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La France est en état de guerre civile…. A Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), des bus sont caillassés ou incendiés en représailles d’arrestations de trafiquants de drogue.
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A Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), des bus sont caillassés ou incendiés en représailles d’arrestations de trafiquants de drogue.
Le ministre de l’Intérieur décide de faire accompagner les bus par des CRS. Non seulement les bus sont encore victimes de caillassages, mais même de tirs d’armes à feu
A Grenoble (Isère), Martin, 23 ans, est lynché en plein centre ville par une bande de « jeunes » venus des « quartiers sensibles ».
Aux Ulis (Essonne), deux filles de 14 et 15 ans sont violées à plusieurs reprises par une bande de mineurs.
Leurs familles portent plainte. Sous la pression du voisinage et la peur des représailles, l’une d’entre elle est obligée de fuir le quartier.
Ni Putes Ni Soumises organise une manifestation de soutien, qui ne réunit qu’une cinquantaine de personnes prises à parti par la population locale.
« Les filles d’aujourd’hui, elles sont faciles, c’est tout ! Nous, on soutient les frères. », dira même une mère de famille.
A Narbonne (Aude), un commerçant de 59 ans voit sa boutique saccagée et sa voiture sabotée.
« A mort, les juifs, à mort la police », peut-on lire sur des inscriptions laissées sur place.
Son fils de 13 ans est agressé et blessé. Moïse Chekroun est désemparé. Il envisage de quitter le quartier.
A Etampes (Essonne), un jeune homme de 23 ans frappe violemment le petit ami de sa sœur avec une barre de fer. La victime souffre de plusieurs fractures du crâne. Elle a été placée dans un coma artificiel. Son pronostic vital est engagé.
Quand la jeune fille de 17 ans retourne chez ses parents, elle est à son tour victime d’une « violente correction » (selon l’expression du Parisien) qui lui vaut quatre semaines d’arrêt de travail et un placement en foyer. L’agresseur a dit vouloir « protéger la virginité de sa sœur ». Le Parisien évoque un vague « motif religieux ».
Descentes récurrentes de centaines de « jeunes blacks », selon le forain Marcel Campion, à la Foire du Trône en plein Paris, avec moult agressions et lynchages de blancs « au faciès ».
Le journal « La Provence » remarque « l’inquiétante flambée des actes de violence gratuite » à Aix-en-Provence (Bouche-du-Rhône), ville pourtant réputée paisible par rapport à sa voisine Marseille.
Lynchage crapuleux d’un homme sur la plage de Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes).
En Avignon, un délinquant de 14 ans traîne sur plusieurs mètres une dame de 72 ans pour lui voler son sac.
Des journalistes de France 3 venus enquêter sur les violences urbaines sont arrosés de gaz lacrymogène et dépouillés à Villepinte (Seine-Saint-Denis)
A Saint-Quentin (Aisne), un multirécidiviste de 12 ans met le feu aux cheveux d’une nonagénaire pour « faire marrer ses copains »
A Perpignan (Pyrénées-Orientales), trois policiers sont blessés en mission, l’un d’eux a le doigt arraché par l’homme qu’ils tentaient d’arrêter.
A Arras (Pas-de-Calais), une collégienne de 14 ans est violée dans un parc public par trois mineurs de 12 à 14 ans.
Voilà quelques exemples de « faits divers », sur une période d’une dizaine de jours, qu’on peut lire quotidiennement dans la presse régionale.
Il y a trente ans, le moindre crime de cet acabit aurait fait la une des journaux télévisés de 20 heures pendant plusieurs jours et provoqué l’indignation générale.
La « violence gratuite » se banalise alors même qu’elle devient de plus en plus barbare.
Aucun Français ne peut donc croire que la délinquance stagne ou est en baisse, comme l’annonce régulièrement le gouvernement à partir de chiffres pro domo.
Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur de mai 2002 à mars 2004 puis de mai 2005 à mars 2007, avait promis de nous débarrasser de la « racaille » à coup de « Kärcher », d’éradiquer les zones de non-droit, de punir les coupables avec une sévérité sans faille.
Elu président de la République, il a continué ses incantations systématiques : « On va voir ce qu’on va voir ». En vain : on n’a rien vu depuis huit ans qu’il est aux affaires de sécurité.
Michèle Alliot-Marie, quand elle était son ministre de l’Intérieur, a avoué donner des ordres aux policiers pour ne pas poursuivre les délinquants en scooter ou en voiture.
Ce n’est pas nouveau : lors des émeutes de 2005, la police aux ordres de Nicolas Sarkozy avait ordre de ne pas charger ceux qui leur tiraient dessus et mettaient les banlieues à feu et à sang.
Quand à la gauche , elle n’a pas varié d’un pouce dans son idéologie complice des voyous
Elle ne jure que par l’excuse sociale, alors que toute étude sociologique différentielle sérieuse invalide totalement cette légende.
Les enfants d’Arméniens ou d’Italiens qui vivaient dans les bidonvilles de Villeurbanne n’incendiaient pas leurs écoles et ne lapidaient pas les policiers.
On n’a guère vu d’Asiatiques ou de Français de souche vivant malgré eux dans les banlieues participer aux émeutes de 2005.
Ces fameuses « cités » des banlieues « rouges », aujourd’hui désignées pudiquement de « zones sensibles », étaient paisibles quand elles étaient habitées par des enfants de paysans venus travailler dans les usines des villes
Mais qu’à cela ne tienne, on continue à entretenir le mythe des « populations défavorisées » qui auraient droit à se rebeller par la violence.
On a transformé en martyrs deux gamins de Clichy-sous-Bois morts électrocutés parce qu’ils s’étaient bêtement réfugiés dans un transformateur à haute tension pour échapper à un banal contrôle policier.
Lors de sa campagne présidentielle, Ségolène Royal leur a même rendu un hommage vibrant en compagnie du maire, d’un imam et de femmes voilées devant une sorte de monuments aux morts comme si ces deux inconscients suicidaires étaient des héros de la Nation.
Pas mieux chez les « écolos », nouvelle composante de la gauche. Dans un débat télévisé, le conseiller régional Augustin Legrand se fait le porte-parole des dealers de banlieue en proposant de verser un salaire de 2000 euros mensuels aux trafiquants de drogue.
Les Français smicards ou vivant du RSA (400 euros par mois) faute de trouver un travail apprécieront…
Stéphane Gatignon, maire Europe Ecologie de Sevran, déclare à Rue89 qu’on pourrait « imaginer avoir des circuits courts, des champs de pavot ou d’herbe en Ile-de-France ».
Il montre ainsi une méconnaissance totale des trafiquants qui dealent autant les drogues dures que les drogues douces
Le déni de réalité continue de monopoliser les débats télévisés. On discute pendant des heures sur les violences scolaires, sans jamais apporter aucune analyse sociologique des fauteurs de trouble.
La moindre voix discordante est qualifiée de raciste et de xénophobe. Quand Eric Zemmour constate le fait que « la plupart des trafiquants sont noirs ou arabes », il est traîné dans les prétoires par le Mrap, SOS-Racisme et aussi par la Licra, dont le conseil fédéral vient de décider de poursuivre le journaliste en justice.
Autre procès grotesque, celui intenté par le Mrap contre Brice Hortefeux. Lors d’une université d’été de l’UMP, il déclare en privé et à la cantonade, sur le ton de la plaisanterie, à propos d’un militant d’origine nord-africaine : « Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. »
Pour Mouloud Aounit et deux « sociologues » présents au procès (dont l’islamogauchiste Vincent Geisser, fan de Tariq Ramadan), c’est « raciste » !
Pourtant, n’importe qui peut constater qu’effectivement, une immigration musulmane importante pose davantage de problèmes d’intégration qu’une immigration européenne ou asiatique. Mais il est interdit de « stigmatiser » !
Les premiers à vous l’expliquer sont ces enseignants qui magouillent pour que leurs propres enfants ne se retrouvent pas dans des classes où il y aurait « trop d’Arabes ».
Ces « antiracistes » autoproclamés restent silencieux sur le racisme anti-blancs ou anti-français.
Pas un n’a levé le petit doigt quand on a brûlé le drapeau national à Toulouse