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L’économie des biens culturels. Le commerce électronique des biens d’expérience. Présenté par: Li LIN Nadine HOBEIKA. Plan. Première partie : le commerce électronique des biens d'expérience A. A nalyse des sites des vendeurs en ligne :
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L’économie des biens culturels Le commerce électronique des biens d’expérience Présenté par: Li LIN Nadine HOBEIKA
Plan • Première partie : le commerce électronique des biens d'expérience A. Analyse des sites des vendeurs en ligne: Amazon.com; Barnes and Noble; Amazon.fr; FNAC 1.Biens à la vente de ces sites 2. Différence entre ces sites et ses magasins culturels physiques traditionnels. • B. Communautés de critiques 1. Intérêt de ces critiques d'utilisateurs 2. Caractéritique d’une "bonne" critique 3. Stratégie d’un site pour mettre en avant les "bonnes" critiques 4. Taille des "communautés de critiques" de ces quatre sites étudiés • Deuxième partie : présentation de l'article de Chevalier et Mayzlin Que pensez-vous de l'article de Chevalier et Mayzlin ["The Effect Of Word Of Mouth On Sales: Online Book Reviews"] ?
Quels biens vendent ces sites • Par opposition aux produits de necessité courante(ex: alimentaire, vêtements, cosmétiques), les produits culturels correspondent à des dépenses « discretionnaires » • Les sites de biens culturels permettent de fournir rapidement des offres alternatives sérieuses et un accès pratique aux produits: le cyberconsommateur est plus facile à fidéliser • Standardisation: le cyberconsommateur peut clairement idendifier le produit
Qu’est-ce qui différencient ces sites de magasins culturels physiques traditionnels(comme une FNAC, un magasin Virgin, etc.)? • Absence de déplacement; et il n’y a pas de contraintes horaires(commander 24/24) • Approvisionnement: des références non stockées. sites: l’achat- la fourniture • le commerce électronique ouvre de nouvelles voies de distribution qui peuvent profondément modifier à l'avenir les circuits de distribution traditionnels. • Prix bas
Quel est intérêt des critiques d’utilisateurs? • Informer les utilisateurs de leur satisfaction du produit. • Aider l’acheteur à se faire une opinion sur le produit en ligne • Comparer différents produits entre eux qui répondent à une même utilité. • Pouvoir dénoncer après l’achat d’un produit, les défauts qu’il possède: émission d’un jugement négatif.
Qu’est-ce qu’une “bonne” critique? • Prendre en compte l’avis des experts, et la notations des internautes ( grâce aux Star ratings), • Elle doit être impartiale, objective. Ne pas favoriser un parti au dépend de l’autre. • Elle doit être mixte, c’est à dire qu’elle doit dans un premier temps d’écrire les points positifs du produit puis dans un second ses points négatifs, donc être la plus nuancée possible. • Elle ne doit pas être trop longue pour ne pas ennuyer le lecteur. • Elle doit être facile à lire, condensée et claire.
Comment un site peut-il faire pour mettre en avant les "bonnes" critiques • Un site peut se servir des « Star ratings » ( Notation en étoiles) Ceux-ci permettent a l’internaute de se faire une opinion rapidement. • Il peut mettre en avant les critiques provenant des éditeurs ou des critiques littéraires connues pour donner de la crédibilité au produit. • La forme des critiques
Les quatre sites étudiés ont-ils des "communautés de critiques" de même taille ? Par exemple « Da Vinci Code » • Amazon.com: la plus grand taille des “communautés de critiques”- 3423 des avis des internautes • Barnes and Noble: nombre des avis des internautes-1314 • Amazon.fr: 218 • FNAC: 93 avis en ligne
Deuxième partie : présentation de l'article de Chevalier et Mayzlin
La question que se posent Chevalier et Mayzlin • Quel est l’impact du Bouche à Oreille (la critique) sur les ventes d’un livre donné? Les auteurs cherchent à examiner la relation entre la part de marché d’un livre donné et les critiques des consommateurs sur ce livre à travers 2 sites.
En quoi cette question est intéressante? • Elle permet de quantifier la valeur du Bouche à Oreille sur les sites Web et son influence sur le comportement des consommateurs
En quoi cette question est originale? • Combler les lacunes provenant d’études antérieures • Ces études étaient limitées • Car Le B. à O. était un facteur décisif sur la vente de livre au même titre que d’autres facteurs ( qualité du produit, prix…) • => incapacité de déterminer son impact sur les ventes • D’où l’utilité de cette étude qui est d’isoler le B. à O. dans le but de démontrer qu’il est le seul déterminant dans l’impact des ventes sachant que les autres facteurs sont identiques.
Les principaux résultats obtenus Nombre de critiques par Livre:
Pour que notre résultat soit efficace, il faut que l’on démontre que les critiques ont une préférence identique en terme de catégories dans les deux sites:
Comment procèdent-elles pour démontrer ces résultats ? • Collecte des données: • 1 échantillon aléatoire de livres présents sur amazon et B&N, donc on choisit les livres les + récents et ceux qui apparaissent dans la liste des best seller ( se vendent bcp) • Les données comprennent: • Le titre, l’auteur, l’éditeur, la date de parution, le type de format, le prix, le délai de livraison, • le nombre total de critiques ( le nombre d’étoiles, la date, et le commentaire entier)
Relève le classement des ventes (sales rank) des 2 sites. Il reflète le nombre totale des ventes par rapport aux autres sites. Ils sont mis a jour (la fréquence dépend de la position dans le classement)
Avez-vous des critiques à formuler sur ce travail ? • Le bouche à oreille virtuel a certes un impact sur les ventes, mais la meilleure critique reste celle faite par son voisinage (Hors Ligne). On peut plus se fier a elle car le B.a.O sur internet est plus subjectif.