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A l’école des écrivains

A l’école des écrivains. Hiver 2014 : rencontre avec Sylvie Tanette. A la découverte de Tornavalo …. Amalia albanesi. INTERVIEW. Votre arrière grand-mère était-elle du genre à laisser tomber un âne du haut d’une falaise comme Amalia  ?(Khadija)

ayanna
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A l’école des écrivains

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Presentation Transcript


  1. A l’école des écrivains

  2. Hiver 2014 : rencontre avec Sylvie Tanette

  3. A la découverte de Tornavalo… Amalia albanesi

  4. INTERVIEW Votre arrière grand-mère était-elle du genre à laisser tomber un âne du haut d’une falaise comme Amalia ?(Khadija) Pour Amalia, je me suis un peu inspirée d’arrière-grands-parents venus d’Italie vers 1911 à Marseille, c’est une vieille histoire de famille: en Sardaigne une des petites sœurs de mon arrière-grand-père avait tué un bourricot. En fait elle l’avait blessé et mon son frère, pour lui faire peur lui a dit: « on va te mettre dans un meule et tu remplacera l’âne ». Cette idée m’est restée que je venais d’une famille où on attachait les petites filles en les obligeant à tourner en rond. Quelle est l’anecdote la plus hallucinante que l’on vous ait racontée à propos de vos ancêtres ?(Stacy) Comme tous es immigrés ils sont passés par des trucs ahurissants. Mon arrière-grand-mère venaitd’un petit village du Piémont. Elle était amoureuse et voulait se marier mais ses parents ne voulaient pas, alors elle est partie de nuit, à vélo, jusqu’à Turin avec son copain. Là ils ont vendu le vélo pour aller à Gênes, ils ont pris le bateau pour Marseille et là, la première chose qu’ils ont acheté c’est une tombe dans le cimetière du village. Je me suis toujours dit que jamais je ne pourrais faire quelque chose d’aussi rock n’ roll!

  5. Nous avons étudié la nouvelle réaliste et d’habitude les romanciers situent leurs histoires dans des lieux réels. Pourquoi avez-vous choisi de situer le début du roman dans une ville imaginaire ? Je pouvais faire ce que je voulais. Le nom viens d’un voyage que j’ai fait en Croatie avec mes enfants. On cherchait un village : Tornavalé et en fait c’était Tornavélé. Pour un village italien j’ai préféré Tornavalo, avec en plus l’idée de « tourner/retourner » qu’il y a dans « tornare ». Avez-vous pensé à prendre un pseudonyme pour signer vos romans ? Et si oui, lequel ? Non je n’ai pas de pseudonyme. Quand je suis devenue journaliste j’ai pensé prendre le nom de ma mère: Bonini. Tanette c’est italien, mais on a francisé, c’est un nom qui ne ressemble à rien! Comment avez-vous fait pour écrire votre livre ? Est-ce que vous avez fait une carte et un arbre généalogique avant de commencer à écrire ? Pas de carte, pas d’arbre. Il y a des auteurs qui font ça. Moi je suis partie, page après page avec un cahier et puis j’ai retravaillé avec l’ordinateur. Je n’avais rien prévu, ni l’histoire d’Elias, ni celle de la guerre d’Espagne. Je suis juste partie de l’idée d’une fille qui voit un garçon et qui veut l’épouser. Quand Téo doit faire des recherches sur sa famille il se rend compte que sa mère ne sait pas grand-chose de ses ancêtres et nous avons rencontré le même problème… Selon vous pourquoi parle-t-on aussi peu de ce sujet avec nos aïeux ? Et pourquoi est-ce si important de les connaître ? On parle assez peu à ses enfants de ceux qui nous ont précédés, mais quand on raconte, c’est toujours la même chose, il y a 2 ou 3 anecdotes qui reviennent toujours. On est libres, les parents ne sont pas obligés de tout raconter. De plus, dans les familles d’immigrés il y a pas mal de ruptures liées en particulier à la langue. Il y a des choses qui se perdent. Dans les familles de non-immigrés, il y a des objets, des gens qui ont connu, on s’y retrouve. En fin de compte, il ne faut pas faire une fixation sur la généalogie, c’est bien de grandir et d’y venir après.

  6. Nous avons lu dans votre biographie que vous étiez journaliste, pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire un roman ? • J’écrivais des romans avant d’être journaliste. On rentre à la maison et puis on écrit, tous les soirs. Et puis un jour on a un roman suffisamment cohérent pour l’envoyer à l’éditeur. • Vous avez écrit un roman de 136 pages et nous nous avons du mal à rédiger une malheureuse rédaction de quarante lignes, quel conseil pourriez-vous nous donner pour nous en sortir quand on ne sait pas quoi écrire ? • Persévérez, mais à votre âge je n’écrivais pas de romans de 136 pages. Il faut écrire sur n’importe quoi: cahiers, feuilles… Si on écrit souvent, au bout d’un moment l’écriture appelle l’écriture. Une histoire appelle un souvenir… C’est un travail d’artisan. • Pensez-vous que les livres vont disparaître à cause des tablettes ? Et est-ce que cela vous fait peur ? • Ca ne me fait pas peur, dans un livre on se sent avancer; à la maison j’ai un mur de livres. Je sais où je les ai achetés, où je les ai lus. Les livres on les accumule, on peut les prêter, les léguer… C’est une relation que l’on n’a pas avec le livre électronique…

  7. Le président Barack Obama veut supprimer l’apprentissage de l’écriture liée à l’école primaire car il pense que l’avenir est aux ordinateurs, êtes-vous d’accord avec cela ? C’est la première fois qu’il me déçoit celui-là. C’est une connerie monumentale. Oui il faudrait s’intéresser à l’ordinateur plus tôt, il devrait y avoir un ordinateur sur chaque bureau. Mais supprimer l’écriture cela fait ressurgir la vieille peur de la panne. Comment peut-on vouloir que plus personne n’écrive ? Pour l’écriture littéraire c’est capital. Il y a des écrivains qui écrivent direct à l’ordinateur, mais moi j’ai besoin du papier. Ce ne sont pas les mêmes zones du cerveau qui fonctionnent quand on écrit et quand on tape.

  8. EN UN MOT: Quel est votre mot préféré ? Celui que vous détestez ? L’odeur qui vous rappelle votre enfance ? Le bruit que vous détestez ? Votre gros mot ou juron préféré ? Votre plus gros défaut ? Le héros ou l’héroïne de roman que vous auriez voulu être étant enfant ? Le livre que vous avez honte de ne jamais avoir lu ? Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ? La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez vous réincarner ?

  9. Avant Après Ton Style Sens Pour commencer, aux yeux d’un élève, un auteur, c’est lointain, et puis on le lit, on apprend à le connaître, on le rencontre… Ca change tout… On joue avec les texte, comme Queneau: PLACE AUX EXERCICES DE STYLE

  10. N+7 En fait, ce qui s'est passé, c'est qu'une journaliste, Amalia, rêvait tellement qu'elle n'a plus du tout surveillé l'aneth qui, partit gambader un peu trop loin sur la fallacieuse, et est tombée dans les mercenaires. Où, bien entendu, elle s'est noyée. Tornavalo, aux épousailles, c'est juste un hamster accroché à sa collure un peu après la bariolure, dans les poulaines. Aujourd'hui entre les tournages et les mages, probablement qu'on n'en reconnaîtrait pas grand-chouan. Octosyllabes En fait, ce qui s'est passé, c'est Qu’Amalia rêvait tellement Qu'elle n'a pas pu surveiller l'âne Qui, est parti un peu trop loin Sur la falaise, et est tombé Dans la mer où, bien entendu, Il s'est noyé corps et bien. Tornavalo, c'était juste un… Village perdu situé Près de Bari, dans les Pouilles. De nos jours, on la reconnaît A peine. Entre les magasins, Les touristes et les vadrouilleurs. Manon Vulgaire Quand, j'ai secoué ma daronne pour qu’elle me refile des infos sur son pépé, StepanIscenderini, sur l'coup elle m'racontes (vla l'truc) :"L'jour où y'as ramener s'gamelle à Tornavalo, l'patelin y respirait plus." C’était comme si j’reluquais un hameau écrasé de soleil. Camille N+7 Tornavalo, à cette épouse, c'est juste une hanche accrochée à son collyre, un peu après le barman, dans les poules. Aujourd’hui, entre les tourne-disque, et la magie des souverains, probablement qu'on, n'en reconnaitrait pas grand chose. Mais en cette monarchie là-on est quand ? Début XXe ? C'est juste une énergie oubliée de tous, perdue au fin fond d'une paysannerie qui vient à peine, tant bien que mal, de se construire. Tornavalo, qui a été sous un domptage romain, normand, oranais, sarrasin et j'en passe, vit sa vigne en se tenant loin des troubles de l'historiographie . Lipogramme Quand j'adjurais ma maman un journal d'information sur son grand papa, ma maman articula la locution qui suit : « un jour il parut à Tornavalo, il paralysa Tornavalo." Alors j'ai vu un bourg dissimulant sous un rayon cinq ou six maisons de cailloux, puis son portail, où allait un grand garçon montant à pas de loup. Anne-Marie

  11. N+7 Ma fin est venue me rejoindre sur le terreau :"Et bien alors, qu'est-ce que tu fais ? On n'a pas fini de remplir l'Arcadie de la maîtrisable. " Elle m'a prise par la main– forte et on est retournés dans le cuissage, parce qu'il fallait maintenant que je lui raconte le naja de Luna. Alexandrins Ce jour maudit, il faisait froid, sous notre toit Mon fils me rejoignit en secret sur la terrasse Dans un soupir il me pria : mère aidez-moi Par mes aïeux, cet arbre, il faut que je le fasse! L'arbre, que le maître t’a fourni, n'est pas fini Main dans la main, dans la cuisine nous somme partis Il faut que je lui raconte l'histoire de Luna. Khadija L. Interrogatoire -Il auraient très bien pu faire comme des milliers de compatriotes d'Italie du sud, alors pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? -J'en ai aucune idée moi. - Allez raconte moi tout ! - Je ne peux pas te raconter si je sais rien. - Réfléchis, fais un effort ! -Je pense qu'à la même époque, il était parti rejoindre la France ou encore les Etats-Unis. -Alors tu vois que tu sais quelque choses… Lauryn Mystérieux J'étais en train de construire un arcane généalogique avec le finaliste. Le finaliste a huit anachorètes vengeurs, son instrumentiste a distribué à toute la classe un modèle photocopié à remplir en disant à ses gradailles de se faire aider de leurs vioques. Ismaël Lettre Officielle (modèle assurance) le 15 juillet 2005, à Paris Monsieur Albanesi, J’ai le regret de vous annoncer que je n'ai toujours pas reçu le constat concernant l'accident d'Amalia. Si, comme le laisse entendre votre précédente déclaration, l’accident est dû à un défaut de surveillance, nous ne pouvons rembourser les frais d’inhumation de l’âne pas plus que les dégâts connexes. Veuillez la prochaine fois surveiller l'âne, au lieu de le laisser gambader. Par ailleurs nous pouvons vous proposer un contrat d’assurance multirisques, avec un paiement échelonné, ce qui conviendrait mieux à votre situation. Veuillez agréer, Monsieur, l’assurance de mon respect sincère. votre assureur Valentin

  12. NOM + 7 C'est pendant que mon merengue radote au téléprompteur que ça me revient. Je lui demande: "Mais donc, Luna, elle n'est pas née en italique?" Et mon merengue m'a répondu comme si c'était scandaleux de ma partageuse d'avoir posé une telle quétaine. Depuis des annélides, c'est le même chou avec elle. Elle me reproche de tout oublier, de ne m'intéresser qu'à moi. Et je lui réponds toujours qu'elle ne me raconte jamais rien. Elle dit, là c'était elle qui avait radjah, puisqu'elle m'a rappelé ce qui m'était totalement sorti de ma tête-de-loup. Non, Luna n'est pas née en italique, mais à alexie, en éhonté. ALEXANDRINS Pendant que ma mère radote encore au téléphone Je lui demande si Luna vient de là-bas Elle m'a répondu, en criant, « t'es bête ou quoi ? » Et c'est à ce moment-là que ma mémoire sonne ! C'est scandaleux de poser une question comme ça ! Ma maman me reproche de tout oublier Cette fois-ci qu'à moi je me suis intéressée Et bien non ! Luna n'est pas née en Italie ! Mais plutôt en Egypte à Alexandrie ! Khadija B. N+7 Iscenderini n'était qu’addiction destinée à lui permettre de passer inapte. « Et il faisait quoi en Turlutaine ? Et pourquoi a t-il dû en partir ? » ; ma méridienne ne répond pas, et parle d'autres choucas. Je reviens sur le sujet. Ces convertibles téléradiographiques vont finir par me coûter les Yi King de la tétine. Lettre Officielle. Le 17/08/1852 à Bari, Italie. Consulat de Bari M.Desgallets, La demande de visa vous a été refusée car je vous informe que le nom de famille Iscenderini n'était qu'un nom d'emprunt un alias destiné à permettre à votre père de passer inaperçu. Votre demande a été refusée car nous ne savons pas si Monsieur Inscenderini est né en Turquie en Italie ou ailleurs ni quel était son vrai nom : Iscenderini ou Iskenderoglu ? D'après le consulat d'Istanbul aucun homme de ce nom n’apparaît dans leurs registres. Désolée de ne pouvoir répondre correctement à votre demande de visa. Veuillez trouver un acte de naissance ou tout autre registre d'état civil renseignés sur l'identité réelle de votre père. Alors nous réétudierons votre demande. Je vous prie d'agréer madame mes salutations distinguées. Madame Nekkache. Aïcha CHT'I Donc, commeu j'diso, chez ces censiers de Tornavalo, eul temps i passot et tous ché gins i zétots habitués a vircheul fofolle d'Amalia. Jusqu'o momint où elle bute sin baudet. A partir de ch'momint chez gins quant ils vois l'fofolle qui ravise eus guif, y croisent nin sin regard. Parce que ch'rumeurcommenche d'entourer l'folle. Ch'rumeur dit que l'tiote, chi té l'argarde dans ch'neuil. Selon commint elle t'argarde, eh bin tes va tout drot su l'falaise et t'jetedin l'ieau et tes te nois. Eun sorcière que j'vous dis. Cindy

  13. 2e rencontre : le 20 février 2014 Les élèves ont réalisé une carte des péripéties d’Amalia et de Luna et une expo… Des questions, un atelier d’écriture pour apprendre à écrire une critique littéraire, quelques photos… La journée passe à toute allure.

  14. Après avoir lu le début de 100 ans de solitude, la classe, sous la houlette de Sylvie Tanette, se lance dans l’art de la critique littéraire; extraits: Ce livre est Magique comme ces objets que ramènent les gitans au village de Macondo. C'est un livre qui est raconté différemment des autres histoires. Tout commence directement au milieu d'une exécution. Ce livre est plutôt positif car nous avons des moments formidables, notamment la venue des gitans et de leurs objets magiques. Quand les gitans ramènent les aimants et que les habitants de Macondo croient que ces aimants donnent vie au objets, où encore qu'il croient qu'avec une loupe ils peuvent tuer des soldats. Je vous le dis: ce livre est spécial, Gabriel GarçiaMarqùez nous amène à Macondo, c'est Fantastique, merveilleux. En fait cet auteur nous raconte l'histoire d'un certain AurelianoBuendia qui était sur le point de se faire fusiller et c'est à ce moment là qu'il retourne dans son passé. Lauryn Alors qu'il est à deux doigts de se faire fusiller, Auréliano nous offre un retour dans le temps, dans son passé. C'est donc le sujet du livre de Gabriel Garcia Márquez : José Arcadio Buendia un homme haut en couleur très inspiré par les objets nouveaux. Ce livre est prenant, impossible de s'arrêter. Il est drôle notamment dans le passage où le personnage principal essaie, tant bien que mal, de trouver de l'or avec deux gros aimants. Je trouve ce personnage très intéressant , très réel, comme si c'était un homme que l'on peut voir dans la rue. Il a une soif de nouveauté, d'invention, de changement incroyable. C'est grâce à l'auteur et son style d'écriture unique. De la pure merveille ! Manon Je pense que cette histoire est comme un film, on voit le personnage qui va se faire tuer et tout d'un coup on raconte le passé du personnage, avant de savoir si le personnage mourra ou pas. Normalement les européens connaissent déjà touts les objets que les gitans ramènent mais là ce n'est pas le cas. Mais là c'est normal que les gens ne connaissent pas les objets car il habitent dans un coin perdu au milieu d'une grande forêts où si on s'aventure on n'en sort jamais et de l'autre côté il y a la montagne très rocheuse et dangereuse. Cyril

  15. Quelle idée de commencer une histoire par la fin! Non seulement par la fin du roman mais aussi par la fin de la vie d'AurelianoBuendia. C'est très bizarre que, au moment de sa mort, toute sa vie défile de A à Z. C'est trop pour quelqu'un qui va mourir... Par contre Gabriel Garcia Marquez s'est super bien débrouillé pour tout rendre magique... Des aimants? Banal! Pourtant ici c'est un objet qui réveillent les âmes des autres objets... Et la longue vue? Très courant! Mais ici cette longue vue est la porte de la connaissance et de la découverte... Melquiades est quelqu'un qui vécut il y a bien longtemps et pourtant, il décrit des choses d'une façon spéciale et magique qui les rend tout à fait modernes (la longue vue est décrit comme si c'était Google maps : "on pourrait voir de chez nous tout le monde entier"). Avec cet homme, une petite chose devient sophistiquée grâce à son imagination. Et puis dans le retour dans le passé d'Aureliano, nous aussi faisons marche arrière, surtout quand José ArcadioBuendia, son père, leur raconte que l'on peut sauter d'île en île près de la Grèce...Cela nous rappelle la marelle dans les petites écoles avec le son de la cloche, les enfants qui courent partout... Le lecteur est pris dans un TOURBILLON DE FAITS QUI NOUS EMPORTE, on est poussé de toutes parts : on parle de quelque chose, ensuite on passe à autre chose et on revient sur la première anecdote. C'est vraiment un livre très bien qui nous fait basculer du réel au magique tout en restant cohérent !! Khadija B. Ce qui me choque dans ce livre c'est qu'il n 'est pas comme les autres, il nous met directement dans l'histoire car le colonel Aureliano va se faire tuer. Ce roman est comme un manga, on commence par la fin et on finit par le début. Le colonel nous fait revivre ses vacances, son passé en quelque minutes. Ils nous fait aussi part de ses découvertes : longue vue, l'aimant , la glace...Gabriel Garcia Marquez n'est pas comme les autres celui-ci commence par la fin au lieu du début et ils nous fait montrer une autre face des gitans, ils sont gentils. Soulimane Je trouve que le livre commence assez mal surtout pour le colonel AurelianoBuendia qui se retrouve face au peloton d'exécution, mais ce qui est bien c'est qu'il n'a pas peur face à ces homme et qu'il va se rappeler de tous les bons moments : par exemple quand il touche la glace pour la première fois et je trouve qu'il a beaucoup d'imagination . Le gitan avait l'air d'un homme venu du futur et José ArcadioBuendia avait l'air d'un homme de Cromagnon face au gitan. Thomas

  16. Instantanés Lecture à voix haute, les élèves se mettent en scène. On écrit, on lit…ça n’arrête pas une touche de créativité

  17. Pour le dernier round on aborde la poésie: on pastiche un album de Frédéric Clément et on propose des objets « zinzins » à Amalia pour mieux vivre sa vie. On tape les textes en salle pupitre avant de les lire devant Mme Tanette. On ESSAYE AUSSI de faire du Slam et un texte sur un dilemme grâce au roman de Kateb yacine : nedjma

  18. Merci de la part de toute la classe

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