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Mission humanitaire SRI LANKA - 2005. Suite au tsunami qui a fait 40’000 morts, 15’000 blessés, 6’000 disparus et des milliers de sans –abris, en collaboration avec d’autres association, il a été décidé de créer un village dans la région de Bentota .
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Mission humanitaire SRI LANKA - 2005 Suite au tsunami qui a fait 40’000 morts, 15’000 blessés, 6’000 disparus et des milliers de sans –abris, en collaboration avec d’autres association, il a été décidé de créer un village dans la région de Bentota . L’union faisant la force, diverses organisations se sont groupées et ont unis leurs forces au bénéfice des sinistrés avec un projet de plus de 280’000.-- Euros. HHHHHUn terrain a été acheté dans la région et des artisans locaux ont été chargés de construire dès l’aménagement du terrain fini, 44 maisons de 50 m2 environ ainsi qu’une école. Le GISS s’est chargé plus particulièrement de la phase pratique sur le terrain. Une première équipe de trois personnes s’est rendue sur place pour faire une étude de faisabilité et lancer les premiers travaux, à savoir, défrichage de la jungle, métrés et recherche des artisans locaux. Le 18 juin, une deuxième équipe de 11 personnes s’est rendue sur place. Arrivés à Colombo, hormis la chaleur et l’humidité, la première épreuve a été le déplacement par la route, environ 70 kms en plus de 4 heures hhhhhh dddddddddddddJJJJJJJ avec une circulation de tous types de véhicules très spéciale et éprouvante pour les nerfs. Sur place, l’équipe aidée des artisans locaux a réalisé les travaux de terrassement, diverses dalles et fouilles. Le travail le plus ardu fût les âpres négociations avec le ministère des finances et celui des douanes pour débloquer la pompe toujours coincée à l’aéroport de Colombo. Il a fallu aussi composer avec les fêtes religieuses locales (donc plus d’ouvriers) et les caprices de la météo dus au début de la mousson. L’équipe suivante, partie pour Colombo le 26 juin a monté la pompe ainsi que le système de filtration et assuré la formation du personnel local à l’utilisation et l’entretien du matériel après avoir résolu divers problèmes techniques et imprévus Le premier puits creusé étant un simple tubage à 6 mètres de profondeur, un puits de 20 m. reste à prévoir avec un enrochement en granit au fond et pose de briques microporeuses pour la pré filtration.. Le système de potabilisation installé provient de la maison LMS-Voglans (système OXAI-DI) et pèse 1400 kg. Il débite 20 m3/heure et est complété par un groupe motopompe diesel de 6,8 CV. L’élévation entre le puits et les réservoirs étant au final de plus de 20 mètres, nos équipes ont dus faire preuve de débrouillardise et d’ingéniosité pour trouver des solutions évitant d’avoir à acheter une pompe de relance Outre les difficultés du climat, notre personnel a du faire face aux lenteurs administratives, aux difficultés à se faire comprendre par les autochtones. Le fait que nous logions dans une maison au milieu des habitants a favorisé les contacts Nos équipes ont profité des séjours sur place pour apporter vêtements et jouets dans un camp de réfugiés et dans des orphelinats. De plus, 5 vélos de qualité ont été offerts au village car les déplacements pour les enfants qui vont à l’école se comptent en kilomètres