABC que slm 32% de ses clients sont profitables.
Ce qui détermine la profitabilité d’un client s’avère être la taille de la commande
L’entreprise essaye d’agir sur la force de vente:
augmenter le prix des petites commandes personnalisées
Mettre plus d’accent s/ produits standards
Doubler les quantités minimum d’achat
Fournir le système de commande on-line aux plus gros clients
-> nbre de clients profitables augmente de 15%
-> taille moyenne de commande augmente de 87%Exemple:
Une entreprise de produits isolants se rend compte après une étude ABC que slm 32% de ses clients sont profitables.
Ce qui détermine la profitabilité d’un client s’avère être la taille de la commande
L’entreprise essaye d’agir sur la force de vente:
augmenter le prix des petites commandes personnalisées
Mettre plus d’accent s/ produits standards
Doubler les quantités minimum d’achat
Fournir le système de commande on-line aux plus gros clients
-> nbre de clients profitables augmente de 15%
-> taille moyenne de commande augmente de 87%
105. Quelques statistiques… B.Morard HEC-Genéve/2010
114. Que faudrait-il pour que la règle soit acceptable….. ….il faut que le prix de revient obtenu permette pour chaque période que la charge calculée soit la plus proche possible de la charge réelle…
Normalement il faudrait que le total des charges calculées soit égal au total des charges réelles…
Ou que la différence soit minimale…
115. Deux formulations…
117. 1- Position du problème… Nous sommes une compagnie d’assurance qui plaçons auprès de nos clients, particuliers ou entreprise des contrats d’assurance…
Nous gérons 11 types de contrats différents, depuis 6 années…
Nous disposons comme information de base du chiffre d’affaire par type de contrat et de la charge totale sur les 6 périodes : salaires, loyers, fournitures…
119. Vous disposez aussi d’un coût standard ..
122. ANALYSE DES FLUX DE FABRICATION : LE CAS DE LA FABRIQUE DE BRIQUETS
123. Position du problème : Nous sommes une entreprise industrielle , fabriquant des briquets jetables.
Nous sommes leader sur notre marché grâce à la qualité de nos produits.
Malgré tout la concurrence des produits bas de gamme du sud est asiatique, nous impose un effort de compétitivité.
Il nous faut donc mieux connaître nos coûts pour mieux les maîtriser.
124. Nous produisons 5 types de produits(dont des briquets) : Bi1 , produit courant,
Bi2 , de taille supérieure au précédent,
La valve Alu,
La valve Braun,
Le Piezo mécanisme.
126. Organisation de la fabrication :
127. Charges par section
129. Charge directe de la section ALU
130. Charge indirecte et Production de la section Alu
131. Pour répartir les charges indirectes, il faut résoudre le problème suivant
132. Pour les deux produits de la section ALU , nous obtenons les coûts suivants :
134. Section Assemblage -Assemblage des valves Alu et Braun,
-Assemblage des sous ensembles de soupape,
-Assemblage des sous ensembles de molettes,
-Assemblage final des modèles Bi1,Bi2 ,
-Assemblage du Piezo .
145. Les charges indirectes Six postes :
Administration,
taxe,
Production,
Qualité,
Energie,
Amortissement.
149. STRUCTURE des CHARGES
151. Supposons l’organisation suivante: Des charges,
Des départements,
Des produits.
153. Pour préciser les idées; Dans l’entreprise en question, nous produisons du béton qui servir à réaliser des produits dérivés ou à être vendu à la clientèle sous forme de béton frais,
L’usine permets de produire différents biens : cheminée, bordures, tubes, dalles et pavés.
L’entreprise dispose aussi d’un parc de camions pour la livraison éventuelle.
Les commandes sont réceptionnées au bureau et une zone de stockage permets l’entreposage des matériaux.
155. Structure de l’entreprise: Section de production (béton, usine),
Section administration ( bureau),
Section transport.
A cela il faut ajouter :
5 catégories de produits ; bétons, pavés, les sacs et les briques,
3 types d’unités d’œuvres ; M^3, factures, heures.
162. Deux phases de répartition: Phase 1 :On calcule le coût des unités d’œuvre en répartissant la charge globale,
Phase 2 : On évalue le coût des produits en répartissant les unités d’œuvres sur les produits.
170. Fin