LA FRANCE EN VILLES

1. LA FRANCE EN VILLES B) Des espaces urbains aux espaces ruraux : les dynamiques de l’espace français • Villes gagnantes, villes perdantes • Attractivité, répulsivité : le solde migratoire à l’étude. • Carte de référence : le bilan migratoire entre aires urbaines. (90-99, Observatoire des Territoires) • b) Une autre lecture de l’attractivité des villes : le nombre d’arrivées. • Carte de référence : les échanges migratoires (arrivées et départs) entre aires urbaines • Remarques : • - la nécessaire complémentarité entre les 2 cartes se comprend aisément par le cas de l’aire urbaine parisienne à la fois la plus répulsive (solde migratoire) et la plus attractive (nombre d’arrivées). • Il s’agit de faire comprendre qu’au-delà des dynamiques spatiales du solde migratoire, la ville assure en fonction de sa taille un rôle essentiel de « pompe aspirante refoulante » dans les mouvements de population. • On recourt dans les deux cas à la source statistique pour trier et sélectionner les données dans un tableur numérique. Les graphiques obtenus permettent une réécriture des deux cartes. • On regrette des données un peu anciennes sur ces thèmes ; les réactualisation de bon nombre de cartes de l’Observatoire des territoires est attendue avec impatience. • A titre d’exercice, on peut demander un travail comparatif entre la carte du nombre d’arrivées et celle des villes de plus de 250 000 hab. (voir par ailleurs dans le même article). En faire déduire le rôle de la ville en fonction de sa taille dans les mouvements de population.

2. Bilan migratoire des aires urbaines Dunkerque Lille Lens Douai Le Havre Paris Source statistique : sélection et tri Rennes Les principales gagnantes (gain autour de 20000 hab et plus) Nantes Bilan migratoire 90-99 Gain en nb d’hab Lyon Plus de 60000 Arc atlantique Préalpes du Nord Autour de 20000 à 40000 Bordeaux Saint-Etienne Toulouse Nice Perte en nb d’hab Montpellier Les principales perdantes (perte autour de 10000 hab et plus) Marseille Autour de - 10000 à -20000 Toulon Midi méditerranéen - 250000 Zone de croissance Zone déficitaire

3. Bilan migratoire des aires urbaines Dunkerque Lille Lens Douai Le Havre Paris Source statistique : sélection et tri Rennes Les principales gagnantes (gain autour de 20000 hab et plus) Nantes Bilan migratoire 90-99 Gain en nb d’hab Lyon Plus de 60000 Arc atlantique Préalpes du Nord Autour de 20000 à 40000 Bordeaux Saint-Etienne Toulouse Nice Perte en nb d’hab Montpellier Les principales perdantes (perte autour de 10000 hab et plus) Marseille Autour de - 10000 à -20000 Toulon Midi méditerranéen - 250000 Zone de croissance Zone déficitaire

4. Un autre critère pour mesurer l’attractivité des villes : le nombre d’arrivées Graphiques réalisés à partir des chiffres sur les arrivées Carte des arrivées et départs entre aires urbaines (90-99) Agglomérations ayant plus de 50000 arrivées de 1990 à 1999 Lille Rouen Paris Rennes Strasbourg Orléans Tours Nantes « Hors catégorie » Agglomérations ayant plus de 50000 arrivées de 1990 à 1999 (sans Paris) Lyon Plus de 700 000 arrivées en moins de 10ans Grenoble Catégorie 1 Bordeaux Autour de 150 000 arrivées Toulouse Nice Catégorie 2 Montpellier Marseille Autour de 100 000 arrivées Toulon Catégorie 3 Autour de 50 000 arrivées

5. Un autre critère pour mesurer l’attractivité des villes : le nombre d’arrivées Graphiques réalisés à partir des chiffres sur les arrivées Carte des arrivées dans les échanges migratoires entre aires urbaines (90-99) Agglomérations ayant plus de 50000 arrivées de 1990 à 1999 Lille Rouen Paris Rennes Strasbourg Orléans Tours Nantes « Hors catégorie » Agglomérations ayant plus de 50000 arrivées de 1990 à 1999 (sans Paris) Lyon Plus de 700 000 arrivées en moins de 10ans Grenoble Catégorie 1 Bordeaux Autour de 150 000 arrivées Toulouse Nice Catégorie 2 Montpellier Marseille Autour de 100 000 arrivées Toulon Catégorie 3 Autour de 50 000 arrivées