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Auditoires et indicateurs économiques PLEINS FEUX SUR LES DOCUMENTAIRES CANADIENS. 25 avril 2005. Présenté au comité consultatif sur la politique en matière de documentaire. Les documentaires canadiens :. Indicateurs économiques : Revenus Ventes brutes Publicité Emplois
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Auditoires et indicateurs économiques PLEINS FEUX SUR LES DOCUMENTAIRES CANADIENS 25 avril 2005 Présentéau comité consultatif sur la politique en matière de documentaire
Les documentaires canadiens : • Indicateurs économiques : • Revenus • Ventes brutes • Publicité • Emplois • Rejoindre les auditoires : • En salles • Marché hors salles • Télévision
Récupération en fonction du pourcentage de l’investissement, par format De 2000-2001 à 2003-2004 Enfants et jeunesse 17,6 % VAS 11,0 % Dramatiques 11,0 % Documentaires 9,4 % Revenus L’échantillonnage est limité • Part des revenus de Téléfilm après les avances en distribution, les commissions et les dépenses • À faire : augmenter l’échantillonage et définir les tendances
Récupération en fonction du pourcentage de l’investissement, par format De 1995-1996 à 2001-2002 10,9 % 4,6 % 3,2 % Mini-séries Documentaires uniques Séries Revenus • Documentaire : • Les séries produisent les revenus les plus élevés, soit 11 % des investissements totaux
Revenus Documentaires financés par Téléfilm Récupération des revenus • 44 % des documentaires financés n’ont produit aucun revenu • 2 % des documentaires financés ont récolté 45 % de l’ensemble des revenus De 1995-1996 à 2001-2002 372 301 160 15 Aucun revenu et plus Moins de 100 000 $ 1 000 $ et 100 000 $ Entre 1 000 $
L’échantillonnage se limite à : • Les 35 documentaires les plus performants financés par Téléfilm et l’ONF* en 1998-1999 • Un cycle de revenus sur cinq ans • Total des ventes hors structure financière = 5 M $ • 70 % des ventes hors structure financière ont été réalisées à l’étranger • À faire : élargir l’échantillonnage et définir les tendances * Les documentaires les plus rentablesdepuis 1998-1999 : 23 de Téléfilm, 12 de l’ONF; 20 documentaires uniques; 2 mini-séries et 8 séries Ventes brutes Total des ventes de 35 projets Ventes sur le marché canadien 30 % Ventes à l’étranger 70 %
Préventes et ventes au Canada Par format SÉRIES 65,5 % 34,5 % MINI-SÉRIES 49,9 % 50,1 % DOCUMENTAIRE UNIQUE 25,1 % 74,9 % Préventes Ventes Ventes brutes • Parmi ces 35 documentaires en 1998-1999 : • Les séries documentaires obtiennent le plus facilement des préventes qui sont comprises dans leur structure financière. • Le documentaire unique est le plus faible sur le plan des préventes.
Ventes brutes • Pour ces 35 projets en 1998-1999 : • La plupart des ventes ont été réalisées au Canada, surtout pour les séries. • Les documentaires uniques font la plupart de leurs ventes à l’étranger. Ventes et préventes réalisées au Canada et à l’étranger SÉRIES 71,97 % 28,03 % MINI-SÉRIES 66,25 % 33,75 % DOCUMENTAIRES UNIQUES 54,01 % 45,99 % Canada Étranger
Ventes et préventes réalisées au Canada Par segment de marché 88,2 % 10,0 % 1,7 % 0,1 % Télévision Institutionnel Vidéo Salles commerciales Ventes brutes • Parmi ces 35 projets en 1998-1999 : • La télévision représente le segment de marché le plus important, avec 88,2 % de l’ensemble des ventes et des préventes. • Aucun autre segment de marché ne s’en rapproche.
Institutionnel Salles commerciales 0,4 % 1,8 % Vidéo 10,2 % Télévision 37,9 % Institutionnel 51,4 % Télévision 98,2 % Téléfilm Canada Office national du film Ventes brutes Pour 35 documentaires de 1998-1999 Ventes et préventes réalisées au Canada Par segment de marché
Fourchette de coûts (publicité de 30 secondes) durant la diffusion de documentaires canadiens comparativement à d’autres genres d’émissions American Idol Finale 76 990 $ 38 970 $ Law & Order SVU Corner Gas 21 620 $ 360 $ Documentaires – Montant le plus élevé Fourchettte de coûts par mille téléspectateurs (CPM) durant la diffusion de documentaires canadiens comparativement à d’autres émissions The OC 57,40 $ CSI 40,32 $ Documentaires – Montant le plus élevé 12,69 $ Publicité Tarifs : Selon un sondage* fondé sur l’inventaire disponible, avec des estimés de coûts et d’auditoire par émission pour la période du 9 avril au 30 juin 2005 Avantage de l’image de marque : Le CPM des documentaires varie entre 4 $ et 12 $, le coût le plus élevé étant associé aux chaînes spécialisées en documentaire. * Sondage réalisé auprès de 17 radiodiffuseurs, dont la CBC
Estimation de la portion des revenus publicitaires provenant de la diffusion de documentaires Réseaux de télévision conventionnelle 3 % Chaînes spécialisées 21,49 % Revenus publicitaires Selon un échantillonnage de radiodiffuseurs privés seulement (excluant la CBC)
Directs 14 300 14 000 Indirects 12 900 Total 12 000 11 700 10 900 9 100 8 800 8 600 7 900 7 400 7 200 7 000 6 700 5 600 5 500 5 400 5 000 4 600 4 500 4 300 4 200 3 500 2 700 96-97 97-98 98-99 99-00 00-01 01-02 02-03 03-04 Emplois • La production de documentaires au Canada a permis la création de l’équivalent à temps plein de 12 900 emplois en 2003-2004. • Les données de 2003-2004 marquent une baisse par rapport à l’année précédente. Emplois en équivalent à temps plein
En salles Tendances • Hausse extrêmement marquée des recettes-guichet des longs métrages documentaires en 2004. Augmentation de 428 % par rapport à 2003. • Fahrenheit 9/11 de Michael Moore s’est taillé une part de 40 % des recettes-guichet en 2004. • La part de marché des longs métrages documentaires est passée de moins de 1 % des recettes-guichet totales à 1,2 % en 2004. Recettes-guichet et nombre de documentaires lancés en salles Recettes-guichet des documentaires (en millions $) Nombre de documentaires lancés en salles 30 70 25 60 20 50 40 15 30 10 20 5 10 0 0 2002 2003 2004
Longévité des longs métrages au grand écran (en semaines) 14 12 10 8 6 4 2 0 2002 2003 2004 Documentaires Fiction En salles Tendances • Les longs métrages documentaires restent à l’affiche beaucoup plus longtemps qu’avant. • Les films de fiction restent moins longtemps à l’écran. • Moyenne de 5 écrans par long métrage documentaire. • Moyenne de 60 écrans par long métrage de fiction. • La moyenne des recettes-guichet par écran est comparable.
Recettes-guichet des documentaires canadiens (en millions de dollars) 2,5 2 1,5 1 O,5 0 2002 2003 2004 En salles Documentaires canadiens • Dans la foulée de la croissance du documentaire, les longs métrages documentaires canadiens ont connu eux aussi une impressionnante augmentation de leurs recettes-guichets en 2004 (de 145 000 $ à plus de 2 M $) • The Corporation a obtenu près de 1,5 M $, soit 75 % des recettes-guichet de l’ensemble des documentaires canadiens.
En salles Documentaires canadiens • Les longs métrages documentaires canadiens ont obtenu 8 % de la part de marché de l’ensemble des documentaires. • Les longs métrages canadiens de fiction ont obtenu 4 % de la part de marché de l’ensemble des longs métrages de fiction. • Les longs métrages documentaires canadiens ont produit 5 % de l’ensemble des recettes-guichet des longs métrages canadiens. Part de marché des longs métrages canadiens en 2004 (par genre) 8 % (2 113 585 $) 4 % (39 286 854 $) Part de marché canadienne de tous les longs métrages documentaires Part de marché canadienne de tous les longs métrages de fiction
En salles • Les cinq documentaires encore en salles commerciales au Canada en 2004 : • Fahrenheit 9 / 11 – Lancement en 2004 – Recettes-guichet : 18 242 989 $ • Bowling For Columbine – Lancement en 2002 – Recettes-guichet : 5 244 872 $ • Super Size Me – Lacement en 2004 – Recettes-guichet : 2 064 476 $ • The Corporation – Lancement en 2004 – Recettes-guichet : 1 511 731 $ • NASCAR: The Imax Experience – Lancement en 2004 – Recettes-guichet : 1 225 625 $ • Fahrenheit 9/11 a récolté les meilleures recettes-guichet de tous les temps. • The Corporation est un documentaire canadien. Il a été en tête des documentaires canadiens et en deuxième place de l’ensemble des films canadiens en 2004. • Ce qu’il reste de nousa obtenu les meilleures recettes-guichet des documentaires de langue française. Il s’est classé en septième place de tous les films avec des recettes-guichet de plus de 300 000 $.
Écoles Biblio- thèques Marché hors salles – Jusqu’au début des années 1990 (général) Collèges et universités Marché hors salles Multimédia Vidéo Centres de services sociaux Entreprises et industrie Associations communautaires Santé Télévision éducative et spécialisée Marché hors salles – Du début des années 1990 à aujourd’hui (spécialisé)
Marché hors salles • Divers auditoires sont rejoints également à la maison, dans les milieux de travail et de l’éducation. • Exemple : Office national du film • Bibliothèques : au cours des cinq dernières années - un million de films loués ou prêtés, dont 90 % sont des documentaires • Milieu de l’éducation : près de 400 000 documentaires ont été vendus • Une recherche plus poussée est nécessaire pour continuer de mesurer ces tendances de consommation
Répartition des heures visionnées Émissions étrangères Émissions canadiennes 48 % 52 % Télévision Survol • Tous genres d’émissions (sport, nouvelles, divertissement, etc.) • Les Canadiens ont vu plus de14 milliards d’heures de télévision durant le premier semestre de 2003-2004. • De ce total, une faible majorité (52 %) est composée d’émissions étrangères. • Défi des données. Source : BBM National Meter Service, semaines 1 à 26, année de diffusion 2003-2004
Télévision Indicateurs récents en matière d’auditoire Répartition des heures de visionnement (Semaines 1 à 26, saison 2003-2004) • Les Canadiens ont vu environ 784 millions d’heures d’émissions documentaires durant le premier semestre de la saison de diffusion 2003-2004. • Ceci représente environ 6 % du temps total passé à regarder la télévision. Documentaires 6 % Autres genres 94 % Source : BBM – service audimétrique national. Semaines 1 à 26, année de diffusion 2003-2004
Télévision Indicateursrécents en matière d’auditoire Répartition des heures de visionnement consacrées aux documentaires (Semaines 1 à 26, saison 2003-2004) • Des 784 millions d’heures d’émissions documentaires visionnées, 533 étaient en anglais et 251 étaient en français, représentant : • 5 % du visionnement total en anglais • 6 % du visionnement total en français • Les Canadiens de langue anglaise et de langue française regardent les documentaires à la télévision dans une même proportion. français 32 % anglais 68 % Source : BBM – service audimétrique national. Semaines 1 à 26, année de diffusion 2003-2004.
Télévision Indicateurs récents en matière d’auditoire Répartition des heures de visionnement des documentaires (Semaines 1 à 26, saison 2003-2004) • Les émissions étrangères sont visionnées en plus grand nombre que les émissions canadiennes, mais en ce qui concerne les documentaires, les téléspectateurs préfèrent les documentaires d’ici. • Les documentaires canadiens représentent plus de 60 % de l’ensemble des documentaires visionnés à la télévision. Émissions étrangères Émissions canadiennes 39 % 61 % Source : BBM – service audimétrique national. Semaines 1 à 26, année de diffusion 2003-2004.
Émissions documentaires offertes et vues (heure/semaine/personne) Émissions de langue anglaise Offertes Vues 1996/97 1998/99 2000/01 2002/03 Émissions de langue française 1996/97 1998/99 2000/01 2002/03 Télévision - heures de grande écoute Tendances • Plus du double des émissions documentaires sont diffusées aux heures de grande écoute, soit : • 700 à 1 600 h / semaine (anglais) • 300 à 700 h / semaine (français) • Le visionnement n’augmente pas : • 9 h / semaine (anglais) • 11 h / semaine (français) Source : Recherche de la CBC et de Niielsen Media, 1996-2003, heures de grande écoute
Offertes Viues Télévision - heures de grande écoute Tendances Diffusion de documentaires canadiens Offre et part canadienne des heures visionnées • Marché anglophone : la part des émissions canadiennes offertes a légèrement augmenté à 50 %, tandis que la part des émissions canadiennes visionnées reste à environ 30 %. • Marché francophone : la part des émissions canadiennes offertes et visionnées a chuté de façon marquée en 1998 et s’est stabilisée depuis aux environs de 60 %. Émissions de langue anglaise 1996/97 1998/99 2000/01 2002/03 Émissions de langue française 1996/97 1998/99 2000/01 2002/03 Source: Recherche de la CBC et de Niielsen Media 1996-2003 . Part canadienne Heures/Semaines/Personnes Grande écoute
Télévision Indicateurs récents en matière d’auditoire Répartition des heures de visionnement • Les séries représentent le format documentaire le plus regardé (nombre d’heures). • Cependant, la proportion d’heures de visionnement de l’ensemble de ces formats est presque identique à celle de l’OFFRE d’émissions. Ceci indique que ces trois formats comportent un attrait comparable auprès des téléspectateurs canadiens. selon le format des documentaires canadiens Mini-séries Documentaires uniques 4 % 14 % Séries 82 % Source : BBM – service audimétrique national. Semaines 1 à 26, année de diffusion 2003-2004.
Programmation de documentaires - Sept 2003 à février 2004 Ind.2+ AMA Émission Diffuseur Pays (000) Langue anglaise Born Rich CTV Étranger 1,263.1 964.5 City Of Ruins CBC Canada 791.4 Behind The Lens:Prime Suspect Pt. 2 CBC Canada CTV 733.6 Documentaries Canada 727.3 Asteroid! The Doomsday Rock CBC Canada Langue française 1545.1 Céline Dion: 1 fille & 4 types TVA Canada 842.1 Wilfred Le Bouthillier TVA Canada 805.5 7 mensonges de George Bush TVA Autre 762.6 À hauteur d'homme SRC Canada 650.4 SP: Marc Dupré TVA Canada Télévision Indicateurs récents en matière d’auditoire • Selon le résultat CUMULATIF, les séries comptent pour la plus grande part des heures de visionnement. Cependant, les documentaires uniques et les mini-séries obtiennent de meilleurs résultats d’auditoire par diffusion. Les cinq documentaires ayant récolté les meilleures cotes d’écoute pour diffusion unique étaient tous, soit des documentaires uniques, soit des mini-séries. Source : BBM – service audimétrique national, semaines 1 à 26, année de diffusion 2003-2004.