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Développement de la chirurgie ambulatoire en Haute-Normandie Les actions menées par l’ARH. Les actions de l’ARH. Un cadre national : la réglementation Une stratégie régionale : les SROS II et III Une déclinaison opérationnelle : les CPOM. Le cadre réglementaire (1).
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Développement de la chirurgie ambulatoire en Haute-Normandie Les actions menées par l’ARH
Les actions de l’ARH Un cadre national : la réglementation Une stratégie régionale : les SROS II et III Une déclinaison opérationnelle : les CPOM
Le cadre réglementaire (1) Loi hospitalière de juillet 1991 qui reconnaît la chirurgie ambulatoire comme alternative à l’hospitalisation Décrets du 2 octobre 1992 relatifs aux structures d’alternative à l’hospitalisation (conditions techniques de fonctionnement) Accord tripartite du 26 janvier 1993 portant classification et rémunération des prestations relevant de la chirurgie ambulatoire Mars 1993, début de la procédure de régularisation des structures de chirurgie ambulatoire autorisations
Le cadre réglementaire (2) Décret du 31 mai 1999 permettant la création de places avec un taux de change modulé en contrepartie d’un engagement de substitution SROS III Ordonnance du 4 septembre 2003 : * supprime la carte sanitaire et les taux de change * inscrit le développement de la chirurgie ambulatoire dans les orientations de la chirurgie * fixe le cadre du SROS III et des CPOM de 3ème génération
Le cadre réglementaire (3) T2A : *2004 regroupement au sein de la CM 24 des séjours inférieurs à 48H : un tarif unique *2007 : T2A 100 % pour cinq GHS d’ambulatoires (étab. Publics) *2008 diminution du tarif de l’hospitalisation complète de certains GHS pour le faire converger vers le tarif de l’hospitalisation de courte durée Le contrat Etat / ARH
Des outils à la disposition des établissements La MeaH : mise à disposition d’outils et d’une expertise : chantier sur la chirurgie ambulatoire depuis 2005 * outils d’évaluation * diffusion de bonnes pratiques organisationnelles
Le SROS II : situation initiale (1999) 22 implantations (7 publiques : 58 % et 15 privées 79 %) Au moins une structure publique et une privée dans chaque secteur sanitaire 203 places autorisées (65 publiques et 138 privées) 1/3 des structures sont non conformes Taux d’occupation : public = 40 % ; privé = 90 %
Le SROS II : préconisations Développement capacitaire harmonisé : au moins une structure publique et privée par secteur Fiabilisation du système d’information Individualisation et mise aux normes des structures Fonctionnement en réseau au sein de l’établissement et avec la médecine de ville Les CPOM seront l’outil opérationnel du développement
Le SROS II : le bilan Implantations : + 3 (CRLCC, Aubépines, Fougères) Seuls 3 établissements n’ont pas de structure autorisée Places autorisées : 242 (+ 39, soit 19 %) Places installées : 234.
Le SROS II : le bilan Taux d’occupation des places : 72,5 % (cliniques : 92 %, CH : 37 %, CHU : 32 %) Evolution des volumes (SAE 1999-2002) : + 13,4 % Part de l’activité (SAE 2002) : 31 % (cliniques : 39 %, CH : 21 %, CHU : 8 %) Part de l’activité (PMSI 2003) : 26 % (cliniques : 28 %, public : 21 %)
Le SROS III : les préconisations La chirurgie ambulatoire est définie de façon littérales dans le SROS Le développement de la chirurgie ambulatoire est : * un des axes prioritaires du SROS * un enjeu stratégique pour les établissements dotés d’un plateau technique chirurgical * le développement doit correspondre à une substitution à l’hospitalisation conventionnelle * doit être réalisé dans le cadre de structures dédiées conformes à la réglementation (sécurisation des prises en charge)
Le SROS III : les préconisations Le SROS définit des objectifs chiffrés à atteindre à son échéance * taux globaux cibles par territoire et type d’établissements : - cliniques privées : 40 % - secteur public et PSPH : 25 à 30 % - calculés à partir du PMSI * progression du taux de réalisation pour 11 des 18 gestes marqueurs issus de l’étude CNAMTS : - fourchette : taux plancher / taux plafond
Le SROS III : suivi 2007 Deux autorisations supplémentaires accordées La dynamique sur le développement de la chirurgie ambulatoire est globalement engagée Les établissements ont parfaitement intégré l’intérêt de ce mode de prise en charge
Le SROS III : suivi 2007 Pour les établissements privés, le taux 2007 se situe entre 35 et 40 % et entre 20 et 30 % pour le public La part de l’ambulatoire devrait continuer à s’accroître tant pour le public que le privé Les efforts de promotion devraient se porter vers les patients et les médecins de ville
Les CPOM Déclinaison au niveau de chaque établissement des préconisations du SROS Socle contractuel : axes stratégiques pour l’établissement Annexe «SROS» : objectifs opérationnels Systématisation de la thématique dans les CPOM des établissements concernés En général, formalisation d’un ou plusieurs indicateurs chiffrés de taux à atteindre Bilan 2007 : la mise en œuvre des objectifs était toujours engagée
Les CPOM Bilan de la première année de suivi : * les CPOM ont été un levier fort pour le développement de la chirurgie ambulatoire * une dynamique durable est engagée en Haute-Normandie