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Une tartine d’évolution. Vincent Bonhomme Institut Français de Pondichéry. Plume!. Kézaco l’évolution ?. Évolution = Modification du vivant au cours du temps & Une logique pour le vivant. Qu’est-ce que le vivant ?. Le vivant se caractérise par : Un métabolisme
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Une tartine d’évolution Vincent Bonhomme InstitutFrançais de Pondichéry Plume!
Kézaco l’évolution ? Évolution = Modification du vivant au cours du temps & Une logique pour le vivant
Qu’est-ceque le vivant ? Le vivant se caractérise par : Un métabolisme La reproduction Un fonctionnementhéritable et modifiable Autrement dit tout ce qui utilise des ressources au sein d’un environnement et qui fait des descendants qui lui ressemblent.
Pourquoi Darwin est-il une superstar ?
Charles Darwin (1809-1859-1892) Le papa de l’évolution
Contextescientifique et historique Darwin naît dans une famille anglicane au début du XIXe où l’Eglise verrouille largement les explications naturalistes : Les biologistes sont ~unanimement convaincus du fixisme d’une Nature bien faite ou d’un transformisme transcendant ; L’être humain est d’essence divine et à son Règne bien à l’écart des plantes et des (autres) animaux.
Le génie = 1% de d’inspiration, 99% de travail – John Dryden Darwin devient biologiste. Il embarque sur le Beagle où il embrasse la biodiversité mondiale, notamment insulaire. Il y constate en filigrane d’une proximité géographique, une correspondance des adaptations locales avec des environnements contrastés. Il lit Malthus, constate l’hérédité, entretient des relations étroites avec des géologues, des fondus de fossiles, des éleveurs de pigeons [...]. Il perd la foi suite au décès de sa fille. Et prépare pendant 20 ans l’Origine des Espèces, publié avec fracas en 1859.
Darwin superstar « Comme il naît plus d'individus de chaque espèce qu'il n'en peut survivre, il se produit une lutte pour la vie. Dans un environnement donné, les organismes qui varient d'une manière qui leur est profitable, auront une meilleure chance de survivre et se retrouveront naturellement choisis. » Adapté de l’Origine des Espèces.
Une tartine d’évolution Puisque : Il existe une variation entre individus d’une même espèce ; Que ces variations sont héritables ; Que ces différences sont responsables d’une +/- bonne survie et/ou reproduction. Alors, l’environnement sélectionne les individus les mieux adaptés. C’est la sélection naturelle.
Pas besoin de compétition ! 2.1 descendants / gen° 2.0 descendants / gen° 2.1n / (2.1n + 2.0n)
Qui était là en premier, la poule ou l’oeuf ?
Les avatars du gène Reproduction Réplication • Ce qui est reproduit, hérité et pérenne c’est l’information nécessaire pour faire un nouveau réplicateur a vie courte. • Les poules sont des avatars inventés par les oeufs pour faire d’autres oeufs. Phénotype Expression Génotype Message Développement Décodage
L’ADN, support de l’informationgénétique (i) Comment est stockée l’information génétique ? Une molécule chimique : l’ADN Alphabet de 4 lettres : { A, T, C, G } A-T et C-G sont complémentaires ; les deux brins contiennent donc le même message. Comment s’exprime cette information ? 4800 paires de bases La présence d’un sucre, le lactose, induit la synthèse de protéines qui permettent de métaboliser le lactose. Nobel de Jacob & Monod 1965
L’ADN, support de l’informationgénétique (ii) Comment est modifiée l’information génétique ? • Erreurs de copie • Agent chimique • Agent physique (amiante, rayons Uvs, etc.) 1. Les mutations modifient au hasard l’information génétique. Quelles conséquences pour l’individu et la population ? 2. La plupart du temps les mutations sont délétères/silencieuses. Parfois avantageuses. 3. La variabilité génétique ( = le potentiel d’adaptation), est donc créée au hasard.
Pour dire quatrefois la même chose • L’évolution est plutôt une compétition entre mutations qu’une compétition entre individus. • L’environnement trie des mutations créées au hasard. • L’évolution mélange donc des processus déterministes (sélection naturelle) et aléatoires (mutations). • La mutation propose, la sélection dispose.
La mutation propose, la sélection dispose… Et la dérive s’interpose.
L’évolution au hasard de la dérive (i) Population d’origine Population fondatrice Le hasard est une force évolutive à part entière
L’évolution au hasard de la dérive (ii) 10 individus 100 individus Les petites populations favorisent la dérive plutôt que la sélection naturelle. Mais à long terme, même les grandes populations fixent des mutations neutres…
Micro / Macroévolution Gorteria (Asteraceae). Johnson & Midgley 1997 - Ellis & Johnson 2009
L’Origine des Espèces “Amour libre” “Chacun sa vie” “Les retrouvailles ratées” Tous les individus peuvent échanger du matériel génétique. Ils forment une espèce. A force d’accumuler les populations de part et d’autre de la faille ne peuvent plus se reproduire. Les populations sont devenues espèces. Ici, la faille isole deux populations. Sans séparation physique, il suffit qu’il y ait une préférence dans le choix d’accouplement.
Une spéciation Les arbres phylogénétiques permettent de visualiser les relations de “parenté” entre espèces. macroévolution 2 espèces microévolution 1 espèce, 2 populations. temps 1 espèce, 1 population.
Comment reconstruit-on les liens entre espèces ?
Phylogénie 101 (i) Selon ces critères: (Belette ; Gazelle) sont les plus similaires. La Rainette ressemble plus à (Belette ; Gazelle) qu’aux autres. Le Requin ressemble plus à (Rainette ; (Belette ; Gazelle)) qu’à la Méduse. Soit : ((((Belette – Gazelle ) – Rainette ) – Requin ) – Méduse ) On pourrait aussi (faire mieux) compter les différences entre ADNs.
Phylogénie 101 (ii) Belette Gazelle Rainette Requin Méduse Méduse Requin Rainette Belette Gazelle ((((Belette – Gazelle ) – Rainette ) – Requin ) – Méduse ) Deux arbres d’apparences différentes, mais aux relations de parenté identiques. On peut démontrer avec la phylogénie que nous avons un ancêtre commun avec le Champignon de Paris, “avant” d’en avoir un avec la Fraise des Bois.
Portrait de famille (i) Orang-Outang Humain Chimpanzé Gorille Réponse rhétorico-frustrante: “Singe” désigne l’ensemble des organismes qui partagent des caractéristiques communes (), pas une espèce. De la même façon, “Oiseau” désigne l’ensemble des bipèdes sans poils, pas l’Autruche, l’Hirondelle ou le Colibri.
Portrait de famille (ii) Orang-Outang Humain Chimpanzé Gorille Réponse biologie évolutive : Nous ne descendons pas autres singes mais partageons un ancêtre commun. Le cousin le plus proche du Chimpanzé, c’est Nous. L’Orang-Outang n’est pas plus proche du Gorille que de Nous. Personne n’est plus évolué qu’un autre.
Sommes-nous si différents les uns des autres ?
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Un millionième de mon génome
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Différences moyennes entre deux êtres humains (~0,5%)
TTTCCCTCGAGTGGTAGGGCGGTGAGCGGCCGATAGTGACGCATGAAATGTTCAAACGGTAATCAATTAAGGTTGCAGTTCATGGTAGTGACATGAATTGCATTAACCGTATGAGAGGTTATGTTGCCATTATTAACTACTAATCGACTGCATTATCACGGACAGTTCCTAAGGCACACCGTGGATGTTACGGTGAGGTACCCACTTCCCCGGAGTACACCGCGTCCACCGCGAAGGCCTTAGAAGCGCCGGCGAAAAACGGCATGTTTATTACATTGCCCGAGAAGTCTAATCATAGATTCGTATATTGATCATGGGTTTCGGTGACCTAGGGCGGGTGACGTTCATCTAAGGTCCGTTGTGCCGTGACCGAGCAGCGATACGGAACCATGGCGTCGTAACCTTGATTGAAGCGGTCACATGTACATGTTTCATTGAACTGAGTACCACTTTTAGAGCGTCACGTCGGCTGTATTTCCCAAGTGTGGGAACCCGCCGCGAATGCACCCTCCTGGATACTGCGATACGAAGGGTAAAGGGCTGTAAGACCCGACTCTTCTTAACAATCGGTATGGACCATGGTGCCGCGGATCCCCATAACTAATAGCCAGGGGTTGTCCCATCTATAATTCTCGCGAGATTACATGTGGCAGTACGTAGAAACTGCCGTGAGAGAACCTATGCACTGCGCGCGTGGGCATGACACCTCTCTATTATAGTTACAGACGTTTCGGGCCTCATGTGACCCTGTCCTAAGAGGACCCTCATACACATCGGGATTACTCGCTCACGGGTGGGCAGATCTCCGATAATCAAAAGCGGCGGCGATGTCTTGAAGTACGGCGTTTATGCTATCAGCGTCCGACAGTTACATCGTTTGGCGCGAAAACCGGGCGCTTCTGAGGTTGGAAGGTCCTAGTTCCATTGCGCTGCGGCGTCATAGAGGACGCTATCTAGTGGTGTACTCATTGTCACAACTCGAACTTTCGTATTGATGCTAGATCAGTTCTCTACACGCTGAATCTAGTGACCTTCTCCATTATCGTGCCGGGCACTCGGATGCCGGCCTGGTTTTTTAGACGGCCTAGGATGTTGAGCTTGCAGCCAAATGCGACTGTGTCTGCTTCTGCTTTCAGCAGTTGGGGTCTCCATGGTTCCGGTGGAGCACAGCCATGGGGTGCAAGGCCGCGCGGACAGACCCTAAGATGAGGGCTACGCCTGCCTCTTGGTGGTCACTTTCGAAGTTGTTAGCTCAGTCGCGAAGAACCAATGCTGCTCAGCCCGCTGTAGATAATGGCTAGGTACAAATACCGATTTAGTCAAATCAAAGAACGTACTAGAAAGCGCCGAAAGGATAAGAACTACGGTGGACCGAAAATGCGGACACAATTCAGGGCCTCAGGGGATTAGTTGGGAAGATGAGCTTGGCAGTACCCTAGTTGGCTGTCTATACATCGTTGGAGCTCGGTGCCCTTATTAACGGCCTGTAACTGCTTTTCCCTAAGCAAGGGTTTCTCTTATGTTGATTCGGACTATGAACCAGCGTTGGCTACCTTTAAGGGTTAGGTGCCTTGTATTGACGTCCGCAGCATGGACTCAGAACCGCGTCCGTAGTCCCGATAGTGTGTAGTGAAGCCTGGAGGCAGCATATATGTATACCGTTTGCGATTGCAGCAATTTAGAGGATTAAATTTTGATAATCGCTCGCTTGCACTTTTAATCGAATAGGCTGCTATCCTTAGGCTCAAATTATTGGTATGCCCTGTGAATACCTGGGCGATCACATAAGTGACAGTAGCTCATTGATATACGTTGAATTCTGGGAAAAGGTAGGAAATTTCTCCGCATTAATGTCGCCAGCAATCTGACGAAGGAGGTAAAGATTGACGGACGGTCGAAGATGCCGCAGAGGACTATATGGACCGAGAGAAGTGCTGGATGGTCGGCACGAGGCTGACGGCGATCCGCATATTATGATCCCACTGTTCCGATGGCCTTAGGTCAGCTTTGCTACCATCCGTCATCATTCCAGGTGCGGTGGATTGTCTCACTCACGTTCATTTCGGTTTCGTGCCTGGTAGTAGTCTCAGATCGCACTCATGGGACCGCACGCTTGTCTTGGGGCAGGGGCGTGGACAATTCTCGGGCGGAGGTATTCGCGGAGGCGATTCCCCCGGATGCTGTTCAGGAACTCCTGTAGCAATGTTACTTTCGTGGCGCCCGGCGTATGCGTGGCAAGTACAAAGGCGTGGATCGAGGGTTTCCAGCCTCACTAAGACACGTTAATACGTAAATCATTTGACGCGAGTCCTACCGTAAGGTTGAATGATAGATGATACCTTTTTTGATAGGGAAGCTACTCTTGTGCTACAAATAACCCGACATCTGCAGAGATTCGGGCGCGCTCTACCTCACACGTGATTTATCGAAAATTAGGTTCCTAGTCCAGTCGCGTCTCCTTTTACTGCTTGCTTTCTTGCTCACGTTGGTTTCCCTCGCATACCATCAGGGGTAGCTGCTCTAGCACACCCGCAAACCCGTAACATGTCTTAGTGGATGAGATTTTCTCAAGAAGGTCTGCGATGCAGTACGTTCATGTGAGTAAGAGCAAGGCCGGCCTCAGGTATCGCACCGGCAGATCGATGTCGACGAGCAGACCCTTACCTTAGAGGGGCTAAAATTTAGGGGAGGGATTTTTGCGCGGGCAACGGAGCCCGGGAGGGCATGTCTACGATTCCGATCCAAACCGGTAGATCCAACGATGTGTAGGATCTTCGGTTTAGGGACCCTAGGCGGTTACCCATCCCTCCATGCGGACGGAATCCTACGTCTCCAGAACTTTAACCTCTCTGATCTACTTACTTCGATAGAATAGCCTAGGTATTCGCGAGTATCGATACTGTGATTTTAATTAGCATGGTGTACTGCAACTAAGGCGCGGGAGACGGGCGACATAAGTAAGACTCTTCGCCCCATCTCGTCGTGTTGCAGCTTACCTTCACTGCATCCATACAAAGAGGGTCAATTCACGATTTAGTCAGTCTTAATTTGCCGTTTTGCGCAGCACACAATCCGCACCTGATGAGTGCCCAAGAGGATGCAATATCGATCCTAGCGTCGAAAAATATCCCATTCATACCACACCGAACGGGTGACCCAGACTTGAAGTTCCTGAAGTAGAAATTCACATCCGAGCATCTTTATGTACTTATTCCCAAGCGAGGGGCGCGGTGCCGCCACCCGACAAGAGGCCGCCGAGTGAAGACCTTTAATATACTAGTTACATTTGTCGCGATATGGTCAGATAACGTTTTTCTTTGCAAACAGTGATTTACGGGACCCGACAACTATGAAGATGACGGTTGACCTACTAGGGCAATCAAGCCAATCGCTAGTACATTGTTAGTCGATGGAGATGACAGCTTCAGCGGTTCCCACCACGCTGACCGTTCAGCTTTTTGAGGGGTGCCTAGCTCCGCCCCCGTTGAAGCGATCTTGGGGGCTAATCCATGCAGAAGACCTGGAACCTGTAAAGCTTGAGTCTCGCCTTCCTCCGTTAGACGTGACATTTTGGTCCAAATGACAAAGCCTCCGGGGTACGGACTGTTATAGTGGTACAACTGTCTTTTCCCTCGAGTGGTAGGGCGGTGAGCGGCCGATAGTGACGCATGAAATGTTCAAACGGTAATCAATTAAGGTTGCAGTTCATGGTAGTGACATGAATTGCATTAACCGTATGAGAGGTTATGTTGCCATTATTAACTACTAATCGACTGCATTATCACGGACAGTTCCTAAGGCACACCGTGGATGTTACGGTGAGGTACCCACTTCCCCGGAGTACACCGCGTCCACCGCGAAGGCCTTAGAAGCGCCGGCGAAAAACGGCATGTTTATTACATTGCCCGAGAAGTCTAATCATAGATTCGTATATTGATCATGGGTTTCGGTGACCTAGGGCGGGTGACGTTCATCTAAGGTCCGTTGTGCCGTGACCGAGCAGCGATACGGAACCATGGCGTCGTAACCTTGATTGAAGCGGTCACATGTACATGTTTCATTGAACTGAGTACCACTTTTAGAGCGTCACGTCGGCTGTATTTCCCAAGTGTGGGAACCCGCCGCGAATGCACCCTCCTGGATACTGCGATACGAAGGGTAAAGGGCTGTAAGACCCGACTCTTCTTAACAATCGGTATGGACCATGGTGCCGCGGATCCCCATAACTAATAGCCAGGGGTTGTCCCATCTATAATTCTCGCGAGATTACATGTGGCAGTACGTAGAAACTGCCGTGAGAGAACCTATGCACTGCGCGCGTGGGCATGACACCTCTCTATTATAGTTACAGACGTTTCGGGCCTCATGTGACCCTGTCCTAAGAGGACCCTCATACACATCGGGATTACTCGCTCACGGGTGGGCAGATCTCCGATAATCAAAAGCGGCGGCGATGTCTTGAAGTACGGCGTTTATGCTATCAGCGTCCGACAGTTACATCGTTTGGCGCGAAAACCGGGCGCTTCTGAGGTTGGAAGGTCCTAGTTCCATTGCGCTGCGGCGTCATAGAGGACGCTATCTAGTGGTGTACTCATTGTCACAACTCGAACTTTCGTATTGATGCTAGATCAGTTCTCTACACGCTGAATCTAGTGACCTTCTCCATTATCGTGCCGGGCACTCGGATGCCGGCCTGGTTTTTTAGACGGCCTAGGATGTTGAGCTTGCAGCCAAATGCGACTGTGTCTGCTTCTGCTTTCAGCAGTTGGGGTCTCCATGGTTCCGGTGGAGCACAGCCATGGGGTGCAAGGCCGCGCGGACAGACCCTAAGATGAGGGCTACGCCTGCCTCTTGGTGGTCACTTTCGAAGTTGTTAGCTCAGTCGCGAAGAACCAATGCTGCTCAGCCCGCTGTAGATAATGGCTAGGTACAAATACCGATTTAGTCAAATCAAAGAACGTACTAGAAAGCGCCGAAAGGATAAGAACTACGGTGGACCG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Différences moyennes entre un homme et un chimpanzé (~2,5%)
Pourquoi le sexe c’est bien ?
Parceque le mélange c’estbien ! (i) Le sexe, c’est de la recombinaison de variations génétiques. Les lapins tachés de marron n’existaient pas avant le sexe à la génération 0.
Parceque le mélange c’estbien ! (ii) * * * * * * * Et c’est toutes les variations qui sont remélangées. Les lapins blancs tâchés de marron n’ont ainsi pas à “attendre” la mutation “yeux bleus”.
Pourquoi le paon a-t-il l’air d’un crétin ?
La sélectionsexuelle • Il estmachiste et partiellement faux de dire àunePaonnequesescouleursternessontsélectionnées pour permettre de couverdiscrètement. • Il estméchantmaisvrai de rappellerà un Paonque • cetteparure de dragueurest un sérieux handicap au quotidien ! • Un handicap pour la survieestsélectionnétantqu’ilest plus petit quel’avantagereproductifqu’ilconfèreà son porteur.
Versl’anisogamie Àinvestissementégal, deuxstratégiesopposéesmais qui se valent : Faire moins de gamètesmais plus gros ; Faire plus de gamètesmais plus petits. + - isogamie Si la fécondation est interne, un conflit apparaît : Pour une femelle, choisir le(s) meilleur(s) mâle(s) ; Pour un mâle, féconder le maximum de femelles puisqu’il n’est là que pour la conception. Ce conflit est aggravé dans les cas de viviparité ; Ce conflit est encore aggravé dans les cas où les jeunes nécessitent des soins parentaux. ♀ ♂ anisogamie
Pourquoi les lièvres ne courent-ils pas à la vitesse du son ?
Pourquoi les lièvres ne courent pas à la vitesse du son ? • 1. Physiologiquement, parceque les coûtsmétaboliques • ne sont pas linéaires ; • 2. Evolutivement, parcequ’unavantagesélectif • est par nature relatif (àl’autrelièvre et au loup) ; • Les contraintessontaussid’ordre • developpementales et phylogénétiques.
Sélectionartificielle et domestication Généralement, l’humain détruit la biodiversité. Mais de temps en temps, il en crée.