90 likes | 291 Views
Soccer Balls made for Children by Children? Child labor in Pakistan. Les sous-traitants. Point de vue défendu par Lyse Corminboeuf, Nicole Hensch, Jennifer Kuehne et Virginie Meylan. Sialkot, Pakistan. Site ravagé par les guerres indopakistanaises (fuite des entrepreneurs indous).
E N D
Soccer Balls made for Children by Children? Child labor in Pakistan Les sous-traitants Point de vue défendu par Lyse Corminboeuf, Nicole Hensch, Jennifer Kuehne et Virginie Meylan
Sialkot, Pakistan • Site ravagé par les guerres indopakistanaises (fuite des entrepreneurs indous). • Population active majoritairement non qualifiée (fabrication de produits de sports et de tapis, teinturerie de cuire et équipements chirurgicaux). • Fabrication à domicile: ce sont des femmes et des enfants en raison des limitations religieuses.
Origine du scandale • Coupe d’Europe de Football 1996. Plainte des ONG pakistanaises. • Environ 7’000 enfants, âgés entre 5 et 14 ans, travaillaient dans la manufacture de ballons de football.
Mesures prises et limites (1997) • Traité d’Atlanta: accord pour éliminer le travail des enfants dans toute l’industrie du ballon de football au Pakistan. • BIT et le programme IPEC: libération en 18 mois de l’esclavage. • Code de conduite de la FIFA: ne plus utiliser le logo sur des ballons qui violent les principes du droit du travail.
Argumentation • Minimisation des risques liés au travail (ex: entreprises chimiques, prostitution) • Inefficacité du commerce équitable (ex: Talond Sport)
Argumentation (suite) • Différence de culture « Je n’ai pas les moyens de laisser aller ma fille à l’école nous sommes les deux principales sources de revenu de la famille. J’ai quatre enfants plus jeunes à nourrir. » Citation d’une femme pakistanaise. « A l’Ouest, l’emploi d’enfants est vu comme une attitude cruelle et contraire aux droits de l’homme. Dans la société pakistanaise, il est perçu comme un acte volontaire pour aider les parents à subvenir aux besoins. Les enfants sont un substitut de la sécurité sociale. Exiger de mettre un terme du jour au lendemain à leur utilisation revient à nous demander de sauter du dixième étage d’un immeuble. » Musahid Hussain Ministre de l’information et porte-parole du gouvernement pakistanais
Argumentation (suite) • Conséquences nulles des contrôles de Reebok « La plupart des enfants en Asie travaillent dans des échoppes sur le bord des routes à la vue de tous. Je ne conçois donc pas que Reebok ne les voit pas. » Mary Britt Klong, secrétaire générale d’une organisation suédoise contre l’exploitation des enfants en Asie • Pression de Reebok: • Sur la demande • Sur les contrats (court terme) • Sur les coûts
Questions ouvertes • Qui sont les vrais responsables? • L’élimination du travail des enfants améliore-t-elle réellement leur situation?