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1. Etat des lieuxcf. rapport d’opportunité présenté en CPC 12 000 candidats avec des effectifs stables
Plus de 550 candidats dans l’Académie avec une progression maîtrisée
Un lien direct entre croissance démographique et augmentation de l’activité des commerces, qui laisse quelques opportunités dans l’académie
Croissance des effectifs dans le secteur du commerce
Des emplois variés et concurrencés reliés à des niveaux de formation et rarement à des intitulés de diplômes (des comportements recherchés plus que des qualifications multiples…) rôle des PFMP, facteur d’embauche…
Une diminution des perspectives d’insertion en BEP VAM
2. Étude Génération 98 du CEREQ sur un échantillon de 573 élèves sortant en 1998, dont 80 % de lauréats du diplôme. Elle permet de constater que :
82 % des jeunes ont un emploi, dont 50% dans la catégorie vendeurs, caissiers ou hôtes de caisse, employés libre service qui regroupent des appellations variées : conseiller de vente, magasinier vendeur, caissiers gondoliers, employé de commerce…
le taux de chômage est légèrement supérieur à la moyenne observée parmi les titulaires des autres baccalauréats tertiaires (11,6 % contre 8 %). Cependant, 50 % des sortants de baccalauréat professionnel commerce n’ont jamais connu le chômage ;
le commerce de détail, dont la grande distribution à dominante alimentaire, est le principal employeur des bacheliers professionnels commerce (52 % des premiers emplois) ;
quelques progressions de carrière apparaissent après 3 années d’insertion sur des postes d’adjoint, de responsable ou de chef de rayon.
3. Une rénovation nécessaire en raisoncf. rapport d’opportunité présenté en CPC
de l’âge du diplôme (1989) et d’objectifs de formation difficiles à atteindre
de l’évolution des structures et des politiques commerciales, et donc des attentes des entreprises de distribution en matière de compétences professionnelles de niveau IV
des rénovations des autres diplômes du secteur commercial (BEP VAM, baccalauréat professionnel Vente, BTS MUC et NRC)
4. En conclusion Un manque d’adéquation entre le diplôme et les exigences du métier
Une sous-estimation de la dimension interpersonnelle dans la vente
Un Pôle Gérer surdimensionné
Une absence de véritables compétences liées aux technologies de l’information et de la communication commerciale
Des Contraintes de formation liées aux M.A.S.
Une inadaptation du pôle entreprendre
5. Les orientations du diplôme Prédominance de la relation au client par rapport à la relation au produit
Introduction des technologies de l’information et de la communication liées à la dimension commerciale
Abandon des M.A.S. au profit d’une autre approche produit
Abandon du pôle entreprendre au profit d’un enseignement économique et juridique distinct
6. Les principaux axes retenus
La redéfinition de métiers de commerciaux de niveau IV en surface de vente (au sein d’une unité commerciale) autour de trois dimensions : animation commerciale, gestion des produits et gestion commerciale, vente.
La réduction de l’éventail des compétences terminales visées mais approfondissement du niveau d’exigence sur celles maintenues : Animer ; Gérer ; Vendre.
Le renforcement de la compétence “ vente ” mais uniquement centrée sur la relation client en unité commerciale (et non sur la vente en général).
La réécriture / actualisation des savoirs en fonction des évolutions scientifiques et de la complexification des tâches confiées à un titulaire de baccalauréat professionnel, notamment les savoirs en “ mercatique ”, “ communication ” et TIC.
7. Le positionnement de ce nouveau diplôme
Le titulaire du BEP VAM participe aux opérations d’approvisionnement et d’exploitation commerciale du point de vente. Il coopère à la réalisation des ventes. Ces tâches sont quasi exclusivement d’exécution et son autonomie reste très strictement encadrée par des procédures prédéfinies.
Le titulaire du baccalauréat professionnel commerce, quant à lui, réalise des ventes, participe à l’animation, à la promotion et à la gestion commerciale de l’unité commerciale avec une plus grande autonomie.
La formation au baccalauréat professionnel commerce renforce et approfondit donc certaines compétences abordées en BEP (dans le domaine de la vente et de la gestion par exemple), mais les dépasse également par des mises en perspective nouvelles et des situations professionnelles plus complexes à appréhender grâce à une réflexion personnelle approfondie. Par contre, certaines compétences (en animation, en communication ou en gestion par exemple) sont nouvelles.