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Nord-Pas-De-Calais. Éleve : Dumitru Antoaneta-Iuliana Classe : 12e F Professeur : Zaharia Bogdan.
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Nord-Pas-De-Calais Éleve: DumitruAntoaneta-Iuliana Classe: 12e F Professeur: ZahariaBogdan
Le Nord-Pas-de-Calais est une région administrative française. Elle est bordée au sud par la région Picardie, de la Manche et la mer du Nord à l'ouest et au nord-ouest, avec le Royaume-Uni et par la Belgique au nord-est.
S’il est une région en France qui peut avoir envie de laisser éclater sa joie de vivre à travers ses fêtes et ses carnavals, ou être fière d’accueillir aujourd’hui quelques-uns des plus beaux musées de France, c’est bien la région Nord-Pas-de-Calais. Elle qui a connu toutes les guerres et tous les exodes, toutes les famines et tous les envahisseurs, toutes les restructurations et remises en question.Et, comble de l’injustice, le Nord-Pas-de-Calais est, en plus, victime des clichés. Images déformées aussi par l’inconscient collectif. Images rouillées de ruines industrielles, de ports battus par des vents forts et de villes noyées dans les brumes.
Images réductrices parce que le Nord-Pas-de-Calais, c’est aussi et surtout les moulins qui accueillent des quatre bras sur les monts des Flandres, les fortifications de Vauban autour de canaux de lumière où dorment des carpes sans âge. Le Nord-Pas-de-Calais, c’est encore les beffrois des moyens âges qui carillonnent les heures. Les bocages de l’Artois. Les cathédrales ; le sable le plus fin qui soit le long des grèves et des dunes de Malo et de la Côte d’Opale, l’émeraude des champs de houblon et l’or des blés qui ondulent dans les vagues longues d’une lambada flamande. Lille et ses rues plus âgées qu’elle. Les falaises du cap Gris-Nez et du cap Blanc-Nez où la mer caresse ou se fracasse. C’est l’Avesnois qui sent la Normandie, la Fagne qui sent la Suisse. Arras et son beffroi, et ses arcades. Saint-Omer et ses marais. Calais et ses bourgeois. Bavay la Romaine, et les fraudeurs de Bray-Dunes et Jean Valjean à Montreuil. Et tout, et tout, et tout... Et jusqu’à Douai au beffroi qui tinte laïque ou Cambrai la tolérante, qui accepte tout, même les bêtises.
Fiche d’identité • Superficie: 12 414 km • Bordure littorale: 140 km • Population: 4 032 000 millions d’habitants(les Ch’tis) • Relief: la plaine de Flandre, les collines de l’Artois • Climat: tempéré influencé par l’Atlantique • Départements: 2 (Nord, Pas-deCalais) • Chef-lieu: Lille • Villes importantes: Lille, Arras, Bethune, Lens,Douai Boulogne-sur-mer, Dunkuerque, Calais. 2
Situation • Le Nord-Pas-de-Calais est une région française à l'extrême nord de la France. Elle est composée des deux départements du Nord et du Pas-de-Calais. Ils sont, eux-mêmes, composés des comtés historiques de France d'Artois, de Boulogne, de Flandre et de Hainaut. • Étendue entre la 50e et la 51e parallèle nord, la région s'étale sur 12 414 km2 de superficie, soit 2,35 % du territoire français. Comme le reste de la France métropolitaine, elle se situe sur le fuseau horaire de l'heure normale d'Europe centrale (UTC+1) et lors du passage à l'heure d'été elle se situe sur le fuseau horaire de l'heure d'été d'Europe centrale (UTC+2). • La Manche à l'ouest et la mer du Nord au nord bordent la Côte d'Opale, sur 140 kilomètres .Du côté terrestre, de Bray-Dunes, à l'extrême nord-est, à Anor, à l'extrême sud-est, la région est frontalière à la Belgique sur 350 kilomètres. De l'autre côté du pas de calais se situe le Kent dans le Royaume-Uni à 35 kilomètres. Au sud, seuls les départements de la Somme et de l'Aisne de la région Picardie sont frontaliers avec la région Nord-Pas-de-Calais.
Histoire • Avant 1789 • Les beffrois, symboles de l'indépendance des villes des Flandres et d Hainaut • Jusqu'au XVIIe siècle, l'histoire de la région fut en grande partie commune avec l'histoire de ce qui deviendra la Belgique, celle d'une terre qui « pendant près de mille ans servit de champ de bataille à toute l'Europe ». Le territoire que recouvre le Nord-Pas-de-Calais fut disputé depuis la Guerre des Gaules; à l'époque des invasions barbares, les francs saliens s'y établirent, et il fut le berceau de la dynastie mérovingienne. • A partir du IXe siècle, la région, divisée par la frontière de l'Escaut, connut l'émergence de plusieurs principautés, dont les comtés de Flandre et de Hainaut. Cette époque, confuse d'un point de vue politique, est celle où les villes gagnèrent une grande indépendance, et une prospérité économique et culturelle qui vit son apogée au XVe siècle dans les Pays-Bas bourguignons. Après les longs conflits franco-espagnols du XVIe siècle, la région fut finalement annexée à la France, lors des guerres de conquête de Louis XIV.
La révolution industrielle • Lors de la révolution industrielle du xixe siècle, le Nord, puis le Pas de Calais, connurent un développement économique et un essor démographique sans précédent qui en fit la « première usine de France », et un haut lieu des luttes du mouvement ouvrier. • Les deux guerres mondiales • La région fut durement touchée lors des deux guerres mondiales : elle fut au cœur des combats pendant toute la première. Pendant la seconde elle fut classée en « zone interdite » rattachée à l'administration militaire de Bruxelles. • La crise économique • La région subit une grave crise économique à partir des années 1970, avec la fin simultanée des houillères et des industries sidérurgique et textile qui étaient au centre de son activité. • La région Nord-Pas-de-Calais à l'heure de la décentralisation • Le Nord-Pas-de-Calais devient un établissement public régional (EPR) par la loi du 5 juillet 1972. La dénomination « région » est consécutive à la loi de décentralisation de 1982 impulsée par Gaston Defferre, ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation.
Activités • Jeux traditionnels • Jusqu'aux confins du département, il existe 100 jeux traditionnels, 100 exercices coutumiers. On peut les classer en deux grandes catégories : les jeux où l'on fait donner les animaux et ceux où l'on fait donner les hommes. Et ces jeux sont liés ici au tempérament et à l'histoire des gens, voire au paysage. À l'origine, on trouve souvent deux réalités qui ont marqué le pays : la guerre et la solidarité. D'abord la guerre. Le combat de coqs en est tout le symbole, celui de l'embryon archaïque de la guerre : le duel.Le tir à l'arc, lui, tient son origine des guerres, du Moyen Âge belliqueux, là où l'archer faisait partie de l'élite. Il en va de même pour l'origine du tir à l'arbalète et du fer de javelot.Ensuite, la solidarité. Les archers et arbalétriers se regroupent dans des associations qui descendent, au travers des confréries d'hier, des guildes du Moyen Âge. Corporatisme de la mémoire plus que de l'intérêt, premières hélices de l'ADN du syndicalisme.
Les jeux où l'on fait donner les animaux • - Les combats de coqs : devenus une tradition ancrée dans les Flandres sous Napoléon III. Une première loi les interdit tout à fait en 1963. Mais la fédération des coqueleux se battit bec et ongles et obtint, par une loi de 1964, des dérogations pour les localités où cette pratique était coutumière. Aussi, on peut encore voir l'organisateur d'un combat de coqs monter un ring aux proportions des guerriers emplumés. Les ergots sont remplacés par des dards d'acier. L'affaire commence. Et se termine par la mort d'un des coqs.- Les pigeons voyageurs : tradition moins violente donc. Les coulonneux (éleveurs de coulons - « pigeon » en ch'ti) sont le plus souvent des mineurs à la retraite, les derniers ouvriers du textile, des dockers ou des petits fonctionnaires. C'est un jeu traditionnel des petites classes laborieuses. On lâche les oiseaux depuis loin, jusqu'à huit cents ou mille kilomètres. Le premier pigeon arrivé à la maison gagne le prix, parfois important.- Les concours de chiens ratiers. Cœurs sensibles s'abstenir. On introduit dans une cage, où trottent éperdument trois rats, un chien. Le chien tue les rats. Chrono. Puis rebelote avec trois autres rats et un autre chien. Rechrono. Et ainsi de suite. Le gagnant est le tueur le plus rapide.
Les jeux de lancer • - Le jeu de bouchons : il s'agit d'abattre des bouchons (aujourd'hui en bois) avec des palets de métal. Grande adresse requise. Une variante consiste à mettre des pièces de monnaie sur le bouchon.- La bourle : de grosses « boules » de bois aplaties, qui ressemblent un peu à des roues et qu'on lance sur une piste incurvée. C'est un peu comme la pétanque, en moins simple. - Le jeu de javelot : c'est le jeu de fléchettes en plus grand. Les flèches font soixante centimètres et la cible est un mannequin de paille.- Le jeu de billon : là, il s'agit de balancer un rond de bois de quatre kilos et d'un mètre de diamètre à neuf mètres, le plus près possible du but, en l'occurrence un poteau.- Comme jeux de lancer, on citera encore la crosse (qui est l'ancêtre du golf) etles quilles(ancêtres du bowling). • Les jeux de tir • 4 000 personnes continuent de tirer régulièrement à l'arc et à l'arbalète à travers toute la région. - Le tir à la perche : en haut de la perche se trouve le papegai, du nom d'un petit oiseau gros comme un roitelet. Le meilleur archer est sacré « roy » pour une année, une coutume qui remonte au Moyen Âge. - Le tir à l'arbalète : pratique encore plus ancienne que le tir à la perche. À voir absolument, pour la beauté des instruments et l'adresse des tireurs.
Cuisine et boissons • Cuisine • La cuisine du Nord-Pas-de-Calais exprime deux grandes influences : flamande au nord-ouest, picarde à l'est et au sud - elle-même sous influence normande. La bière au nord et la crème au sud.
Les spécialités • -La carbonade flamande: des morceaux de bœuf braisés avec des oignons, puis cuits lentement dans de la bière de garde à laquelle on ajoute une tranche de pain beurrée de moutarde, de la cassonade, du pain d’épice... un sucré-salé.cheddar que l'on fait gratiner, et de la bière blanche. Quelquefois, on ajoute un œuf par-dessus. À servir évidemment avec des frites !- Le chicon : c'est l'endive dans le Nord. En hiver, on le mange en gratin, au jambon (avec béchamel et gruyère râpé), on le farcit, on le déguste en soupe ou en velouté. On peut le servir en salade. - Le coq à la bière : beaucoup de plats sont cuisinés à la bière. Le coq à la bière est un des grands classiques. Il est servi avec une sauce liée à la crème fraîche. - Le craquelin : pain sucré, plein de pépites de sucre. C'est un pain du dimanche, un pain de fête à déguster avec du beurre et du chocolat chaud. - La flamiche : à l'origine, c'est une galette que l'on mangeait toute chaude, arrosée de beurre fondu, tout juste sortie du four. Maintenant, c'est une flamiche aux poireaux, aux oignons, au potiron, au maroilles...
La carbonade flamande Le coq à la bière Le craquelin La flamiche
Les fromages • -La boulette d’Avesnes: pâte de maroilles émiettée à l’estragon. - Le Ch’ti roux : fromage à la bière de Ch'ti, bière brune du Nord. La couleur orange provient du roucou, épice brésilienne issue d’une écorce d’arbre.- Le maroilles (AOC) : à pâte molle et croûte lavée, dont la technique de fabrication s’apparente à celles du munster et du pont-l’évêque. Fromage qui a du caractère et une pâte à la couleur crème, onctueuse et pleine de saveurs.- Le mont-des-cats : fabriqué par des moines trappistes à l'abbaye du même nom, c'est un fromage à pâte pressée non cuite, doux et moelleux. • Les confiseries • Les babeluttes de Lille, les chuques du Nord, la pastille du mineur (sept plantes naturelles), les bêtises de Cambrai, la chique de Bavay et les sottises de Valenciennes.
La boulette d’Avesnes Le Ch’ti roux Les babeluttes de Lille Les chuques du Nord
Bières et boissons fortes • La bière La bière est aux gens du Nord ce que le vin est au clergé. Sacrée. Elle est d'ailleurs la seule boisson avec le vin de messe à se boire dans un calice. Aujourd'hui, une trentaine d'artisans-brasseurs ayant chacun leur méthode, leur mélange et leurs secrets sortent des bières singulières. D'aucuns diront que la bière a subi dans le Nord l'influence anglaise en plus de l'influence belge. La synthèse de l'ale et de la gueuze.Dans les Nords, les hommes de l'art ont toujours défendu ceci qu'il fallait cinq éléments pour que la bière se différencie de la cervoise. De la bonne orge (l'utilisation d'autres céréales frôle, selon les puristes, l'hérésie), des cônes de houblon choisis et dosés, de l'eau pure, et une levure sélectionnée. • Des catholiques comme l'Angélus ou la Saint-Landelin, des laïques comme laSans-Culotte ou la bière du Démon (12°). Là, c'est la brume assurée même les jours de grand vent. Ou des plus ludiques comme la Choulette (du nom d'un jeu de crosse) ou la Triboulette (du nom d'un jeu de quilles).
Le genièvre • C'est la goutte d'ici. À boire avec modération. C'est un alcool poli, de bon goût, avec cependant ses traîtrises. Alcool de céréales (orge, blé, seigle, avoine) fermentées puis distillées dans un alambic garni de baies de genièvre. Les plus connus se nomment Loos et Wambrechies et se déclinent en une dizaine de cuvées. Le genièvre de Houlle, plus doux grâce à l'avoine, a surtout ses amateurs dans les grandes tables ; il rappelle le Schidam. • Chuchemourette • C'est une boisson à base de cassis et de genièvre. À offrir à votre partenaire, homme ou femme, à la sortie du bal. Érotisme assuré jusqu'au matin.
Culture et traditions • Braderies • S'il y a une chose qui « signe » l'identité du Nord, c'est bien les braderies. Rendez-vous incontournable de la vie sociale et économique, de leurs origines à nos jours, elles sont toujours aussi vivaces. On en trouve la liste dans tous les journaux locaux.
Petite histoire des braderies • Au Moyen Âge (enfin, c'est ce que raconte la tradition orale), la domesticité avait obtenu l'autorisation, une fois l'an, de vendre les vieux vêtements et autres objets usagés de leurs maîtres. À l'époque, cette braderie s'appelait la « franche foire », car ni l'État ni la commune n'imposaient la recette ou le droit de place.Les braderies prirent de l'ampleur au fil des siècles. Aujourd'hui, celle de Lille connaît un succès qui étonne. Les sociologues parlent du « besoin de se retrouver ensemble », dans un monde où les rapports sociaux passent de plus en plus par les machines (portables, Internet, TV...). • La plus grande, celle de Lille • Le premier week-end de septembre, c'est LA plus grande braderie aux puces d'Europe et un grand moment du folklore festif du Nord. Plus de 15 000 vendeurs. 2 millions de visiteurs. On y trouve de tout.
Estaminets • À l'origine, c'était là qu'on trouvait « le boire et la fille ». Dans les villes et les bourgs ouvriers, l'estaminet était plutôt la chapelle de gauche. Estaminet, lieu de mémoire. Les combats de coqs sont interdits et la fumée du tabac n'est plus écologiquement correcte. Mais si vous cherchez bien quelque part le long de la frontière ou le long d'un canal, vous découvrirez peut-être l'un des derniers. • Un certain renouveau • Les « vrais » estaminets ont presque tous disparu. S'il en demeure quelques-uns en Flandre, c'est surtout en ville qu'on les a redécouverts. Lille réapprend les tables à touche-touche, les univers confinés et les murs couverts de vieilleries. Si ce n'est que là, les vieilleries proviennent de la brocante ou de chez l'antiquaire et non plus du grenier de grand-mère. Ainsi voit-on éclore, au cœur du vieux Lille et même ailleurs, quelques établissements qui cherchent dans cette direction.
GéantsLes origines • Ils sont apparus durant l'occupation dite espagnole. Il est possible que les Espagnols importèrent la tradition de fabrication des géants portés en osier qu'on trouvait déjà en Espagne. À la différence de nombre de mannequins, les géants ne sont pas brûlés mais font l'objet d'une profonde vénération populaire. Si le beffroi symbolise la puissance des communes, le géant représente en effet l'âme du peuple, joyeux.Il en naît de nouveaux chaque année, qui représentent un héros local, un animal fabuleux, un fondateur de la cité ou un métier caractéristique : marin-pêcheur, mineur, dentellière, gouailleur de talent,
Fêtes traditionnelles • Carnavals • La fête ici est la première de ces soupapes. Il ne faut pas chercher plus loin la force, la chaleur et les excès des cavalcades médiévales et des carnavals d'aujourd'hui. Autrefois, la fête ici était une parenthèse de droit au péché, une trêve dans le devoir de souffrance. On pense que les fêtes médiévales sont à l'origine des carnavals du Nord d'aujourd'hui. On jette toujours quelque chose à la foule, une foule déguisée ; on porte toujours quelque chose en procession. Aujourd'hui, dans les villes du Nord, le carnaval est devenu incontournable. Ça se passe là-bas dans les temps d'avant carême, au temps où les terres et le mardi sont gras, au temps du droit à la viande, de l'aval à la carne (d'où « carnaval »). Et partout dans le Nord, par ces temps de fête, sortent les géants, des personnages de carton-pâte, peints dans des couleurs vives où dominent le plus souvent le rouge feu et les jaunes allumés, et armés d'une structure d'osier.
Ducasses • La ducasse, c'est la fête patronale du bourg ou du quartier dans le Nord-Pas-de-Calais. Ducasse, contraction du mot dédicace (on dédicace ce jour au saint de la paroisse). Tout ça un peu laïcisé aujourd'hui. La ducasse du Nord, c'est la kermesse flamande, c'est le pardon breton.
Le tourisme • Longtemps, la région a semblé aux antipodes de ce qu’un visiteur parisien, français ou étranger pouvait attendre de ses vacances. Doublement marquée par la tradition industrielle et sa conséquence, la crise économique des années 70, tout ici semble tourner le dos à la pratique du tourisme. Le début des années 1990 a marqué un tournant.
Seules les plages du Nord (Bray-Dunes) et du Pas-de-Calais (Berck, le Touquet), célèbres pour leurs dunes et leurs vastes étendues, paradis du char à voile, semblent ici avoir de longue date pu séduire les visiteurs (sanatorium de Berck, station balnéaire (« Paris-Plage ») au Touquet). • Le choix de Lille capitale européenne de la culture en 2004 viendra consacrer cette revalorisation.
Sites naturels et tourisme sportif • La côte d'Opale • La Côte d'Opale (Berck, Boulogne-sur-Mer, Le Touquet, Audresselles, Wissant…) est l'un des lieux touristiques les plus remarquables du parc régional avec le site des deux caps Gris-nez et Blanc-Nez, la citadelle de Boulogne-sur-Mer dont les remparts, intacts, remontent aux Romains et le centre Nausicaa où l'on peut observer de nombreuses espèces marines. Les plages de la côte d'Opale font partie des plus grandes et belles plages d'Europe.
Sur les plages entre Berck et Équihen-Plage, de Bray-Dunes à Malo les Bains on pratique des sports de voile comme le char à voile, la planche à voile,le cerf-volant, le speed sail ou encore le kitesurf. Le Touquet et Ambleteuse sont des stations très côtées qui disposent notamment d'un magnifique club de tennis tandis que les Britanniques vont jouer au golf à Wimereux.
Cap Blanc Nez Char à voile Dunes
De nombreux touristes descendent chaque été la Canche en canoë-kayak passant par Hesdin, Beaurainville ou encore Montreuil-sur-Mer ainsi que de nombreux villages du bord de Canche. • La pêche de loisirs est très développée dans ce secteur de bocages. On y pêche même la truite sauvage. Des truites de Mer migratrices remontent également la Slack, la Canche et l'Authie ainsi que quelques saumons qui sont pris certaines années. De nombreux efforts sont faits pour que ce grand migrateur revienne dans ces rivières ainsi que dans la Liane. Il est à noter que le plus grand saumon de France fut pêché à Brimeux sur la Canche à fin du siècle dernier.
Dans les terres • L'Avesnois a développé depuis plusieurs années un tourisme de proximité encouragée par d’importants flux de transits (Belges, Néerlandais, Britanniques) : nombreux gîtes, randonnées, base de loisir du Val Joly dans le canton de Fourmies-Trélon. Les paysages de l'Avesnois sont verdoyants, inattendus d'une région d'industrie ancienne : prairies bocagères, forêts de feuillus, vergers, rivières sinueuses, moulins et villages pittoresques où les kiosques de spectacle et les oratoires en pierre bleue sont encore nombreux.
Tourismeculturel • Un riche patrimoine • Les villes du Nord et du Pas-de-Calais sont riches en patrimoine, même si beaucoup ont subi les destructions de la Révolution et des guerres, notamment des deux guerres mondiales, en raison de leur position frontalière. • Plusieurs villes du Nord et du Pas-de-Calais sont classées ville d'art et d'histoire. Il s'agit d'Arras, Boulogne-sur Mer, Cambrai, Lille, Roubaix et Saint-Omer. • Dix-sept beffrois des deux départements sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Lille • Capitale culturelle européenne à partir de 2004 • Le TGV Eurostar • Le VAL- le métro sans conducteur • Euralille- un nouveau quartier de la ville • Carrefour entre trois capitales: Londres, Bruxelles et Paris. VAL
Arras Vue sur la ville La Grande Place La Préfecture
Dunkerque le troisième port français en trafic global Le beffroi Le carnaval goélands argentés
Boulogne-sur-mer Le chateau Premier port de pêche français Nausicaà
Calais premier port de voyqgeurs de l’Europe continentale
Les Gayants de Douai M. Gayant Mme. Marie Cagenon Jacquot Fillon Binbin