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Ejaculation précoce. Gérard Ribes. Prévalence. La dysfonction la plus fréquente entre 20 % et 30% selon les études . Définition. Ejaculation qui survient avant que le sujet ou la partenaire ne le souhaitent Un sentiment de ne pas contrôler l’éjaculation
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Ejaculation précoce Gérard Ribes
Prévalence • La dysfonction la plus fréquente entre 20 % et 30% selon les études
Définition • Ejaculation qui survient avant que le sujet ou la partenaire ne le souhaitent • Un sentiment de ne pas contrôler l’éjaculation • La perturbation est à l’origine d’une détresse, insatisfaction ou de difficultés personnelles • Nouvel élément : IELT ( intravagonalejaculatorylatency time) = temps entre le début de l’intromission vaginale et le début de l’éjaculation intravaginale
Valeur moyenne de l’IELT • 8 minutes • Pas de différence significative entre les hommes circoncis ou non. Pas affecté par l’utilisation d’un préservatif • Un IELT de moins de 1.5 minutes est considéré comme anormal chez les hommes ( 90% des EP moins de une nimute)
Conséquences « négatives » de l’EP • Chez l’homme: • Qualité de vie • Relation à la partenaire • Estime de soi et confiance en soi • Obstacle à développer de nouvelles relations • Chez la partenaire • Sur la relation de couple
Conséquences négatives personnelles • Anxiété lors des RS • Stress excessif ( 28% des EP vs 19% sans EP) • Dépression ( 20,4 des EP vs 12,4% sans EP) • Estime de soi , confiance ( 68% des EP) • Difficultés relationnelles ( 31 % des EP vs 1%)
Phases de l’éjaculation • L’émission • L’éjection ( phase expulsive) • L’orgasme
Au niveau du SNC • Sous contrôle du noyau nPGi (paragigantocellulaire) qui produit une inhibition de l’éjaculation : les neurones sont sérotoninergiques
Au niveau neuro-musculaire • 2 centres réflexes médullaires: • Thoraco-lombaire ( T10-L2): phase d’émission du sperme vers l’urètre prostatique • Sacré ( S2- S4): phase d’expulsion du sperme vers l’extèrieur
Habituellement normale si primaire. Quelques rares causes physiologiques si secondaire • Prostatite • Urétrite • Diabète ( polynévrites) • S.E.P
Causes pharmacologiques • Bromphéniramine : antihistaminique • Ephédrine : décongestionnant • Phénylpropanolamine: vasoconstricteur
Pharmacothérapie • ISRS ou clomipramine • Sprays / gels anesthésiques / (préservatifs avec anesthésiques )
Rééducation périnéale • Réalisée par un kiné spécialisée • Contrôle de la musculature du périnée • Apprentissage d’un contrôle
Sexothérapie • Exercices ; « Stop and go », (« squeeze) • Sensuate focus • Approche cognitivo- comportemental
Et surtout une association de plusieurs éléments de prise en charge