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PORTEFEUILLE DU FONDS POUR L’ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) AU CAMEROUN:

PORTEFEUILLE DU FONDS POUR L’ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) AU CAMEROUN:. RÉSULTATS ET LEÇONS APPRISES. CONTEXTE. Rapport issu de l’initiative du FEM d’évaluer le portefeuille de projets financés au Cameroun;

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PORTEFEUILLE DU FONDS POUR L’ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) AU CAMEROUN:

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Presentation Transcript

  1. PORTEFEUILLE DU FONDS POUR L’ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) AU CAMEROUN: RÉSULTATS ET LEÇONS APPRISES

  2. CONTEXTE • Rapport issu de l’initiative du FEM d’évaluer le portefeuille de projets financés au Cameroun; • Le Cameroun a réalisé des projets variés dans tous les domaines d’intervention du FEM avec le concours des différentes Agences d’Exécution du FEM; • Le Cameroun fait partie du Bassin du Congo, riche en Biodiversité; • Le Cameroun a engagé l’auto évaluation des capacités nationales à renforcer en matière de gestion de l’environnement.

  3. BUT DE LA PRESENTATION • Contribuer à accroître l’efficacité dans la mise en œuvre des projets GEF; • Sensibiliser les parties prenantes sur les succès et les échecs des projets GEF; • Susciter des suggestions pour améliorer le développement et la mise en œuvre des projets GEF au Cameroun.

  4. PROJETS FINANCES PAR LE GEF AU CAMEROUN: ETAT DES LIEUX

  5. Leçons apprises • Application mitigée des lois et règlements relatifs à la protection environnementale; • Les populations environnantes aux aires protégées doivent bénéficier des primes et autres mesures incitatives compensatrices; • On pourrait considérer la redistribution des taxes issues de l'exploitation forestiers, en partie, comme un avantage tiré également des Aires Protégées, mais aucune corrélation positive n'existe actuellement entre les Aires protégées et les revenus issus de l’exploitation forestière; • les avantages tirés de la conservation de la biodiversité ne permettent pas encore de prétendre à une activité de gestion durable sans apport financier externe; • La complexité et l’inefficacité du cycle d’activité des projets GEF semblent être des écueils pour les projets de développement; • Les capacités acquises sont faibles et nécessitent une meilleure valorisation/une meilleure appropriation.

  6. RESULTATS • L’appui du GEF a permis au Cameroun d’honorer ses engagements aussi bien nationaux qu’internationaux dans le domaine de l’environnement; • Le secteur de l’environnement s’est enrichi des lois et règlements relatifs à la protection de l’environnement ainsi que l’élaboration et l’adoption des politiques en matière de gestion durable de la biodiversité; • L’apport du GEF a permis au Cameroun d’abord en toute sérénité d’autres problèmes environnementaux tels que les eaux internationales et la dégradation des sols; • réalisation inventaires des gaz à effet de serre; • l’élaboration de la communication nationale initiale dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques; • projets de recherche sur les pratiques agricoles alternatives; • 60 microprojets communaux, pour un montant de 2.4 millions de $ dans le cadre de la lutte contre la dégradation des sols ; • 150 microprojets communautaires avec un volume de 1.2 millions de $ pour combattre la dégradation des sols; • Réalisation inventaire pour identification sources (industries, agriculture) pollution POPs; • Adoption plan national (POPs) pour sensibilisation parties prenantes;

  7. RESULTATS (Suite) • De 1992 à 2007, accroissement du réseau d’Aires Protégées de 20504km² à 72118km² soit 15% du territoire national; • Création des parcs nationaux de Boumba-bek (6,115km²), Lobéké (1,838km²) et Nki (2,935km²), • a création de 14 zones de chasse soit une superficie totale de 26,920km² sous protection; • Écosystème de savane, accroissement en statut de zone protégée pour une superficie de 31,300km² incluant les trois parcs nationaux (Faro 3,300km², Benoue 1,800km², et Bouba-Ndjidah 2,200km²);

  8. Resultats (suite & fin) • Protection entière de la zone du Mont Cameroun comme parc national • Réalisation de la démarcation et des négociations dudit Parc; • Mont Koupé (42km²) et Mont Bakossi (950 km²) ont été entièrement classés comme Parcs Nationaux; • Démarcation de la principale zone de conservation, signature des accords et l'installation par le gouvernement des Chefs traditionnels; • Au Sud Cameroun, classement du Parc National de Campo-Ma’an pour une superficie totale de 7,710km²; • Le nombre d’Eco-gardes est passé de 3 à 35, formés et équipés.

  9. CONCLUSION • Le portefeuille du GEF a généré les bénéfices socioéconomiques tangibles et a suscité des encouragements auprès des populations en matière de conservation; • Les projets soutenus par le GEF agissent réciproquement et continueront à agir de la sorte comme gagne-pain de nombreuses personnes.

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