Maurice, 28 octobre 2008 Présenté par Randrianarivelo Benjamina Mahasolo

1. Améliorer la situation des populations par l’accélération de la mise en œuvre du MAP – Madagascar Action Plan (2007-2012) Maurice, 28 octobre 2008 Présenté par Randrianarivelo Benjamina Mahasolo

2. Partie I - Bref rappel du MAP et du SNISE MAP & SNISESystème National Intégréde Suivi & Évaluation du MAP Partie II - Cadre logique et cadre de suivi & évaluation Partie III - Système d’informationet Cadre institutionnel– Mise en oeuvre

3. Partie IBref rappel du MAP et du SNISE

4. MADAGASCAR ACTION PLAN 2012 A Transformational “Roadmap” for Rapid Development MAP

5. Pourquoi le MAP au lieu du DSRP ? • Le MAP prend la relève du DSRP. • Le DSRP a réalisé les résultats escomptés, avec l’atteinte du point d’achèvement.  Se focaliser alors sur une nouvelle période de planification sur 5 ans (2007 à 2011) pour : • Achever des résultats significatifs en 2012, en phase avec la vision « Madagascar naturellement » 2020 et les OMD, • Réagir aux opportunités et défis globaux et nationaux, • Et rendre le système de planification plus ambitieux et orienté vers les résultats.  HUIT ENGAGEMENTS

6. E1 : Un Gouvernement à qui on peut faire confiance, et des membres de la fonction publique intègres, efficaces et professionnels E8 : Un peuple fier de son identité qui pourra faire face aux défis de notre ère, et qui participe pleinement au développement national E7 : M/car , île verte et leader mondial dans le développement et l'utilisation des meilleures approches pour la protection de l'environnement E2 : Une Nation reliée, grâce à des routes de qualité, des chemins de fer, des ports, des aéroports et des systèmes de TIC NIVEAU DE VIE DE LA POPULATION AMELIOREE DE MANIERE SIGNIFICATIVE E3 : Des ressources humainesdisponibles pour rendre la Nation compétitive au plan mondial, et des apprenants aptes à transformer leurs rêves en réalité E6 : Un taux de croissance élevé et soutenu, grâce à un secteur privé dynamique au plan national et international, et un environnement incitatif E5 : Une population en bonne santé, à durées de vie allongées et à même de contribuer au développement de la Nation E4 : Des régions rurales prospères à travers une révolution verte qui augmentera substantiellement la production agricole

7. Pilotage Chaîne Chaîne Chaîne Chaîne PF 2008-2009 FDI Engagement Analyse PF 2010-2011 Défi Cent° 2012+ Traitement PF Effet Indicateur Collecte PF Produit Indicateur Approche méthodologique pour le SNISE Dispositif institutionnel Système d’information Plan d’action Cadre logique et Cadre de S&E GAR/RBM Contraintes & Opportunités Tableaux ABC470 indicateurs70 indics. prioritaires CP, Focus Group, Chaîne de collecte et de traitement, etc. Points focaux et Organe de central° Trois phases: « Urgence », « SNDS » et « RGPH »

8. Partie IICadre logique et cadre de suivi & évaluation Exemple sur la lutte contre le VIH / SIDA

9. Matrice des résultats et matrices des indicateurs Engagement 5: Santé, planning familial et lutte contre le VIH/SIDA Défi 3: Gagner la lutte contre le VIH SIDA Résultats poursuivis Indicateurs à mesurer Effet 1: Prévalence du VIH au sein de la population maintenue à moins de 1% Prévalence du VIH/SIDA chez les femmes enceintes Produit 1: Gestion décentralisée de la lutte contre le VIH/SIDA renforcée Pourcentage des régions ayant élaboré et mis en œuvre un plan d'action intégré Produit 2: Accès de la population aux moyens de prévention des IST et du VIH/SIDA amélioré Taux d’utilisation du condom pour les jeunes hommes / femmes de 15 à 24 ans Produit 3: Utilisation des services cliniques de prévention et de prise en charge augmentée Pourcentage de personnes toujours en vie et sous traitement ARV 12 mois après le début de celui-ci Tableau A ou Matrice des résultats Tableaux B et Cou Matrices des indicateurs B: Baselines et Cibles C: Valeurs intermédiaires

10. E5 D3 Des indicateurs avec suivis périodiques Taux d’utilisation du condom pour les jeunes hommes de 15 à 24 ans Définition et règle de calcul: Pourcentage de jeunes hommes de 15 à 24 ans utilisant régulièrement un condom lors de rapports sexuels. Justification pour l’évolution: L’effort des deux premières années est concentré sur l’IEC/CCC. Avec les acquis en changement de comportement, l’augmentation est plus marquée. La précocité de la prise en charge complète (médicamenteuse, nutritionnelle, psycho sociale) des PVVIH est déjà assurée d’où cette performance. La pérennisation des acquis s’ensuit pour maintenir la performance.

11. Avec une sélection d’indicateurs prioritaires : > Suivi effectif possible > Fiches détaillées confectionnables > et surtout: Base de la conception du Système d’Information >>> Résultat: De 500 à 60 indicateurs N itérations plus tard Nécessaire priorisation

12. Partie IIISystème d’information et Cadre institutionnel

13. + Partie III. Système d’information et Cadre institutionnel 1. Découvrir le système d’information Fonctionnementgénéral Mécanismes particuliers Mapping détaillé du Système d’information =

14. Partie III. Système d’information et Cadre institutionnel 2. Traduire en un concept de cadre institutionnel

15. Partie III. Système d’information et Cadre institutionnel 3. Appliquer au cadre institutionnel existant

16. Partie III. Système d’information et Cadre institutionnel4. Informatiser en veillant à la simplicité Intégration présente: Faiblesse des applications existantes à l’exception de SIGFP Intégrations futures: Format d’échange SNISE Centralisation auprès du DSEP qui estl’organe de centralisation Collecte locale auprès des points focaux uniquement: entre 50 à 100 PF à terme

17. 5. Not only align, attune with RRI !

18. 6. Exploiter pour éclairer les décisions

19. Revue et reporting

20. Premiers enseignements  L’engagement du leader est essentiel pour la réussite aux différents niveaux. • Instauration d’une nouvelle culture de travail : => changements de comportement : difficiles à conduire, => rôle crucial des coaches, en appui aux équipes chargées d’appliquer cette nouvelle approche.  Recours à l’approche par les résultats rapides : Visibilité rassurante, et détonatrice de la dynamique vers la culture du résultat.  Les outils doivent rester simples, que ce soit pour la compréhension, que pour l’utilisation. • Le déficit de capacités / compétences constitue un frein, mais pas un blocage : => apprentissage in situ, => encouragement au développement de solutions innovantes par les équipes.

21. Prochaines étapes  Accroître l’engagement des leaders (Appuis; décision).  Articuler les décisions en matière d’allocation budgétaire avec les résultats obtenus (Au-delà des premiers CDMT sectoriels).  Entraîner un accroissement de la demande en données sur les résultats (Orientation concertée des décisions).  Mettre au point et diffuser des outils simples (Action; Adhésion).  Accroître le renforcement des capacités, vers l’instauration de la culture de résultat (NLIM, RRI, …).

22. Misaotra betsaka !