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Donner la vie et élever, Aider à vivre sans s’approprier, Œuvrer sans rien attendre,

De Gabriel, j’ai appris deux choses : Quand je m’ennuie, c’est signe que je ne suis pas sur mon chemin. C’est un avertissement à changer. Quand ma route est dure et difficile, quand les autres ne comprennent pas où je vais ni pourquoi j’y vais, ça ne veut pas dire que je me trompe

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Donner la vie et élever, Aider à vivre sans s’approprier, Œuvrer sans rien attendre,

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Presentation Transcript


  1. De Gabriel, j’ai appris deux choses : Quand je m’ennuie, c’est signe que je ne suis pas sur mon chemin. C’est un avertissement à changer. Quand ma route est dure et difficile, quand les autres ne comprennent pas où je vais ni pourquoi j’y vais, ça ne veut pas dire que je me trompe Anne Levy-Morelle («Le rêve de Gabriel») Chaque être humain (chaque homme) a le droit de s’auto-créer, étant donné qu’il est capable de créer sa propre interprétation du monde, son propre monde et de cette manière, de ne pas laisser le monde tel qu’il est. Marcel Conche There are only two important things to know : what you’re good at and what you want to do. And if god smiles on you, they will be the same. Unknown Donner la vie et élever, Aider à vivre sans s’approprier, Œuvrer sans rien attendre, Guider sans dominer, Voilà la vertu intime Lao Tseu If I had to live my life over again, I would have made a rule to read some poetry and listen to some music at least once every week . . . The loss of these tastes is a loss of happiness, and may possibly be injurious to the intellect, and more probably to the moral character, by enfeebling the emotional part of our nature. Charles Darwin To make knowledge work productive will be the great management task of this century, just as to make manual work productive was the great management task of the last century Peter Drucker The greatest discovery of my generation is that a human being can alter his life by altering his attitudes of mind. Act as if what you do makes a difference. It does. William James Une des caractéristiques les plus marquantes des temps modernes est la confusion qui existe entre ce que les anciens appelaient la « vie bonne » et la réussite sociale, entre la sagesse authentique et la culture de performance. Luc Ferry Certes, le Temps éternel a raison de toutes choses finies. Ce qui vaut – la méditation, la prière, l’amour, l’effort – est condanné à être effacé, annulé, aussi inexorablement que ce qui ne vaut rien, mais la différence de valeur n’en existe pas moins, et la sagesse tragique consiste à vouloir accroître cette différence, malgré le néant. Marcel Conche Par l’espace, l’univers me comprend et m’engloutit comme un point ; par la pensée, je le comprends. Blaise Pascal Voir un Monde dans un Grain de sable Un Ciel dans une Fleur sauvage Tenir l’Infini dans la paume de la main Et l’Eternité dans une heure.  William Blake «S’envoler» chaque jour. Au moins pour un moment, qui peut être bref, pour autant qu’il soit intense. Un «exercice spirituel» chaque jour – seul ou en companie d’une personne qui désire également devenir meilleure. Cet effort sur soi est nécessaire ; cette ambition est juste. Nombreux sont ceux qui sont totalement absorbés par la politique militante et la préparation de la révolution sociale. Peu nombreux, très peu nombreux, sont ceux qui, afin de se préparer pour la révolution, sont prêts à s’en rendre digne. Georges Friedmann

  2. J’entends J’entends (Aragon) J’en ai tant vu qui s’en allèrent Ils ne demandaient que du feu Ils se contentaient de si peu Ils avaient si peu de colère J’entends leurs pas j’entends leurs voix Qui disent des choses banales Comme on en dit le soir chez soi Ce qu’on fait de vous homme femmes O pierre tendre tôt usée Et vos apparences brisées Vous regarder m’arrache l’âme Les choses vont comme elles vont De temps en temps la terre tremble Le malheur au malheur ressemble Il est profond profond profond Vous voudriez au ciel bleu croire Je le connais ce sentiment J’y crois aussi moi par moment Comme l’alouette au miroir J’y crois parfois je vous l’avoue A n’en pas croire mes oreilles Ah je suis bien votre pareil Ah je suis bien pareil à vous A vous comme les grains de sable Comme le sang toujours versé Comme les doigts toujours blessés Ah je suis bien votre semblable J’aurais tant voulu vous aider Vous qui semblez autres moi-même Mais les mots qu’au vent noir je sème Qui sait si vous les entendez Tout se perd et rien ne vous touche Ni mes paroles ni mes mains Et vous passez votre chemin Sans savoir ce que dit ma bouche Votre enfer est pourtant le mien Nous vivons sous le même règne Et lorsque vous saignez je saigne Et je meurs dans vos même liens Quelle heure et-il quel temps fait-il J’aurais tant aimé cependant Gagner pour vous pour moi perdant Avoir été peut-être utile C’est un rêve modeste et fou Il aurait mieux valu le taire Vous me mettrez avec en terre Comme une étoile au fond d’un trou Si… (Kipling) Si tu peux supporter de voir détruire l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir Ou perdre en un seul coup le gain de cents parties Sans un geste et sans un soupir Si tu peux être amant Sans être fou d’amour Si tu peux être fort Sans cesser d’être tendre Et te sentant haï Sans haïr à ton tour Pourtant lutter et te défendre Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux Pour exiter des sots Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans jamais mentir toi-même d’un mot Si tu peux rester digne en étant populaire Si tu peux rester peuple En conseillant les rois Si tu peux aimer touts tes amis en frêre Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi Si tu sais observer, méditer et connaître Sans jamais devenir sceptique ou destructeur Rêver mais sans laisser ton rêve être ton maître Penser sans n’être qu’un penseur Si tu peux être dur Sans jamais être en rage Si tu peux être brave et jamais imprudent Si tu peux être bon Si tu peux être sage Sans être moral ni pédant Si tu peux rencontrer triomphe après défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront Alors les rois, les dieux, la chance et la victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis Et ce qui vaut bien mieux que les rois et la gloire Tu seras un homme mon fils Tu es plus belle que le ciel et la mer (Cendrars) Quand tu aimes il faut partirQuitte ta femme quitte ton enfantQuitte ton ami quitte ton amieQuitte ton amante quitte ton amantQuand tu aimes il faut partir Le monde est plein de nègres et de négressesDes femmes des hommes des hommes des femmesRegarde les beaux magasinsCe fiacre cet homme cette femme ce fiacreEt toutes les belles marchandisesII y a l'air il y a le ventLes montagnes l'eau le ciel la terreLes enfants les animauxLes plantes et le charbon de terreApprends à vendre à acheter à revendreDonne prends donne prendsQuand tu aimes il faut savoirChanter courir manger boireSifflerEt apprendre à travaillerQuand tu aimes il faut partirNe larmoie pas en souriantNe te niche pas entre deux seinsRespire marche pars va-t'enJe prends mon bain et je regardeJe vois la bouche que je connaisLa main la jambe l'œilJe prends mon bain et je regardeLe monde entier est toujours làLa vie pleine de choses surprenantesJe sors de la pharmacieJe descends juste de la basculeJe pèse mes 80 kilosJe t'aime Odes maritimes – extraits (Pessoa) Pour arriver ensemble, enfin, en des ports extraordinaires ! Sentir au large se transformer notre humanité ! Boire ensemble en des mers du Sud De nouvelles sauvageries, de nouvelles rébellions de l'âme, De nouveaux feux centraux dans nos esprits volcaniques ! Pour se dépouiller ensemble, - allez, ouste ! - De nos costumes civilisés, de nos moeurs adoucies, De notre peur innée des prisons, De notre vie assise, statique, réglée et corrigée !

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