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M edia A sset M anagement la gestion globale des essences, des données et des métadonnées. Roger Roberts/J acques Jacobs. Le «Media Asset Management » :. L es familles SGML – HTML – XML – RDF Les normes MPEG 7 et MPEG 21 La gestion globale d es essences, données et métadonnées
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Media Asset Management la gestion globale des essences, des données et des métadonnées Roger Roberts/Jacques Jacobs
Le «Media Asset Management» : • Lesfamilles SGML – HTML – XML – RDF • Les normes MPEG 7 et MPEG 21 • La gestion globale des essences, données et métadonnées • MXF – AAF : l’encapsulation et l’indexation informatique des essences • La segmentation des fichiers essences • L’intégration de l’indexation sémantique des essences dans les filières de la production • Dublin Core – P/META : des outils d’indexation sémantique • METS : une structure d’encapsulation des métadonnées • Un outil de synchronisation des fichiers : SMIL 2.0 • Les formats d’acquisition P2 et XDCAM • Architecture globale des métadonnées dans un DAM-MAM : Projet – Contenu – Ressources - Références
S.G.M.L. Generalized Mark-up Language H.T.M.L. Hyper Text Mark-up Language X.M.L. eXchange Mark-up Language X.S.D. Schema X.S.L. eXtensible Style Language X.M.L.eXchange Mark-up Language
Principes d’un codage dans un langage à balises : Une balise : < ………> </……..> : Mark-up language • <….> : Ouvrir- Open • </….> :Fin - End
Hyper text Markup language= Gütenberg Le HTML (Hypertext Markup Language) est un set de tags (langage à balise ou code) inseré dans un fichier en vue d’un affichage d’une page du World Wide Web par un browser. Le tag indique au browser comment réaliser la mise en forme des textes et des images d’ une page au format HTML. Ces tags sont formulés par paire afin d’indiquer le moment de début et de fin de chaque élément de la page.
Exemple de codage en HTML: • <HTML> : Ouvrir un document- Open a document • <HEAD> : En-tête - Head • <TITLE> : Le titre : «FIAT Brussels» </TITLE> :fin titre • </HEAD> : Fin en-tête - End head • <BODY> : Simsun 24 </BODY> • </HTML> : Fin du document - End of the document
eXchange Markup language= métadonnées Le XML (Extensible Mark up Language) est un langages structuré, un outil destiné à gérer d’un façon simple à la fois les formats et les données d’une l’information diffusée au travers du World Wide Web. Ce langage structuré offre à l’utilisateur la possibilité d’émettre une requête intelligente auprès de chaque serveur du WEB afin de recueillir des information validées et utiles ! Le XML peut être mis en oeuvre par des individus ou des sociétés qui souhaitent partager de l’information de façon rigoureuse. Les sociétés de Télévision devraient se mettre d’accord sur les schéma XSD du XML pour décrire le format d’indexation des données d’un programme de télévision.
Exemple de codage en XML • <MEMBRE TYPE= "IR" ID="M01"> • <LOGIN ID= "csa"> • <NOM>Lentzen </NOM> • <PRENOM> Evelyne </PRENOM> • <MEL> evelyne.lentzen@cswb.be</MEL> • <TEL> 322 349 58 91</TEL> • <FAX> 322 349 58 97 </FAX> • <EQUIPE RES= "CSA"</EQUIPE> • </MEMBRE>
Codage en HTML/XML : • <HTML> : Ouvrir un document- Open a document • <MEMBRE TYPE= « BE" ID="MF012"> • <LOGIN ID= «INNA»> • <XML> <FIRST NAME>FANNOY</FIRST NAME> </XML> • <BODY>Arial 20 gras</BODY> • <XML> <SECOND NAME> Philippe</SECOND NAME> </XML> • <BODY>Arial 18 </BODY> • <XML> <MEL> philippe@cityfilms.be</MEL> </XML> • <BODY>Comic Sans MS 20</BODY> • <XML> <TEL>00 32 2 375 44 89</TEL> </XML> • <BODY>Times New roman 20</BODY> • <XML> <FAX> 00 32 2 375 32 34</FAX> </XML> • <BODY>Times New Roman 20</BODY> • <EQUIPE RES= « o"</EQUIPE> • </MEMBRE> • </HTML> : Fermer un document-Close a document
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X.M.L. X.S.D X.S.L. MPEG 7 face au XML MPEG 7 les descripteurs symboliques (textes, notes de musique, opérateurs mathématiques, chimiques, physiques, etc..) qui exploitent des répertoires spécialisés les descripteurs de reconnaissance automatiques capables d’individualiser les objets contenus dans les images et les sons (avatars) qui exploitent des algorithmes de reconnaissance automatique de formes, textures, couleurs, mouvements, ….
Exemples de descripteurs normalisés : • Des références touchant à la couleur des objets vidéo (références normalisées RGB, de sa longueur d’onde physique, d’un répertoire de couleurs annexé sous forme d’histogramme) • De la hauteur du son, de sa fréquence (longueur d’onde physique), de l’enveloppe de son spectre, etc • De la représentation d’une caractéristique de mouvement (une trajectoire du point x au point y avec un changement de proportions fonction du changement de perspective), une description des positions dans l’espace d’une translation, d’une rotation, etc… • Des références à un histogramme de textures et reliefs • Des références à une direction de lumière
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Essences Liens La gestion globale : Images + Sons = Essences
Essences Liens La gestion globale : Essences + Liens + Contrôles Contrôles
Essences Sémantique Liens La gestion globale : Essences + Metadonnées : Contrôles
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Les outils d’indexation de l’AAF et les encapsuleurs : • A.A.F. : Advanced Authoring Format : • Cette association inclus des représentants de fabricants et d’utilisateurs : comme Avid, Microsoft, Quantel, Discrete, Sony, ….. et des broadcasters comme la BBC, CNN, Turner, Fox News Corp….. • C’est une indexation riche en métadonnées factuelles : indexation des essences, EDL et les rushes • M.X.F. : Material Exchange Format : coordonné par le forum Pro-MPEG • Développé pour faciliter l’échange des données • Supporte simultanément deux types de transport de fichier : • File transfer (FTP) • Streaming (Flux) • Pratiquement standardisé
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Temporal Prédiction Entropy code Décompose Transform Quantifié Fréquence spatiale Complexité du bloc Débit maximum Bitstream Longueur des mots Inversement proportion. à la fréquence d’apparition Discrete Cosine Transform (DCT) 1620 Blocs de 64 pixels I I B B P B B P B B I Intracoded frame P Forward/predicted frame B Bi-directional/interpolated frame Le système de codage MPEG-2 : Group of pictures GOP : 12 - 16
GOP : en synchronisation avec les plans (segmentation de l’objet AV) MPEG 4 :GPO variable et Macroblocks groupés
MPEG 4: concept numérique ISOMPEG-4 AVC= H.264, MPEG-4 part 10, MPEG4 Encodage numérique descriptif d'objets audiovisuels, des rapports entre ces objets et un contexte : • L'encodage MPEG4 exploite une "boite à outils" générique pour segmenter automatiquement et figurer une vidéo dynamique tout en localisant et en caractérisant les objets de manière compacte et individualisée Exemple de segmentation d'une scène mobile par un encodeur MPEG4: reconnaissance des personnages en mouvement relatif.
MPEG 4: concept numérique ISO Acquisition MPEG 4 L'acquisition exploite un système de maillage automatique produit par l'encodeur lequel découpe et structure les images 2D et 3D La modélisation se fait par la projection d'un maillage 3D composé de polygones dont la finesse est déterminée par la structure du maillage et par une liste plus ou moins importante de nœuds (déterminé à l'acquisition en fonction du flux MPEG4 souhaité en final) A gauche maillage automatique et à droite l'image "reconstruite" avec 3200 nœuds (c'est trop peu!). Dans ce cas 95% des échantillons ont été éliminés..
MPEG 4: concept numérique ISO Exemple d'un traitement MPEG4: segmentation et fusion d'ingrédients • L'encodeur isole le fond et recrée un pano du fond de scène complet (estimation et compensation de mouvement par blocs de 8 ou 16 pixels) • L'encodeur extrait le personnage en mouvement • Le fond est encodé une fois, seules les variations formelles y sont ré-encodées en fonction des besoins. • L'encodeur incruste le joueur en mouvement tenant compte des zones masquées. Les zones non reconnues sont représentés par de la DCT • Le décodeur recrée la scène grâce aux paramètres de la caméra pour le fond et au joueur envoyé dans sa position à chaque image
MPEG 2 MPEG 4 ACP MPEG 4 AVC H 264 Système futur non spécifié Débit binaire pour une qualité donnée Durée de vie D’une amélioration (5 à 8 ans) Evolution du débit binaire en fonction d’une qualité visuelle constante : Prospective de la durée de vie des normes ISOMPEG 2 – MPEG 4 : D’après David Wood Tech Rev EBU /2003 & IBC 04
Segementation des essences : définition d’un clip en tournage : Début du fichier Fin du fichier
Indexation clip : • <Date> • <Créateur> • <Editeur> • <Titre> • <Contributeur> • <Time code in> • <Time code out> Indexation “automatique” d’un clip en tournage : Indexation segment Indexation point Fin du fichier Début du fichier
Indexation points : • <Droits> • <Descriptif> • <Source> • <Type> • <Mots clés> • <Time code in P> • <Time code out P> Indexation points : • <Droits> • <Descriptif> • <Source> • <Type> • <Mots clés> • <Time code in P> • <Time code out P> Indexation points : • <Droits> • <Descriptif> • <Source> • <Type> • <Mots clés> • <Time code in P> • <Time code out P> Indexation points : • <Droits> • <Descriptif> • <Source> • <Type> • <Mots clés> • <Time code in P> • <Time code out P> Segmentation d’un clip tournage + indexation de points Point # Point # Point # Point # Indexation clip 1 : Indexation clip 1 : Indexation clip 1 : Indexation clip 1 : TC out TC in
Segment # Indexation segment : • <Liens> • <Time code in S> • <Time code out S> Indexation des segments (séquence) Point # Point # Point # Point # Indexation clip 1 : Indexation points : TC out TC in
Indexation points : • <Droits> • <Descriptif> • <Source> • <Type> • <Mots clés> • <Time code in P> • <Time code out P> Définition d’un clip programme + indexation “point” Point # Point # Point # Point # Indexation clip 1 : Indexation segment : Fin du fichier Début du fichier
Segment # Indexation segment : • <Liens> • <Time code in S> • <Time code out S> Définition d’un clip programme + indexation segment Point # Point # Point # Point # Indexation clip 1 : Indexation points : Fin du fichier Début du fichier
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Production : de l’analogique aux réseaux numériques Analogique Numérique Unitéde programme Unitéde programme Acquisition Acquisition Réseaux Post-Production Post-Production Diffusion Diffusion Archivage Archivage
Unitéde programme Acquisition Réseaux • Exploitations • Internes • Externes Post-Production Diffusion Archives Archivage Création et exploitation de produits en réseau :
Unité de programme Post- Production Régie Finale Contribution Gestion de projets Diffusion Récupération Moyens informatiques Dépôt Légal Spectateurs Fournisseurs & Clients extérieurs Archivage Conversions Émulations La chaîne analogique : Production Acquisition
Unité de programme Post- Production Régie Finale Contribution Gestion de projets Diffusion Récupération Réseaux interactifs Moyens informatiques Dépôt Légal Spectateurs Fournisseurs & Clients extérieurs Archivage DVD Conversions Émulations La chaîneanalogique / numérique : Production Acquisition Support et infrastructure des réseaux(LAN, Intranet, Extranet)
Processus de fabrication :De l’acquisition au produit fini Produit fini Post-production Acquisition Matière première
Cheminement classique Metadonnées Archivage Produit fini Post-production Acquisition
Cheminement intégré Metadonnées Archivage Produit fini Post-production Intégration Acquisition
Intégration des Metadonnéesde l’acquisition au produit fini= archivage semi automatique Archivage Produits finis Post-production Intégration Acquisition Metadonnées
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Indexation d’un fichier :Le Dublin Core • Le Dublin Core : 15 éléments de métadonnées ayant trait : • Au contenu • Titre (le nom donné à la ressource) • Description du contenu • Sujet de la ressource • Source (référence à une ressource dont l’objet est dérivé) • Couverture (portée ou converture spatio temporelle) • Type (nature et genre de contenu) • Relation (référence à d’autres ressources) • A la propriété intelectuelle • Créateur (entité responsable de la création) • Contributeur (entité qui a contribué à sa création) • Editeur (le diffuseur de la ressource) • Droits (sur et au sujet de la ressource) • A la version • Date • Format (support physique ou fichier) • Identifiant (référence non ambiguë dans un contexte) • Langue
Niveau d’indexation d’un fichier : • Avant le tournage (en vue de l’intégration automatique à l’ensemble des fiches) : • La date • Le format • Le créateur (RTBF) • L’éditeur (unité de production) • Les contributeurs (Réalisateur, caméramen, …) • Le titre du sujet • Pendant le tournage (création automatique de liens dans le fichier MPEG 4 en vue d’une segmentation automatique du clip et d’une préparation pour des compléments d’indexation) : • TC in – TC out de chaque pointeur • Après la phase d’acquisition : • La description du sujet • Le type de contenu • La langue utilisée • Les Droits • La couverture spatio-temporelle
Niveau de sémantique à l’acquisition et à l’indexation d’un clip : • A l’acquisition (commune à la RTBF) : • Le créateur • Le contributeur • L’éditeur • Le titre du sujet • Les pointeurs • Le format : Tc in, TC out, imagettes, .. • A l’indexation (propre à l’unité de production) : • Les fiches descriptives (découpage d’une interview, …) et les mots-clés • Le type de contenu • La couverture spatio-temporelle • Les Droits • Le travail de formulation des segments (rassemblement en séquences, …)
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Création / Edition / Gestion EXPLOITATION ROLES -SYSTEME CORPS MÉTADONNEES A A HEADER Description du document DESCRIPTIVES A A FICHIERS Liste des fichiers ADMINISTRATIVES A MPEG-7 ? A HYPERLIENS Service - Accès - Cryptage Synchronisation STRUCTURE A Architecture d’un système d’encapsultion :METS : Metadata Encoding and transmission standard URLURI Créateur EditeurAuteur RDF Hyper-liens UmidUpid HTML-XML MPEG, BMP WAVE, XML HTML/XSD Javascripts RDF Outils logiciels DBMS HDD DVD ONLS OFLS Bandes
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Les nouveaux formats hybrides :les outils d’encapsulation des essences : Il s’agit de formats combinant des essences en format natif et en format fichier normalisé, des données, des métadonnées (des liens, des structures, des rôles) Les fichiers numériques essences et métadonnées sont générés instantanément durant la phase d’acquisition. La résolution au format broadcast (DVCpro, IMX, …) et la basse résolution (MPEG 4) sont simultanément encapsulées en MXF avec une structure XML qui décrit l’indexation des essences. • Sony:Technologie Profesionnal Disk (DVD de type Blu-ray) • Panasonic : format P2, enregistrement direct sur carte SD