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« ( Re )-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les protéger ». Mardi 26 juin 2012. Les milieux aquatiques. Les zones humides. Définition: Selon la loi sur l’eau de 1992:
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« (Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les protéger » Mardi 26 juin 2012 Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les milieux aquatiques Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les zones humides Définition: Selon la loi sur l’eau de 1992: Terrains exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire. La végétation quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année Caractéristiques essentielles minimales: Inondation soutenue, récurrente ou saturation à la surface ou à proximité de celle-ci Présence de caractéristiques physiques, chimiques et biologiques reflétant ce type d’inondation ou de saturation. Les caractéristiques communes du diagnostic des zones humides, sont les sols hydromorphes et la végétation hygrophile Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les zones humides Inventaire des zones humides de la Martinique (2005): Maître d’ouvrage : PNRM / Financement : DEAL et le PNRM. Principales conclusions: Plus de 1200 zones humides cartographiées, surface totale d’environ 2500 ha. Les 3/4 de ces zones humides sont des mares. Mais 80% de la surface est occupée par les mangroves. Un patrimoine varié aux fonctions et aux valeurs multiples indispensables au développement de l’île. Elles sont menacées et il conviendra désormais d’en tenir compte dans les politiques d’aménagement et de protection de la nature. Cf. liste écosystème lundi 25 juin 2012 Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les zones humides Inventaire des zones humides de la Martinique (2005, PNRM): Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Le barrage de la Manzo Maître d’ouvrage: Conseil Général Quand: Construit dans les années 1980 But : pourvoir à l’irrigation des zones agricoles situées dans la partie sud-est de l’île. Comment : Stockage de l’eau en saison des pluies pour la restituer pendant la saison où l’irrigation est nécessaire. Surface de la retenue: 82 ha pour un remplissage moyen, entre Ducos et le François. Capacité totale : 8,1 millions de m3 pour une profondeur maximale de 22 mètres. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Le barrage de la Manzo Alimentation: essentiellement par une dérivation effectuée sur la rivière Lézarde et une faible part par les écoulements du BV. Taille du bassin versant: 155 hectares (plus 82 ha de retenue) Occupation du sol: mixte, mêlant zone d’habitations à densité moyenne, zones agricoles et friches. Pression: Faible et peu d’apports externes en nutriments, azote et phosphore Biologie: présence du Tilapia et de phytoplancton PISE: Périmètre Irrigué du Sud Est Site: INF’EAU du CG, et Etude diagnostique de la qualité de l’eau du barrage de la Manzo, Asconit, 2008 Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les cours d’eau Le réseau hydrographique important et dense : 43 ravines et environ 150 rivières 70 rivières principales, dont 40 pérennes Ils sont relativement courts (environ 33 km pour le plus long) Majoritairement situés au nord avec un régime à dominante torrentielle Ressource essentiellement concentrée sur 7 BV : la Lézarde (116 km²), la Capot (57 km²), le Lorrain (35 km²), le Galion (37 km²), la Rivière Salée (36 km²), la Rivière Pilote (35 km²), la Roxelane (20 km²). Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les cours d’eau Principalement 2 types de cours d’eau Les rivières du nord de type "rivière de montagne" : Taille importante coulant dans les vallées encaissées, Générant un écoulement torrentiel de forte énergie. Les plus importantes: la Capot et la rivière du Galion. Les rivières du sud de type "rivière de plaine et de mangrove" : BV moins allongés et vallées plus large Relief plus doux et pentes plus faibles. Les plus importantes la Rivière Salée et la Rivière Pilote. La rivière Lézarde possède à la fois les caractéristiques des rivières du nord (en amont) et du sud (en aval). Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les cours d’eau En contexte tropical, les régimes hydrologiques sont très variables et sont conditionnés par différents facteurs : Un climat contrasté qui se traduit par une succession de périodes d’étiages, plus ou moins sévères en fonction des années, et de périodes d’écoulements violents ou crues Le relief La nature du sous-sol Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les cours d’eau Agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse Lit mineur : partie de la vallée utilisée en temps normal (en dehors des périodes de grandes eaux) pour l'écoulement des eaux de la rivière ; Lit majeur : zone occupée par les eaux de la rivière au moment des crues. Abrite une faune et une flore très diversifiées ; Espace de liberté (ou espace de mobilité) : l'espace à l'intérieur duquel la rivière entretient des relations directes avec son environnement (transit des sédiments, alimentation d'une zone humide...) ; Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les cours d’eau Les annexes : Ensemble des milieux en relation avec le cours d'eau par des connections souterraines, ou en surface (bras morts, prairies inondables, forêts marécageuses, ripisylves, sources et rivières phréatiques...) ; Nappe alluviale : eau souterraine contenue dans des terrains alluviaux, en général et souvent en relation avec un cours d'eau. (alluvions: dépôts de sédiments charriés par les eaux d’une rivière) Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Notion de bassin versant Définition Territoire dans lequel tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, l’exutoire de ce bassin. Territoire délimité par des frontières naturelles: les lignes de crêtes ou de partage des eaux; Limites géographiques ne tenant pas compte des limites administratives Toute goutte d’eau qui tombe dans cette zone se dirige vers le cours d’eau, puis vers l’aval et son exutoire: la mer. Le bassin versant d’une rivière s’étend de sa source (à l’amont) à son embouchure (à l’aval), incluant tous les affluents (et affluents des affluents) du fleuve, et tous les territoires qui viennent alimenter ces cours d’eau lorsque tombe une goutte de pluie. A l’intérieur d’un grand bassin, un sous bassin peut être défini pour chaque affluent. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Notion de bassin versant http://document.observatoire-environnement.org/eaudocs/Bassin_versant.pdf Deux bassins versants séparés par une ligne de crête topographique appelée la ligne de partage des eaux. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Notion de bassin versant Pourquoi la notion de bassin versant est-elle importante ? Sur ce territoire peuvent exister diverses activités humaines quiont des impacts sur l’eau : quantitatifs (prélèvements) qualitatifs (pollution) La rivière circule de l’amont du bassin vers l’aval donc toute action sur l’eau réalisée en amont du bassin versant peut ainsi avoir un impact sur l’aval du bassin ou sur le littoral: moins d’eau qui arrive à l’exutoire, eau polluée à l’aval, sédimentation, etc. Il peut survenir, à l’inverse, qu’une action en aval ait un impact en amont: en cas de crue, une digue peut freiner l’eau localement et générer des inondations en amont. Ces inter-relationssont souvent à l’origine de conflits entre usagers de l’eau situés sur un même bassin. Le bassin versant constitue le territoire pertinent pour traiter les causes en amont d’un problème lié aux eaux de surfaces et à son exutoire, la mer: déficit d’eau, pollution, migration, dégradation des récifs coralliens, etc… Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivi • Notion de DCE • Directive Cadre européenne sur l’Eau • Objectifs généraux de la DCE : • bon état en 2015 • Principe de réduction ou suppression des rejets de substances prioritaires • Principe de non dégradation • Principe de préservation et restauration Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivi Sur les cours d’eau Les aspects qualitatifs Les réseaux de suivis des cours d’eau à l’échelle du territoire se composent : d’un réseau de sites de références (en amont des pollutions) dont l’objectif est de définir les conditions du bon état écologique des cours d’eau. d’un réseau de contrôle de surveillance dont l’objectif est de fournir une estimation de l’état global des masses d’eau. d’un réseau de contrôle opérationnel, dont l’objectif est de suivre les masses d’eau identifiées comme susceptibles de ne pas atteindre le bon état en 2015 et d’observer leur amélioration. Ces sites seront suivis jusqu’à atteindre le bon état. d’un réseau d’enquête dont l’objectif est d’identifier les sources de pollutions inconnues. d’un réseau additionnel, composé de stations suivies dans un cadre hors DCE mais dont les résultats pourront être intégrés dans l’évaluation de l’état du milieu (réseau pesticides composé de stations de mesure sujettes à une forte pression en produits phytosanitaires, mesures STEP…) Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivi Depuis 2007, l’Office de l’Eau de la Martinique a en charge le suivi de la qualité chimique des réseaux de contrôle de surveillance, de contrôle opérationnel et d’enquête et du réseau pesticides. Jusqu’en 2006, le suivi de la qualité chimique des eaux était réalisé par la DIREN. La DIREN/DEAL a en charge le suivi de la qualité biologique sur tous les types de réseaux des cours d’eau depuis 2006 ainsi que la chimie sur le réseau de référence La DEAL et le CG gèrent les aspects quantitatifs Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivi Sur les cours d’eau Les aspects quantitatifs: suivi hydrométrique Partenariat DEAL et Conseil Général Hauteur d’eau Débit Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Le suivi biologique des cours d’eau Les diatomées (flore): Alguesmicroscopiques unicellulaires Identifiables à la forme de leur squelette Présentes dans les rivières, les lacs, la mer Intéressant pour les gestionnaire des systèmes aquatiques en tant qu’indicateurs de la qualité des eaux : acidité, salinité, niveau et nature des pollutions organiques. Il existe plus de 7 000 espèces de diatomées dans les eaux douces ou saumâtres. Leurs associations et leur diversité reflètent les conditions environnementales. Elles apportent des informations complémentaires parfois plus fiables que les analyses chimiques, trop instantanées. Dans les eaux courantes, elles sont majoritairement fixées sur les substrats durs et les végétaux aquatiques et constituent le phytobenthos. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Le suivi biologique des cours d’eau Les invertébrés (faune): Adultes ou larves de vers, insectes, coléoptères, diptères, mollusques, crustacés etc… Colonisant la surface et les premiers centimètres des sédiments de la rivière et dont la taille est supérieure ou égale à 500 µm (macro-invertébrés). Intéressant pour les gestionnaires des systèmes aquatiques en tant qu’indicateurs de la qualité des eaux : pollution organique et l’altération des habitats physiques, surtout zonation amont-aval. Permet d'évaluer la capacité d'accueil réelle du milieu (aptitude biogène). Maillon essentiel de la chaîne trophique de l'écosystème aquatique intervenant dans le régime alimentaire de la plupart des espèces de poissons (à pondérer en milieu tropical où la majorité des espèces est opportuniste). Ils apportent des informations complémentaires parfois plus fiables que les analyses chimiques, trop instantanées. Présents dans les rivières, les lacs, la mer Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Le suivi biologique des cours d’eau Les poissons et les crustacés Les poissons et les crustacés constituent le sommet de la chaîne alimentaire dans les cours d’eau et la caractérisation des peuplements peut améliorer l’ appréciation sur leurs états de santé Contrairement aux diatomées et aux invertébrés, ils ne servent pas à ce jour de bio-indicateur pour les cours d’eau de Martinique. Présentent des spécificités assez importantes Ichtyofaune: faune rassemblant les poissons Carcinofaune: faune rassemblant les crustacés Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Zoom sur les poissons et les crustacés Composition des peuplements 21 poissons appartenantà 6 ordres, 11 familles 13 espèces de macro-crustacés décapodes appartenant à 4 familles, dont 1 espèce de crabe. Présence d’espèces ayant une grande valeur patrimoniale : Endémisme aux Antilles ou à la région Caraïbe: Xiphocariselongata, Eleotrisperniger, ou encore Guinotiadentata. Prisées pour la consommation : Macrobrachiumcarcinus, Macrobrachiumheterochirus, et les Atyainnocous et scabra, donc sujettes à une raréfaction marquée Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Zoom sur les poissons et les crustacés Cycles de vie et de reproduction Toutes les espèces de poissons et de crustacés des cours d’eau martiniquais sont migratrices: capables à divers degrés de supporter les eaux saumâtres. Elles sont majoritairement diadromes: c’est-à-dire que l’espèce vie alternativement en eau douce et en eau de mer. Différents types de diadromie existent : l’anadromie, la catadromie l’amphidromie. Cette migration de la quasi-totalité des espèces dulçaquicoles de Martinique est une forte originalité du peuplement. Chaque individu possède une origine marine et le succès de sa reproduction est conditionné par sa possibilité ou celle de ses larves de rejoindre le milieu marin, et de celle de retourner vers les habitats favorables dans les cours d’eau. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Zoom sur les poissons et les crustacés Une espèce amphidrome est une espèce dont la reproduction s’effectue en eau douce et qui rejoint l’embouchure ou la mer à l’état de larve pour y subir différentes métamorphoses avant de revenir dans l’eau douce à l’état de juvénile et d’y poursuivre sa vie d’adulte. En Martinique : les crevettes et une partie des poissons Une espèce catadrome est une espèce vivant le plus souvent en eau douce, mais se reproduisant en eau de mer. En Martinique : Anguille, mulet Une espèce anadrome est uneespèce vivant en mer, mais remontant en eau douce pour se reproduire. En Martinique : aucune espèce Migration Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Zoom sur les poissons et les crustacés Le réseau trophique Rivières tropicales insulaires: chaînes alimentaires courtes. Hormis le Sicydiumsp. considéré comme un herbivore strict (brouteur d’algues épilithiques, se développant à la surface des roches), il n’existe pas de carnivores ou herbivores au sens strict du terme (Fievet 1999a). Les autres espèces seraient omnivores avec une tendance soit herbivore soit carnivore. Caractère opportuniste: adaptation aux variations de disponibilité alimentaire principalement liées aux effets de saisonnalité : présence/absence de fruits, importance du débit favorisant la présence de feuilles mortes ou au contraire de matières dérivantes, présence ou non de juvéniles, etc.… Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Zoom sur les poissons et les crustacés Le réseau trophique Régimes alimentaires des espèces dominantes rencontrées dans les rivières de Guadeloupe (Adapté de Coat, 2009) Légende : MOP : Matière organique particulaire, les sources de nourriture minoritaires sont entre parenthèses. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Zoom sur les poissons et les crustacés Zonation altitudinale Trois types de peuplement en relation avec le milieu peuvent être schématiquement décrits : Un peuplement d’amont caractérisé par une richesse spécifique relativement faible et dominé par Sicydiumsp. et Atyainnocous Un peuplement d’aval caractérisé par une richesse spécifique élevée et des espèces propres comme Eleotrisperniger, Gobiesoxsp, etc… Un peuplement des rivières de plaine dont les espèces caractéristiques sont Tilapia spet M. acanthurus Aval: principalement poissons Amont: principalement crustacés. Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivis Sur les eaux souterraines: Suivi qualitatif: réseau « chimie » Maîtrise d’ouvrage : ODE/BRGM Maître d’œuvre : BRGM Contrôle de surveillance : 18 sites / 2 fois par an Image cohérente et globale de l’état chimique des eaux Détecter la présence de tendances liées aux pollutions anthropiques Contrôle opérationnel : 18 sites / 2 fois par an (phyto) + 2 sites / 12 fois par an appliqué aux masses d’eau pour lesquelles un RNABE 2015 a été identifié suivre l’évolution des paramètres responsables de ce risque détecter l’effet des pression Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivis Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivis • Sur les eaux souterraines: • Suivi quantitatif : Réseau piézométrique • Maîtrise d’ouvrage : ONEMA (DEAL) /BRGM • Maître d’œuvre : BRGM • Contrôle de surveillance : • 29 sites / 1 fois par jour • surveillance du niveau des nappes • Niveau d’eau enregistré toutes les heures Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants
Les réseaux de suivis • Sur les eaux souterraines: • Pas de problématique actuellement avec les aspects quantitatifs • Attention à la mise en exploitation des nappes : • Biseau salé • Interaction nappe/rivière • Assurer un équilibre entre les captages et le renouvellement des eaux souterraines • Une 20aine de molécules régulièrement détectées • La plupart des produits phytosanitaires retrouvés sont interdits • Molécules les plus fréquentes : chlordécone, dieldrine et beta HCH • Problématique Glyphosate/AMPA • Aucune tendance mise en évidence à l’heure actuelle • Problématique Nitrates Formation "(Re)-découvrez les espaces naturels de la Martinique pour mieux les préserver" du 25 au 29 juin 2012 Marion Labeille – Asconit Consultants