250 likes | 594 Views
Le pouvoir pathogène de Staphylococcus aureus repose sur la production de différentes substances, lesquelles ?. Toxine érythrogène Entérotoxine Hémolysines Exfoliatine Coagulase Fibrinolysine. Infection à Staphylococcus aureus : Les différentes étapes Colonisation Facteurs locaux
E N D
Le pouvoir pathogène de Staphylococcus aureus repose sur la production de différentes substances, lesquelles ? • Toxine érythrogène • Entérotoxine • Hémolysines • Exfoliatine • Coagulase • Fibrinolysine
Infection à Staphylococcus aureus : Les différentes étapes Colonisation Facteurs locaux Facteurs généraux Multiplication locale Hémolysines Leucocidine Protéine A Inflammation locale (+pus + nécrose) Coagulase Inflammation vaisseaux (+ thrombophlébite) Fibrinolysine Guérison Bactériémie Choc septique Métastases infectieuses
Parmi les infections à Staphylococcus aureus, certaines sont dues à l’action de toxines qui se comportent comme des superantigènes, lesquelles ? : • Furonculose • Ostéomyélite • Toxi-infection alimentaire • Syndrome du choc toxique • Éruption bulleuse généralisée • Staphylococcie maligne de la face
Des nombreux antibiotiques pouvant être actifs sur Staphylococcus aureus, citer ceux qui sont susceptibles d’être utilisés dans le traitement d’une infection due à une souche méti-R : • Céfotaxime • Pristinamycine • Oxacilline • Rifampicine • Vancomycine • Ciprofloxacine
Parmi les bactéries suivantes, citer celles qui peuvent être responsables de gangrènes gazeuses • Clostridium perfringens • Bacteroides fragilis • Clostridium septicum • Staphylococcus aureus • Pseudomonas aeruginosa • Mobiluncus mulieris
Parmi les bactéries suivantes, quelles sont celles qui pourront être retrouvées dans un prélèvement de liquide péritonéal lors d ’une péritonite par perforation colique : • Clostridium perfringens • Neisseria commensales • Bacteroides fragilis • Enterococcus faecalis • Escherichia coli • Proteus mirabilis
Certaines espèces bactériennes de la flore vaginale se multiplient au cours d ’une vaginose bactérienne : lesquelles ? Lactobacillus sp Corynebacterium sp Peptostreptococcus sp Gardnerella vaginalis Prevotella sp Mycoplasma hominis
Cette femme consulte pour des leucorrhées qui sont apparues il y a 15 jours et dont elle se plaint du caractère malodorant.L’examen gynécologique met en évidence un écoulement anormal qui adhère aux parois vaginales et l’absence de signes inflammatoires. • Quel diagnostic évoquez-vous ? • Quels tests biocliniques simples peuvent confirmer ce diagnostic ? • Quelle méthode permet au laboratoire d’établir un diagnostic bactériologique ? • Le diagnostic établi, faut-il instaurer un traitement ? Lequel ?
Le résultat de l’examen bactériologique des sécrétions vaginales d’une femme au sixième mois de la grossesse est le suivant : • Examen direct : • cellules épithéliales • nombreux polynucléaires • cocci à gram positif • Culture : • Streptocoque du groupe B (++) • Escherichia coli (rare) Dans cette localisation, citer deux infections dont le streptocoque du groupe B peut être responsable
Le résultat d’un prélèvement urétral chez un homme présentant un écoulement purulent et n’ayant reçu aucune thérapeutique générale ou locale est le suivant : • Examen direct : • Nombreux polynucléaires • Rares cocci à gram négatif extra et intra-cellulaires • Culture : • Absence de culture sur milieu ordinaire - Quel est le diagnostic le plus probable ? - Commentez le résultat de la culture - Conduite à tenir en fonction du résultat de l’examen direct
INFECTIONS À CHLAMYDIA • 1/ Infections respiratoires : . Chlamydia pneumoniae . Chlamydia psittaci(réservoir animal) • 2/ Infections génitales (IST) : . Chlamydia trachomatis. Lymphogranulomatose vénérienne= sérovars L1, L2, L2a, L3. Infections oculogénitales : sérovars D à K • 3/ Trachome : . Chlamydia trachomatis. Sérovars A, B et C
Le diagnostic d’une urétrite à Chlamydia trachomatis peut se faire par : • Examen direct du prélèvement urétral après coloration de Gram • Culture sur gélose au sang, du prélèvement urétral • Culture sur cellules, du prélèvement urétral • PCR à partir du premier jet urinaire • PCR à partir du prélèvement urétral
Le diagnostic d’une salpingite à Chlamydia trachomatis peut se faire par : • Culture sur cellules du prélèvement vaginal • Culture sur cellules du prélèvement endo-cervical • PCR à partir du prélèvement vaginal • PCR à partir du prélèvement tubo-péritonéal • Recherche d’anticorps sériques spécifiques
Un homme de 40 ans consulte pour une érosion du gland, indolore, à base ferme et accompagnée d ’une adénopathie unilatérale non inflammatoire apparue depuis 4 jours. • Quel diagnostic vous paraît le plus probable ? • Comment le confirmerez-vous ? • Le traitement instauré, comment surveillerez-vous son efficacité ?
Préciser si les résultats ci-dessous correspondent à une sérologie syphilitique positive ou négative. Dans le cas où elle est positive, préciser si possible la phase de la maladie. • 1er cas : • VDRL (-) • TPHA (-) • 2ème cas : • VDRL (+) • TPHA (-) • 3ème cas : • VDRL (+++) (quantitatif : 1/32) • TPHA 4+ (> 1/5120) • 4ème cas : • VDRL () • TPHA 3+ (1/320)
IGM TPHA Réagines Titre Ac chancre contamination temps