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L’approche par compétences . Etat des pratiques et des expérimentations en cours. Académie d’Aix Marseille 2010 – 2011. Denis Herrero, IEN ET Economie Gestion. « Livret personnel de compétences ». Une expérimentation dans l’académie :
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L’approche par compétences Etat des pratiques et des expérimentations en cours Académie d’Aix Marseille 2010 – 2011 Denis Herrero, IEN ET Economie Gestion
« Livret personnel de compétences » Une expérimentation dans l’académie : GI-SOCLE, dérivé de GIBII (outil d’évaluation des compétences du B2i collège), en expérimentation dans 41 établissements de l’académie en 2009 – 2010 Un élargissement de l’expérimentation à la rentrée 2010 Un accompagnement spécifique à prévoir des équipes de DP6 et de DRA (A noter : dans le département de Vaucluse : un cahier des charges du DRA Dispositif de Réussite par l’Alternance ciblant la maîtrise des compétences du Socle) Une priorité en seconde (voie générale et technologique, voie professionnelle) : la stabilisation du palier 3. Outil de validation des compétences du socle commun au Collège
Outil permettant de valoriser les acquis des jeunes dans le champ de l’éducation formelle et informelle (…) de mettre en valeur leurs atouts, leurs potentialités, leurs engagements (…) et de les aider à mieux réussir leur orientation ». « Livret de compétences expérimental » Une expérimentation nationale : Appel à projet BO n°1 du 7 janvier 2010 « Livret de compétences expérimental » Une expérimentation sur 3 ans (2010 à 2012). Un outil : le « webclasseur » Dans l’académie :8 dossiers retenus (dont 6 lycées professionnels ou SEP) 1 collège : Arthur Rimbaud, Marseille 1 LGT : Montgrand Marseille 2 LGT et SEP : Alphonse Benoit Isle sur la Sorgue, Lycée hôtelier régional 4 lycées professionnels : Les Alpilles Miramas, La Floride - Frédéric Mistral Marseille, Charles Privat Arles
« Livret de compétences professionnelles » A la rentrée 2010 : GI-HORE (outil dérivé de GI-SOCLE) en expérimentation dans la filière Hôtellerie Restauration dans 10 établissements de l’académie 1 EREA (Louis Aragon, Les Pennes Mirabeau) : classes de CAP cuisine et de CAP restaurant 2 Lycées des métiers (Paul Arène Sisteron et Louis-Martin Bret Manosque) : BEP métiers de la restauration et de l’hôtellerie et baccalauréat professionnel restauration) 4 lycées professionnels publics (Ferdinand Revoul Valréas, Aristide Briand Orange, Perdiguier Arles, Camille Jullian Marseille, Alexandre Dumas Cavaillon) 1 lycée professionnel privé (ISMC La Cadenelle Marseille) 1 SEP avec CFA (Lycée hôtelier de Marseille) Une expérimentation au cours de l’année de l’outil PRONOTE version 2010 Une expérimentation « parallèle » dans la voie professionnelle d’un outil de suivi et de validation des compétences
Des objectifs communs Valoriser toutes les compétences du jeune, acquise dans le cadre scolaire et extrascolaire Le rendre acteur de ses apprentissages, de sa formation et de son orientation Etre le vecteur d’une complémentarité nouvelle au sein même de l’établissement et auprès de ses partenaires Servir de base d’orientation
Un outil, une démarche qui créent du sens et de la cohérence Une démarche, un outil au cœur des dispositifs POSITIONNEMENT pédagogique
Un outil, une démarche qui créent de la continuité, de la fluidité dans les parcours Une démarche, un outil au cœur du système scolaire ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Lycée Général et Technologique LYCEE prof. – CFA Socle professionnel INSERTION PROFESSIONNELLE PASSEPORT ORIENTATINON FORMATION EMPLOI COLLEGE Socle commun palier 3 ECOLE Socle commun paliers 1 et 2
Une démarche, un outil … des leviers possibles du « renversement pédagogique » attendu.
Un seul niveau de validation • La compétence est le seul niveau de validation. • Les domainesstructurent les compétences. • Les items sont renseignés lorsqu’une connaissance, une capacité, un attitude est jugée acquise. Les évaluations positives sont signalées par une date. A partir du diaporama publié en juillet 2010 par la DGESCO sur le LPC Exemple : Baccalauréat professionnel « restaurant » (en cours de rénovation)
Comment évaluer ? A partir du diaporama publié en juillet 2010 par la DGESCO sur le LPC • L’évaluation se fait dans des situations variées, éventuellement sur des tâches complexes. • L’évaluation est progressive, renouvelable et peut conduire à la mise en place d’une aide personnalisée. • La notation donne une valeur à une production ponctuelle, elle est complémentaire de l’évaluation.
Processus de validation • Les équipes pédagogiques se fondent sur les items renseignés pour valider chaque compétence. • Les professeurs principauxvalident définitivement chaque compétence avec l’équipe éducative. • Une compétence peut être appréciée de manière globale même si tous items qui la composent n’ont pas été renseignés. • Si des lacunes manifestes apparaissent dans un domaine, la compétence ne pourra être validée. A partir du diaporama publié en juillet 2010 par la DGESCO sur le LPC
Évaluation / validation • Évaluer... c’est : • donner une valeur graduée (8/20, 13/20, en cours d’acquisition / acquis /expert...) • un acte le plus souvent individuel d’un enseignant • un acte pédagogique • un acte renouvelable, évolutif, qui se pratique dans le cadre habituel des enseignements • Valider... c’est : • une déclaration binaire (oui/non) • la décision collégiale de l’équipe • un acte institutionnel • un acte définitif : une compétence validée le reste A partir du diaporama publié en juillet 2010 par la DGESCO sur le LPC
Si une compétence n’est pas validée A partir du diaporama publié en juillet 2010 par la DGESCO sur le LPC • Les items jugés acquis sont obligatoirement renseignés par l’indication d’une date, pour faire ressortir les points restants à valider ou consolider. • Les items non renseignés doivent être évalués ultérieurement. • La non-validation déclenche la mise en place de remédiations (cf accompagnement personnalisé)
Une personnalisation des parcours • Elle est dépendante de la systématisation du « POSITIONNEMENT » pédagogique en formation. • Ce positionnement permet : • d’identifier les points forts et les axes de progrès de chaque élève • de capitaliser des acquis (et de ne pas faire abstraction des parcours précédents) • de mieux définir l’accompagnement personnalisé à mettre en place : • lors des stages « passerelles » (changement d’établissement, de formation, …) • pour préparer l’insertion professionnelle, la poursuite d’études • de rendre progressivement autonome chaque élève dans la construction de son parcours « d’orientation et de formation continue tout au long de la vie » (cf loi du 24 novembre 2009). A partir du diaporama publié en juillet 2010 par la DGESCO sur le LPC