1 / 46

Histoire de la mortalit

lorelei
Download Presentation

Histoire de la mortalit

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


    1. Histoire de la mortalité

    2. La table de mortalité

    3. Table d’Ulpien C'est pour établir la valeur des rentes viagères —connues dès l'Antiquité— que le juriste romain Ulpien (fin du IIIe siècle) propose sa table, fondée, non sur des calculs, mais sur une estimation approximative des risques de mortalité à chaque âge.C'est pour établir la valeur des rentes viagères —connues dès l'Antiquité— que le juriste romain Ulpien (fin du IIIe siècle) propose sa table, fondée, non sur des calculs, mais sur une estimation approximative des risques de mortalité à chaque âge.

    4. Struyck 1740 « On a imprimé à Amsterdam, en 1729, un “Calcul des Rentes viagères d’après la grandeur des Rentes amortissables” par Isaac de Graaf, qui est basé sur quelques hypothèses et où l’on n’a pas eu égard aux données exactes fournies par les registres de la mortalité. La mortalité n’écoute pas nos suppositions ; c’est par l’expérience qu’il faut la connaître, car sans elle on perd le fil. »

    5. Struyck 1740 « Considérons cependant la base sur laquelle l’auteur nommé construit sa théorie. Il exige qu’on accepte avec lui sans discussion les deux propositions suivantes, textuellement reproduites ici : I. “Que la force vitale de l’homme est la plus grande à l’époque de sa naissance ; II. Que cette force vitale ou pouvoir de continuer à vivre s’épuise avec le temps, en diminuant d’une certaine quantité tous les six mois ; cette diminution étant d’abord faible et presque insensible (quoique jamais nulle ou négative), puis plus grande après plusieurs années et surtout à la fin ; de telle sorte que la diminution du semestre suivant, quelque petite ou quelque grande qu’elle puisse être, est toujours supérieure à celle du semestre précédent, jusqu’à ce que la force vitale soit entièrement épuisée : c’est alors, et alors seulement, que finit la vie d’après notre hypothèse. Mais comment peut-on accepter ces propositions sans aucune modification ? Il s’ensuivrait qu’il est plus avantageux d’acheter des rentes viagères pour de jeunes enfants ou pour des enfants nouveau-nés que pour ceux qui ont déjà atteint l’âge de dix ans. Or, tout le monde sait que le contraire est vrai ; car si l’on considère 100 enfants nouveau-nés, il ne s’en trouvera plus que 47 au bout de dix ans ; tandis que de 100 enfants âgés de 10 ans, 93 vivent encore en général au bout de 10 ans. » Critique par Struyck des hypothèses de Isaac de Graaf.Critique par Struyck des hypothèses de Isaac de Graaf.

    6. Table de Graunt (1662)

    7. Table de Graunt comparée Le tableau met en parallèle la table de Graunt, les calculs de Dodson, et la table que l’on considère la plus fiable au XVIIIe siècle, celle de Pehr Wargentin dressée en Suède pour les années 1753-1762 Le tableau met en parallèle la table de Graunt, les calculs de Dodson, et la table que l’on considère la plus fiable au XVIIIe siècle, celle de Pehr Wargentin dressée en Suède pour les années 1753-1762

    8. Halley 1693 « Mais ce qu’ils ont Déduit de ces Bulletins de Mortalité a semblé défectueux à ces Auteurs eux-mêmes ; Premièrement en ceci que le Nombre de la Population manquait. Deuxièmement en ceci que les Âges des Gens qui meurent ne pouvaient être obtenus. Enfin Troisièmement en ceci qu’à la fois Londres et Dublin, en raison du grand et accidentel Afflux d’Étrangers qui y meurent (ainsi qu’il appert dans les deux [villes] du grand Excédent des Enterrements sur les Naissances) les rendaient impropres à servir de Modèles à cette fin ; laquelle chose requiert, si cela est possible, que les Gens dont nous traitons ne changent pas du tout mais meurent là où ils sont nés, sans aucun Accroissement Adventice venant de l’Extérieur, ou Diminution en Migrant ailleurs. »

    9. Table de Halley

    10. Halley 1693 « Il appert que, dans les Cinq Années mentionnées, savoir de 87 à 91 inclusivement, 6193 Personnes sont nées, et 5869 ont été enterrées ; c’est-à-dire, par An, 1238 nés et 1174 enterrés ; d’où l’on peut arguer d’un Accroissement de la Population de 64 par An, ou d’à peu près la 20e partie, ce que, peut-être, compensent les Levées pour le Service de l’Empereur en ses Guerres. Mais ceci étant contingent, alors que les Naissances sont certaines, je supposerai la Population de Breslau croître annuellement de 1238 Naissances. De ces dernières, il appert des mêmes Tables que 348 meurent par an dans la première Année de leur Âge, et que seulement 890 parviennent à une pleine Année d’Âge ; et, de même, que 198, pris selon un Milieu, meurent dans les Cinq Années comprises entre 1 et 6 accomplies ; de sorte que seulement 692 d’entre les Personnes nées survivent Six Années entières. A partir de cet Âge, les Enfants, parvenus à quelque degré de Robustesse, deviennent de moins en moins Sujets à la Mort... »

    11. Halley 1693 « D’après cette Table, il est évident que, de l’Âge de 9 à environ 25, il ne meurt pas plus de 6 de chaque Âge par Année, ce qui est à peu près 1 pour Cent de ceux qui ont ces Âges. Et quoique dans les 14e, 15e, 16e, 17e Années, il paraisse qu’il en meurt encore beaucoup moins, savoir 2 et 3 1/2, ceci semble plutôt devoir être imputé au Hasard, comme les autres Irrégularités dans les Séries des Âges, lesquelles se rectifieraient d’elles-mêmes si le nombre des Années était bien plus considérable et tel que 20 au lieu de 5 […] De 25 à 50, 7, 8 et 9 semblent mourir par Année, de chaque Âge ; et, après cela jusque 70, ils deviennent plus délabrés et, quoique leur nombre diminue beaucoup, la Mortalité augmente ; et l’on trouve qu’il en meurt 10 ou 11 de chaque Âge par Année ; De là suit que le nombre des Vivants devient très petit, puisqu’ils déclinent jusqu’à ce qu’il n’en reste plus pour mourir... »

    12. Table 1 de Struyck Struyck utilise des registres des rentes viagères. Ce sont en réalité des livres de compte actuariels où sont portés les versements et les âges au décès des rentiers. En effet, dans ces livres, figurent la date du commencement de la rente et la date de son extinction, savoir la mort de la tête rentée. La table permet de voir immédiatement, pour chaque groupe de 5 années d'âge, le nombre de survivants, ceux qui sont exposés au risque de mourir. Le total de chaque colonne représente l'ensemble des survivants pour ce groupe d'âge, résultant de deux phénomènes : 1) ceux qui ne sont pas morts parmi les survivants des âges précédents et 2) ceux qui s'ajoutent en ayant leur tête rentée à ces âges. Il s'agit donc bien de “cohortes” et d'une réflexion prenant en compte la dynamique du cours du temps. Si l'on additionne les entrants à chaque groupe d'âge, c'est-à-dire ceux sur lesquels est achetée une rente et qui inaugurent une nouvelle cohorte destinée à progressivement s'éteindre, ou encore les nombres placés en descendant diagonalement dans les coins les plus à gauche, on retrouve comme il se doit l'effectif total, soit 794 hommes et 876 femmes. Par exemple, pour les hommes : 100 + 110 + 108 + 68 + 65 + 50 + 48 + 26 + 53 + 52 + 43 + 20 + 16 + 8 + 20 + 7 = 794. Struyck utilise des registres des rentes viagères. Ce sont en réalité des livres de compte actuariels où sont portés les versements et les âges au décès des rentiers. En effet, dans ces livres, figurent la date du commencement de la rente et la date de son extinction, savoir la mort de la tête rentée. La table permet de voir immédiatement, pour chaque groupe de 5 années d'âge, le nombre de survivants, ceux qui sont exposés au risque de mourir. Le total de chaque colonne représente l'ensemble des survivants pour ce groupe d'âge, résultant de deux phénomènes : 1) ceux qui ne sont pas morts parmi les survivants des âges précédents et 2) ceux qui s'ajoutent en ayant leur tête rentée à ces âges. Il s'agit donc bien de “cohortes” et d'une réflexion prenant en compte la dynamique du cours du temps. Si l'on additionne les entrants à chaque groupe d'âge, c'est-à-dire ceux sur lesquels est achetée une rente et qui inaugurent une nouvelle cohorte destinée à progressivement s'éteindre, ou encore les nombres placés en descendant diagonalement dans les coins les plus à gauche, on retrouve comme il se doit l'effectif total, soit 794 hommes et 876 femmes. Par exemple, pour les hommes : 100 + 110 + 108 + 68 + 65 + 50 + 48 + 26 + 53 + 52 + 43 + 20 + 16 + 8 + 20 + 7 = 794.

    13. Struyck par Süssmilch

    14. Struyck par Süssmilch C’est la table des hommes correspondant, republiée par Süssmilch.C’est la table des hommes correspondant, republiée par Süssmilch.

    15. Struyck : tables par sexe

    16. Süssmilch 1741 Tableau des vies moyennes par sexe repris de Struyck 1740.Tableau des vies moyennes par sexe repris de Struyck 1740.

    17. Struyck : taux de la rente

    18. Süssmilch 1741 C’est le tableau du taux de la rente viagère pour les hommes, repris de Struyck 1740.C’est le tableau du taux de la rente viagère pour les hommes, repris de Struyck 1740.

    19. Halley 1693 « Car si l’on divise le nombre de Personnes de chaque Âge restant après une année, par sa différence avec le nombre [de personnes] de l’Âge proposé, [le résultat] montre les chances qu’il y a qu’une Personne de cet Âge ne meure pas en l’espace d’un An. Comme par exemple, une Personne de 25 Années d’Âge a 560 chances contre 7 ou 80 contre 1 de ne pas mourir dans l’espace d’une Année : Parce que, parmi les 567 vivants de 25 ans d’Âge, il n’en meurt pas plus de 7 en l’espace d’une Année, et 560 restent, âgés de 26 Ans. » Quotients de mortalité.Quotients de mortalité.

    20. Halley 1693 « Il en va de même pour les chances qu’une Personne quelconque ne meure pas avant d’atteindre un Âge quelconque proposé : Prenez le nombre des Personnes restantes de l’Âge proposé et divisez-le par sa différence avec le nombre de celles de l’Âge de la Partie proposée ; et [le résultat] montre les chances qu’il y a entre le Hasard que celles-ci vivent [encore] ou soient mortes. Comme par exemple : Quelles sont les chances qu’un Homme de 40 ans vive [encore] 7 ans : Prenez le nombre des Personnes de 47 ans, qui est 377 dans la Table, et ôtez-le du nombre des Personnes de 40 ans, qui est 445, et la différence est 68 : ce qui montre que les Personnes qui meurent dans l’espace de ces 7 ans sont 68 et qu’il y a 377 [chances] contre 68 ou 5 1/2 contre 1 qu’un Homme de 40 ans vive [encore] 7 Années. Et pareillement pour un quelconque autre nombre d’Années. » Espérance de vie à un âge quelconque.Espérance de vie à un âge quelconque.

    21. Struyck 1740 « Si l’on désire savoir combien d’années des personnes d’un âge déterminé peuvent encore espérer vivre, en d’autres termes jusqu’à quel âge on peut parier, 1 contre 1, qu’ils vivront ; et plus généralement si l’on demande l’âge jusqu’où l’on peut parier un nombre donné contre 1 qu’ils vivront, nos tables fournissent la réponse. »

    22. Struyck 1740 : comparaison avec Halley « On voit par ce qui précède qu’on peut parier 1 contre 1 qu’un homme de 50 ans vivra encore 13 ans et une femme du même âge 16 ans, ce qui fait 15 ans en moyenne. D’après la table de M. Halley on trouve un peu moins de 17 ans pour la moyenne. Si l’on voulait parier 1 contre 1 qu’un homme de 50 ans vivra encore 20 ans, on aurait 97 chances de gagner contre 216 de perdre. De même, s’il s’agit d’une femme, 21 de gagner contre 31 de perdre. D’après la table de M. Halley une personne âgée de 50 ans a 71 chances d’atteindre l’âge de 70 ans contre 102 chances de mourir plus tôt. »

    23. Süssmilch 1762 « Cette investigation [durée probable et durée moyenne de la vie à chaque âge] est d'importance et renferme le fondement de la détermination des rentes viagères. Si l'on sait combien de temps un homme d'un âge donné a encore probablement à vivre, ou comment est faite la durée moyenne de la vie des hommes qui ont 20 ou 30 ans, on peut alors déterminer l'intérêt [der Zins] ou rente [die Rente] qu'on doit donner à quelqu'un si l'on veut lui rembourser le capital donné avec les intérêts et avec les intérêts des intérêts. »

    24. Süssmilch 1762 « Ce que l’on appelle la durée moyenne de la vie (die mittlere Dauer des Lebens) est ce que l’on trouve en faisant la somme de toutes les années qu’un certain nombre de personnes ont vécu et en divisant ensuite celle-ci par ce nombre de personnes, d’où le quotient montre le nombre moyen des années (die mittlere Zahl der Jahre) que chacun a vécu et aurait vécu si les années d’âge de toutes les personnes avaient toutes été égales. »

    25. Süssmilch 1762 « Cette durée moyenne de la vie demande […] que l’on sache le nombre des années de chaque mort et qu’on procède de la manière décrite. On voit aisément que cette méthode est pénible [mühsam]. Monsieur Deparcieux en a usé et l’a expliquée clairement et de manière circonstanciée. Mais, à mon avis, ce travail pénible [diese mühsame Arbeit] n’est pas nécessaire puisque la méthode susmentionnée de Halley pour trouver l’espérance probable de la vie [die wahrscheinliche Hoffnung des Lebens] donne la plupart du temps le même résultat que cette méthode pour déterminer la durée moyenne. » Baumann écrit ceci dans l’édition de 1776: « Süßmilch a donc raison en tant qu'il pose que les deux méthodes sont la plupart du temps semblables ou qu'elles donnent l'une et l'autre des résultats rapprochés [beyde Methoden mehrentheils einerley oder sich einander doch nahe kommende Produkte geben], quoiqu'il n'ait pas bien saisi l'une des méthodes. » Baumann écrit ceci dans l’édition de 1776: « Süßmilch a donc raison en tant qu'il pose que les deux méthodes sont la plupart du temps semblables ou qu'elles donnent l'une et l'autre des résultats rapprochés [beyde Methoden mehrentheils einerley oder sich einander doch nahe kommende Produkte geben], quoiqu'il n'ait pas bien saisi l'une des méthodes. »

    26. Baumann 1776 « Qu'on pose 1000 enfants nouveau-nés. La somme de leurs années de vie à eux tous sera 29 918. Et égale est la somme des parts qu'ils doivent toucher ensemble, chacun sa vie durant. C'est autant que si chacun avait 29 ans . D'après [le calcul de la vie probable], il ne viendrait que 22 ans pour chacun. C'est trop peu, et si, par exemple, ces parts à payer annuellement devaient être des rentes viagères, l’acheteur n'y trouverait pas du tout son compte s'il ne se faisait payer que pour 22 ans . »

    27. Antiquité : estimations de la mortalité Il s’agit d’une estimation de l'espérance de vie à divers âges. Une méthode pour estimer les âges (et notamment pour construire des tables de mortalité hypothétiques) consiste à se fonder sur les inscriptions funéraires : 8 065 inscriptions à Rome, 4 646 pour le reste de l'Italie, 10 697 en Afrique, 1 996 en Espagne, 2 345 en Asie, Grèce et Illyrie, 813 en Égypte, 422 en Gaule narbonnaise.Il s’agit d’une estimation de l'espérance de vie à divers âges. Une méthode pour estimer les âges (et notamment pour construire des tables de mortalité hypothétiques) consiste à se fonder sur les inscriptions funéraires : 8 065 inscriptions à Rome, 4 646 pour le reste de l'Italie, 10 697 en Afrique, 1 996 en Espagne, 2 345 en Asie, Grèce et Illyrie, 813 en Égypte, 422 en Gaule narbonnaise.

    28. Antiquité : âges médians au décès Une méthode permet de corriger ces exagérations. On mesure l'âge médian au décès pour le groupe des survivants à 15 ans, c'est-à-dire l'âge auquel a disparu la moitié de l'effectif d'une cohorte considérée à partir de 15 ans. Ce qui permet d'écarter le sous-enregistrement des décès d'enfants et l'exagération des grands âges. Une méthode permet de corriger ces exagérations. On mesure l'âge médian au décès pour le groupe des survivants à 15 ans, c'est-à-dire l'âge auquel a disparu la moitié de l'effectif d'une cohorte considérée à partir de 15 ans. Ce qui permet d'écarter le sous-enregistrement des décès d'enfants et l'exagération des grands âges.

    29. Antiquité Les enfants en bas âge sont peu représentés : en Afrique, 48 enfants de moins d'un an sur 10 697 personnes, à Rome 120 sur un total de 8 065... On a pu néanmoins construire le présent tableau. Pour les 2 sexes réunis, l'espérance de vie à la naissance est de 29,2 ans en Asie, Grèce et Illyrie ; de 20,7 en Gaule cisalpine ; de 24,6 en Italie du sud ; de 23 en Gaule ; de 28,7 en Egypte. Il est impossible d'expliquer ces disparités. S'agissant essentiellement de décès urbains, il ne s’y trouve guère de différences d'hygiène et de salubrité. Dans les statistiques africaines, le quart des inscriptions concerne des décédés de plus de 70 ans ; 7% des décédés de plus de 90 ans ; 3% des centenaires, parmi lesquels 27 auraient dépassé 120 ans... Les enfants en bas âge sont peu représentés : en Afrique, 48 enfants de moins d'un an sur 10 697 personnes, à Rome 120 sur un total de 8 065... On a pu néanmoins construire le présent tableau. Pour les 2 sexes réunis, l'espérance de vie à la naissance est de 29,2 ans en Asie, Grèce et Illyrie ; de 20,7 en Gaule cisalpine ; de 24,6 en Italie du sud ; de 23 en Gaule ; de 28,7 en Egypte. Il est impossible d'expliquer ces disparités. S'agissant essentiellement de décès urbains, il ne s’y trouve guère de différences d'hygiène et de salubrité. Dans les statistiques africaines, le quart des inscriptions concerne des décédés de plus de 70 ans ; 7% des décédés de plus de 90 ans ; 3% des centenaires, parmi lesquels 27 auraient dépassé 120 ans...

    30. Tables d’actuaires XIXe siècle Il s’agit des vies moyennes.Il s’agit des vies moyennes.

    31. Deparcieux 1746

    32. Deparcieux 1746 (1)

    33. Deparcieux 1746 (2)

    34. Deparcieux 1746 : Table XIII (1)

    35. Deparcieux 1746 : Table XIII (2)

    36. Deparcieux 1746 : extrait de la Table XIII

    37. Tontine Lafarge

    38. Tables du XIXe comparées

    39. Tables de survie comparées XIXe siècle

    40. Süssmilch 1762

    41. Süssmilch 1762 : vie moyenne et vie probable

    42. Un calcul de Süssmilch sur le nombre des hommes et des femmes

    43. Proportion des baptêmes à la population (d’après Süssmilch)

    44. Süssmilch 1762 : décès en Poméranie

    45. Süssmilch : mortalité saisonnière à Berlin

    46. Duvillard 1807 Analyse de la mortalité par petite vérole.Analyse de la mortalité par petite vérole.

More Related