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LE PROGRAMME DE MESURES EN VALLEES D’OISE. Commission Géographique des Vallées d’Oise - 1er mars 2007. Rappel du contexte (1). 2000 : Publication de la Directive Cadre sur l’Eau 2004 : Finalisation de l’état des lieux Depuis 2005 : Elaboration de trois documents en parallèle
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LE PROGRAMME DE MESURES EN VALLEES D’OISE Commission Géographique des Vallées d’Oise - 1er mars 2007
Rappel du contexte (1) • 2000 : Publication de la Directive Cadre sur l’Eau • 2004 : Finalisation de l’état des lieux • Depuis 2005 : Elaboration de trois documents en parallèle • 9ème programme AESN • SDAGE – document cadre réglementaire • Programme de mesures – actions à mettre en place • Une présentation régulière de l’avancement des travaux pour avis à la comission géographique
Rappel du contexte (2) • Depuis 2005 : amplification de l’effort de concertation avec mise en place de Secrétariats techniques locaux préparant les commission géographiques • 2005 : • 3 STL départementaux pour un pré-programme de mesures • -> Com. Géo. 9 décembre 2005 • 2006 : • 4 STL pour identification des priorités du 9ème programme • -> présentation Com. Géo. 16 juin 2006 • 2 STL pour élaboration des programmes de mesures et identification des objectifs par masse d’eau -> présentation Com. Géo. 1er mars 2007 • une demande d’avis sur les objectifs de résultats par masse d ’eau proposés au comité de bassin
PRINCIPES DE L’IDENTIFICATION ET DU DIMENSIONNEMENT DES MESURES
Méthodologie du dimensionnement • Une analyse technique avec identification des actions jugées nécessaires (limitation des rejets ponctuels, morphologie, occupation du sol et ressource) • Dimensionnement et chiffrage des actions • Identification de scénarios déclinables par masse d’eau • Analyse de la faisabilité technico-économique • => Proposition d’objectifs par masse d’eau
Limitation des rejets :Amélioration de la qualité physico-chimique 1- Prise en compte de l’évolution du territoire • application des réglementations existantes, tendances,… • rejets concernés : industries, collectivités, élevage 2- Une analyse en deux temps • Analyse au niveau de chaque rejet • Bilan à l’échelle de la masse d’eau 3- Une identification des travaux complémentaires à réaliser
Démarche Ailette Arré Fournelle Aire Remettre la bonne carte
Limitation des rejets :Amélioration de la qualité physico-chimique • Un travail complémentaire mené sur les activités artisanales • Des éléments encore attendus pour les substances prioritaires - interprétation des campagnes de mesures
Morphologie : Amélioration du fonctionnement des cours d ’eau (dynamique et état biologique) • Identification des actions nécessaires sur les rivières - poursuite des travaux de priorisation menés pour le 9ème programme : • Réhabilitation des habitats et du fonctionnement du cours d’eau • Restauration - création de frayères • Amélioration de la franchissabilité • Étude spécifique des Masses d’Eau Fortement Modifiées – étude du montant du bon état – usages spécifiques • Zones humides
Occupation du sol et ressource en eau Une réflexion menée par enjeu : - Eau souterraine • Pollution diffuse par les nitrates • Pollution diffuse par les phytosanitaires - Eau surface • Pollution ponctuelle par les phytosanitaires • Pollution diffuse par les phytosanitaires • Pollution ponctuelle par les élevages • Erosion et ruissellement
Occupation du sol et ressource en eau Niveau 1 : Des actions sur tout le territoire • Encouragement fertilisation raisonnée • Résorption des pollutions ponctuelles phytosanitaires • Animation pour protection intégrée • Animation pour agriculture biologique • Incitation aux techniques alternatives domaine non agricole Niveau 2 : Des actions sur des zones spécifiques • Couverture des sols en hiver • Mise en place de zones • sans apports chimiques (zones de dilution) • Bandes enherbées au-delà de la conditionnalité • Lutte contre le ruissellement Scénarios d’engagement différenciés Souterrain :Captages, zones fragiles, masses d’eau dégradées Surface : masses d’eau dégradées
Le cadre du choix des objectifs (1) Les besoins d’une argumentationdes objectifs auprès de la Commission européenne • La nécessité d’une non-dégradation • La nécessité de la réduction des coûts de traitement « Eau Potable » • Une justification technico-économique • - Des critères de reports de délais : • Faisabilité technique, Conditions naturelles, • Disproportions économiques
Le cadre du choix des objectifs (2) Identification d’un scénario de référence pour répondre aux besoins de justification Une analyse différenciée de l ’ampleur des scénariosentre souterrain et superficiel Chaque scénario est un « modèle » d ’aménagement du territoire permettant d ’identifier si l ’objectif est réalisable : ce n ’est pas une étude fine de chaque masse d’eau
Nappes ne subissant pas de problème de pollution Besoin d’action au niveau des captages -> Bon état escompté
Nappes subissant un problème de pollution partiel Besoin d’action « pesticides » au niveau des captages karstique Besoin d’action « nitrates » au niveau des captages -> Bon état dépendant du taux d’engagement report de délais
Nappes subissant un problème de pollution sur les deux paramètres -> Bon état dépendant du taux d’engagement report de délais
Principales tendances pour les eaux de surface • Des secteurs sans problèmes avérés où une grande part des travaux est déjà envisagée - Des secteurs où des actions importantessont nécessaires mais gérables (morphologie, phytosanitaires, rejets collectivités et industriels) - Des secteurs où les actions « technico-économiquement faisables » ne permettent pas l’atteinte du bon état
Identification de scénarios Choix d’un scénario par masse d’eau en fonction du risque Secteurs où le bon état n’est pas envisageable : => choix du scénario renforcé
Oise Thérain Ton Arré Cousances Ailette amont Aisne Suippes Auve, Aisne Biesme
Examen des possibilités financières - critères 1- Rythme de dépense global – 120% 2 – Niveau de dépense pour la période 2007-2015 par habitant – 1000 € par exploitant – 30 000 €
Examen des possibilités financières - résultats 1- Rythme de dépense global <120 % 16 masses d’eau 2 - Rythme de dépense global > 120 % • 27 masses d’eau sans dépenses excessives par habitant ou exploitation • 6 masses d’eauavec une dépense excessive par exploitationmais probablement surestimée • 18 masses d’eau qui ont nécessité une analyse plus fine • - 12 masses d’eau où le scénario est jugé faisable • - 6 masses d’eau nécessiteront une dérogation de • délai pour disproportion économique
Le cas des Masses d’Eau Fortement Modifiées (MEFM) - MEFM évidente (navigation) - MEFM non évidente • Une analyse des actions nécessaires pour atteindre le bon état • Un chiffrage pour évaluer l’éventuelle disproportion • -> proposition éventuelle de classement en « fortement modifiée »
Le cas des MEFM Noirieu Ailette Nonette