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Vienne

Barbara. Vienne. Si je t´écris ce soir de Vienne, J´aimerais bien que tu comprennes ………../……. Par Nanou et Stan. Si je t´écris ce soir de Vienne, J´aimerais bien que tu comprennes Que j´ai choisi l´absence Comme dernière chance. Notre ciel devenait si lourd.

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Vienne

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Presentation Transcript


  1. Barbara Vienne Si je t´écris ce soir de Vienne, J´aimerais bien que tu comprennes ………../……. Par Nanou et Stan

  2. Si je t´écris ce soir de Vienne, J´aimerais bien que tu comprennes Que j´ai choisi l´absence Comme dernière chance. Notre ciel devenait si lourd

  3. Si je t´écris ce soir de Vienne C´est beau tu sais l´automne à Vienne C´est que, sans réfléchir, J´ai préféré partir Et je suis à Vienne sans toi.

  4. Je marche, je rêve dans Vienne Sur trois temps de valse lointaine. Il semble que les ombres Tournent et se confondent. Qu´ils étaient beaux les soirs de Vienne.

  5. Ta lettre a du croiser la mienne. Non, je ne veux pas que tu viennes. Je suis seule Et puis j´aime être libre. Ô que j´aime cet exil à Vienne sans toi.

  6. Une vieille dame autrichienne Comme il n´en existe qu´à Vienne Me loge dans ma chambre Tombent de pourpre et d´ambre De lourdes tentures de soies

  7. C´est beau à travers les persiennes Je vois l´église Saint-Etienne Et quand le soir se pose Ses bleus, ses gris, ses mauves Et la nuit par-dessus les toits

  8. C´est beau Vienne, c´est beau Vienne Cela va faire une semaine, Déjà, que je suis seule à Vienne. C´est curieux le hasard : J´ai croisé l´autre soir

  9. Nos amis de Lontaccino. Cela va faire une semaine. Ils étaient de passage à Vienne. Ils n´ont rien demandé Mais se sont étonnés

  10. De me voir à Vienne sans toi. Moi, moi, je me promène. Je suis bien, je suis bien, bien, bien Puis, de semaine en semaine, Voilà que je suis seule à Vienne.

  11. Tes lettres se font rares. Peut-être qu´autre part, Tu as trouvé l´oubli de moi. Je lis et j´écris mais, quand même, Ce qu´il est long l´automne à Vienne.

  12. Dans ce lit à deux places Où, la nuit, je me glace, Tout à coup, j´ai le mal de toi. C´est long Vienne, c´est loin Vienne. Et je t´écris ce soir de Vienne,

  13. Chéri, il faut que tu comprennes. J´étais parti. Pardonne-moi. Notre ciel devenait si lourd Et toi, de Paris jusqu´à Vienne, Au bout d´une invisible chaîne,

  14. Tu me guettes et je pense, Jouant l´indifférence, Tu m´as gardé malgré moi. Il est minuit ce soir à Vienne. Mon Amour, je veux que tu viennes.

  15. Tu vois, je m´abandonne. Il est si beau l´automne Et j´aimerais le vivre avec toi. C´est beau Vienne, avec toi Vienne.

  16. Barbara Monique Andrée Serf, dite Barbara (ou Barbara Brodi à ses débuts), est une auteur-compositeur-interprète française, née le 9 juin 1930 à Paris et morte le 24 novembre 1997 à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine, âgée de 67 ans et inhumée dans la 4e division du Cimetière parisien de Bagneux. Sa poésie engagée, la beauté mélodique de ses compositions et la profondeur de l’émotion que dégageait sa voix lui assurèrent un public qui la suivit pendant quarante ans. Premières vocalises Allée Barbara dans le square des Batignolles à Paris.En 1946, les Serf s’installent au 50 rue Vitruve, dans le 20e arrondissement. Monique a seize ans. L’été est assombri par la mort de la grand-mère. Peu attirée par les études, elle ambitionne depuis longtemps de devenir pianiste et chanteuse. Ses parents lui promettent de lui offrir des cours de chant. Elle s’inscrit à ceux de Madame Dusséqué. Sa vie en est changée. Au bout de quelques leçons, son professeur la présente à Maître Paulet, enseignant au Conservatoire de Paris qui la prend comme élève. Dans le nouvel appartement, un piano loué par son père est installé ; Monique en joue d’instinct, sans prendre de leçons. La jeune fille entre au Conservatoire comme auditrice mais au répertoire de chant classique, elle préfère celui de la chanson populaire. Elle arrête les cours. En 1948, après avoir passé une audition au théâtre Mogador, elle est engagée comme choriste dans l’opérette Violettes impériales. Un jour, son père abandonne soudainement le foyer, pour ne plus revenir. Bientôt, la location du piano ne peut plus être honorée. Contrainte de s’en séparer, elle vit un déchirement. La période belge : Monique Serf devient Barbara Voulant à tout prix concrétiser son rêve, devenir « pianiste chantante », elle quitte Paris, en février 1950. Grâce à l’argent prêté par une amie, elle se rend à Bruxelles chez un cousin, Sacha Piroutsky, qu’elle quitte au bout de deux mois car il devenait violent. Sans ressources ni connaissances, la vie est difficile. Au hasard d’une rencontre, elle rejoint une communauté d’artistes à Charleroi, qui se réunissent dans un local appelé la Mansarde Là, elle trouve de l’aide et commence à chanter dans des cabarets sous le nom de Barbara Brodi (inspiré du nom de sa grand-mère, Varvara Brodsky). Son répertoire est constitué de chansons d’Édith Piaf, de Marianne Oswald, de Germaine Montero, de Juliette Gréco et de Jacques Brel. Chaque fois le public la siffle copieusement Fin 1951, elle retourne à Paris pour des auditions sans lendemain. Elle revient à Bruxelles où un ami du groupe de Charleroi lui donne l’occasion de chanter. Elle est mise en relation avec Ethery Rouchadze, une pianiste géorgienne qui accepte de l’accompagner et auprès de qui elle se perfectionnera au piano. Cette dernière lui présente Claude Sluys, jeune apprenti avocat. Habitué des lieux de spectacles, il se pique d’écrire quelques chansons. Fin 1952, il déniche le « théâtre du Cheval blanc » et use de ses relations pour y ouvrir un cabaret afin qu’elle s’y produise sous le nom de Barbara. …../…..

  17. Premiers succès, première télé, premiers enregistrements Le « bouche à oreille » aidant, le succès ne se fait pas attendre, le mariage (avec Claude Sluys) non plus (31 octobre 1953) ni l’occasion d’enregistrer deux chansons chez Decca au début de l’année 1955 : Mon pote le Gitan et L'Œillet blanc, diffusées en 78 tours et 45 tours En 1955, les époux se séparent. À la fin de cette année-là, Barbara retourne à Paris où elle chante dans de petits cabarets : « La Rose rouge », en 1956, « Chez Moineau », en 1957 puis à « L’Écluse » où elle a déjà chanté pour de courts engagements. En 1958, elle réussit à s’imposer, sous le surnom de « La Chanteuse de minuit », si bien que sa notoriété grandit et attire un public de fidèles, en particulier parmi les étudiants du Quartier latin. C’est cependant bien sous le nom de Barbara qu’elle effectue son premier passage à la télévision le 12 juillet 1958, sur l’unique chaîne de la RTF, dans l’émission Cabaret du Soir, où la présentatrice la compare à Yvette Guilbert et lui assure « qu’elle deviendra certainement une grande vedette ». À cette époque, elle commence à écrire. Remarquée et engagée par Pathé Marconi, elle enregistre (sous le label « La Voix de son Maître ») son premier disque 45 tours 4 titres avec deux de ses propres chansons : J’ai troqué et J’ai tué l’amour et au printemps 1959, son premier 33 tours (Barbara à L’Écluse). En décembre 1959, apprenant que son père, qui avait fui sur les routes pour noyer son crime dans le vagabondage et la déchéance, est mourant et la réclame auprès de lui à Nantes, elle se précipite à son chevet. Malheureusement, elle arrive trop tard pour recueillir son mea culpa et lui accorder son pardon. À la vue de son corps, à la morgue, ses sentiments oscillent entre fascination, panique, mépris, haîne d'une part et un immense désespoir d'autre part. Au lendemain de l’enterrement, elle commence l’écriture de la chanson Nantes, qu’elle terminera quelques heures avant son passage au théâtre des Capucines le 5 novembre 1963 ; ce sera l'une de ses plus grandes chansons. En 1960, elle change de maison de disques pour signer chez Odéon. Elle enregistre Barbara chante Brassens et Barbara chante Jacques Brel : le premier de ces albums est couronné par l’Académie Charles-Cros dans la catégorie « Meilleure interprète ». La période parisienne[modifier]En 1961, elle décroche un tour de chant du 9 au 20 février, en première partie de Félix Marten à Bobino, dans le quartier du Montparnasse. Sa performance fut peu appréciée, sa présentation jugée austère, à l’évidence pas encore prête pour les grandes scènes. Loin de se décourager, elle reprend ses récitals à « L’Écluse ». Deux années plus tard, les mardis de novembre et décembre 1963, au théâtre des Capucines, elle retient et captive l’attention avec un répertoire nouveau comprenant deux de ses chansons : Dis, quand reviendras-tu ? et Nantes. Le succès est tel que la maison Philips lui signe un contrat. Séduit, Georges Brassens lui propose la première partie de son prochain spectacle à Bobino. …../…..

  18. En attendant, le 4 juillet 1964, elle se rend sans enthousiasme en Allemagne en réponse à l’invitation de Hans-Gunther Klein, directeur du Junges Theater (de) de la ville universitaire de Göttingen. Agréablement surprise et touchée par l’accueil chaleureux qu’elle reçoit, elle prolonge son séjour d’une semaine. Le dernier soir, elle offre la chanson Göttingen qu’elle a écrite d’un trait dans les jardins du théâtre. En mai 1967, elle sera à Hambourg pour l’enregistrer, avec neuf autres titres, traduits en allemand, pour le 33 tours Barbara Singt Barbara et retournera chanter à Göttingen le 4 octobre. En 1988, Barbara recevra la Médaille d’honneur de la ville. En 2002, Xavier Darcos, alors ministre délégué à l’enseignement scolaire, inscrit cette chanson aux programmes officiels des classes de l'école primaire. Comme convenu, elle chante à Bobino avec Georges Brassens en « vedette » du 21 octobre au 9 novembre 1964. Le public est conquis et les critiques sont unanimes pour saluer sa prestation. Paris-presse-L’Intransigeant écrit qu’elle « fait presque oublier Brassens », L'Humanité : « Un faux pas de Brassens, une prouesse de Barbara. » Elle quittera Paris pour s’installer à Précy-sur-Marne, en Seine-et-Marne. Le 14 mars 1965, son premier album Philips Barbara chante Barbara est distribué. Il obtient le prix de l’Académie Charles-Cros et un réel succès commercial ; Lors de la cérémonie, au Palais d’Orsay, Barbara déchira son prix en quatre pour le distribuer aux techniciens, en marque de sa gratitude. La même année, elle obtient un grand succès à Bobino. Le 15 septembre, jour de la première, France Inter organise une journée Barbara sur ses ondes. La chanteuse est si profondément marquée par cette première qu’elle l'immortalise peu après dans l’une de ses plus grandes chansons : Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous. « Ce fut, un soir, en septembre / Vous étiez venus m’attendre / Ici même, vous en souvenez-vous ? … » Le 6 novembre 1967, alors en tournée en Italie, elle apprend la mort de sa mère. En février 1969, Barbara est à l’Olympia. À la fin de la dernière représentation, à la stupeur générale, elle annonce qu’elle arrête le tour de chant. Toutefois, elle respecte ses engagements passés jusqu’en 1971. On la retrouve, début 1970, au théâtre de la Renaissance dans Madame, une pièce musicale écrite par Rémo Forlani et dont elle signe la musique. Un rocking-chair se trouve pour la première fois sur la scène ; il la suivra désormais dans tous ses tours de chant. Elle interprète une « tenancière de lupanar en Afrique ». Madame est un échec, mais Barbara remet rapidement le « pied à l’étrier » grâce au succès de l’album studio L’Aigle noir dont la chanson éponyme est l’un des plus gros succès discographiques de l’année. Barbara a dit de cette chanson qu'elle l'avait rêvée, « un rêve plus beau que la chanson elle-même », jusqu'au jour où elle révèle dans ses mémoires (publiées en 1998), que L'Aigle noir est la métaphore des plus tristes souvenirs de son enfance.. En février 1972, Barbara est avec son ami Jacques Brel, à l'affiche de Franz. Elle joue Léonie, femme laide, incapable de vivre l’amour dont elle rêve. Ce premier film réalisé par le chanteur obtient peu de succès. Deux ans plus tard, elle joue une diva délaissée dans le film L'Oiseau rare, réalisé par Jean-Claude Brialy …/…..

  19. Le danseur et chorégraphe Maurice Béjart, qui appréciait Barbara énormément, la fait tourner dans Je suis né à Venise. Dans ce film, qui ne sera diffusé qu’à la télévision, Barbara tient deux rôles : celui d'une chanteuse (elle interprète trois titres : L’Amour magicien, L’Homme en habit rouge et La Mort) et celui de la Dame de la nuit. Sa carrière musicale demeure active dans les années 1970 : on la voit à la télévision, en 1972, interpréter un duo avec Johnny Hallyday, Toi mon ombre, toi ma lumière (une création originale restée inédite sur disque). Elle tourne au Japon, au Canada, en Belgique, en Israël, aux Pays-Bas et en Suisse. Par décision, elle interrompt néanmoins ses apparitions audiovisuelles à partir de 1974. À partir de cette période, où elle se fixe également à Précy-sur-Marne, ses textes et ses choix musicaux évoluent en profondeur et ses concerts en 1974, 1975 et 1978 accueillent de nouveaux titres importants. La chanson de 1974 L’homme en habit rouge évoque le souvenir de sa liaison avec son parolier de l’album La Louve, François Wertheimer, auquel Barbara avait offert le parfum « Habit rouge » de Guerlain. Son album Seule est l’une des meilleures ventes de 1981. Son plus grand succès sur scène est celui qu’elle présente la même année à l’hippodrome de Pantin (emplacement actuel du Zénith de Paris). Elle offre là bien plus que de simples concerts, ses représentations sont de véritables messes dont les rappels ininterrompus se prolongent jusque tard dans la nuit. Elle interprétera notamment Regarde, chanson pleine d'émotions qu'elle composa et chanta pour la campagne présidentielle de François Mitterrand à partir du 8 avril 1981. C’est lors de ce spectacle phare que la voix de la chanteuse, pour la première fois, et irrémédiablement, se brise. Elle ne cherchera pas à le cacher mais saura au contraire s’en servir pour renforcer l’aspect dramatique et authentique de son interprétation. Se renouvelant sans cesse, la chanteuse continue d’attirer un public très jeune. L’année suivante, on lui décerne le Grand Prix National de la Chanson en reconnaissance de sa contribution à la culture française. Par ailleurs, elle développe une relation de travail et d’amitié avec la vedette cinématographique montante Gérard Depardieu et son épouse Élisabeth. En 1985, elle coécrit la musique et le texte de la pièce Lily Passion avec Luc Plamondon, dans laquelle elle joue et chante avec Depardieu. Sorte d’autobiographie romancée, c’est l’histoire d’une chanteuse qui voua toute sa vie à son public. La première représentation a lieu au Zénith de Paris, le 21 janvier 1986. L’été venu, elle est invitée sur la scène du Metropolitan Opera de New York pour un Gala Performance, donné le 8 juillet. Elle accompagne au piano le danseur étoile Mikhaïl Barychnikov qui danse sur deux de ses chansons (Pierre et Le Mal de vivre). À cette période elle devient active dans la collecte de financements pour le traitement du sida. Elle rend visite aux malades dans les hôpitaux et dans les prisons. Lors de ses concerts, elle met des corbeilles de préservatifs à la disposition des personnes venues l’écouter ; engagement dont témoignera artistiquement le titre Sid’amour à mort. En 1988, elle est faite chevalier de la Légion d’honneur par le Président François Mitterrand. En 1991, elle enregistre Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke pour les Éditions Claudine Ducaté. Elle dédicacera cet enregistrement dans une librairie parisienne, la même année. …../….

  20. En novembre/décembre 1993, Barbara est à nouveau sur la scène parisienne du théâtre du Châtelet. C’est alors que des problèmes de santé la contraignent à interrompre les représentations. Après quelques jours de repos, elle retrouve son public, le temps d’enregistrer le spectacle, puis renonce à poursuivre et annule les dernières représentations. Suit une tournée. Son ultime apparition sur scène aura lieu le soir du samedi 26 mars 1994 au Centre de congrès Vinci de la ville de Tours. Après 16 années passées loin des studios, elle enregistre douze nouvelles chansons durant l'été 1996. Pour ce disque, Jean-Louis Aubert signe le texte Vivant poème et Guillaume Depardieu celui de À force de. Sorti le 6 novembre, cet album sobrement intitulé Barbara, sera son chant du cygne. Mémoires inachevés Malade, elle consacre son temps à la rédaction de ses mémoires, interrompue par une infection respiratoire foudroyante le 24 novembre 1997. Elle meurt à l’hôpital américain de Neuilly à l’âge de 67 ans. Elle est enterrée trois jours plus tard en présence d’une foule de 2 000 personnes, dans le carré juif du cimetière de Bagneux, au sud de Paris. En 1998, ses mémoires inachevés sont publiés chez Fayard, sous le titre « Il était un piano noir… ». Elle y révèle l’inceste : « J’ai de plus en plus peur de mon père. Il le sent. Il le sait. J’ai tellement besoin de ma mère, mais comment faire pour lui parler ? Et que lui dire ? Que je trouve le comportement de mon père bizarre ? Je me tais. Un soir, à Tarbes, mon univers bascule dans l’horreur. J’ai dix ans et demi. Les enfants se taisent parce qu’on refuse de les croire. Parce qu’on les soupçonne d’affabuler. Parce qu’ils ont honte et qu’ils se sentent coupables. Parce qu’ils ont peur. Parce qu’ils croient qu’ils sont les seuls au monde avec leur terrible secret. De ces humiliations infligées à l’enfance, de ces hautes turbulences, de ces descentes au fond du fond, j’ai toujours resurgi. Sûr, il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après. » Deux ans plus tard, ses objets personnels sont vendus aux enchères Nanou et Stan le 14/07/2014

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