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N ucléaire. R adiologique. B iologique. C himique. NBC 6. Les moyens de détection et de décontamination. 1. I. La détection d’alerte. II. La détection de contrôle . III. La décontamination chimique. PLAN. 2. I. La détection d’alerte. BUT :. SE PROTEGER immédiatement.
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Nucléaire Radiologique Biologique Chimique NBC 6 Les moyens de détection et de décontamination 1
I.La détection d’alerte. II.La détection de contrôle. III.La décontamination chimique. PLAN 2
I.La détection d’alerte BUT: • SE PROTEGER immédiatement • ALERTER ses voisins MOYENS SPECIFIQUES MOYENS HUMAINS 3
ROUGE - ROUGE VIOLACE JAUNE - JAUNE ORANGE BLEU VERT FONCE NOIR I.La détection d’alerte Le papier détecteur Mlle F1 Détection des toxiques LIQUIDES Vésicants et neurotoxiques A et G MOYENS SPECIFIQUES VESICANTS NEUROTOXIQUES type G NEUROTOXIQUES type A 4
I.La détection d’alerte MOYENS HUMAINS Détection par Observation. Détection par indices ou symptômes. Tirs d’artillerie Obus Roquettes Missiles Bombes Mines Traces de liquide Présence de cadavres Premiers symptômes 5
I.La détection d’alerte • Signaux d’alerte sonores: • Coups de sirène modulés intermittents • Klaxon, sifflet, etc... L’ALERTE LOCALE « 1 seconde d’émission et 1 seconde de silence » • De vive voix:« GAZ, GAZ, GAZ » • Signaux d’alerte par gestes: • Transmission radio • Prendre les mesures par imitation • Agiter un fanion noir verticalement 6
AR SI MA PARA Z 2 ARF SI ALERTE Z jaune Il délivre un signal R: 1 à 1,5 s 8 - LXT - 91 ARM * VISUEL pendant 20 s rouge MF jaune * SONORE pendant 10 s I.La détection d’alerte L’ALERTE LOCALE Signal d’alerte pyrotechnique: Il permet la TRANSMISSION dans un rayon de 500 à 1000 mètres d'une ALERTE LOCALE CHIMIQUE à une altitude de 200 mètres 7
I.La détection d’alerte. II.La détection de contrôle . III.La décontamination chimique. PLAN 8
II.La détection de contrôle BUT: • CONFIRMER la présence d'un danger • IDENTIFIER le toxique Ultérieurement: • SIGNALER la fin du danger • DELIMITER la zone contaminée A ce moment de la détection on se sert de moyens spécifiques: 9
II.La détection de contrôle MOYENS SPECIFIQUES Le détecteur individuel est utilisé au niveau du groupe. • Le DETINDIV est destiné à la détection de contrôle de neurotoxiques sous forme VAPEURS. 10
canal d'écoulement ampoule de verre (eau) pastille rose de substrat pastille blanche d'enzyme II.La détection de contrôle DETétecteur INDIViduel 11
Briser l'ampoule entre le pouce et l'index, pastilles vers le bas 2 3 Vérifier que la pastille blanche est bien mouillée 4 Exposer à l'air pendant 5 minutes, sans agiter 5 Replier la pastille rose sur la blanche et exercer 20 pressions successives. II. La détection de contrôle Mise en œuvre du DETINDIV 1 Déchirer l’ emballage et sortir le détecteur sans toucher les pastilles avec les doigts 6 Faire la lecture après 2 minutes sur la pastille blanche Bleu Incolore DET INDIV F1 Toxique Pas de Toxique NON OUI 12
PLAN • I.La détection d’alerte. • II.La détection de contrôle . • III.La décontamination chimique. 13
III.La décontamination chimique. BUT: • Déplacer ou détruire les agents chimiques, sur la peau, le matériel et le terrain. Trois niveaux de décontamination: • La décontamination immédiate. • La décontamination opérationnelle. • La décontamination approfondie. 14
III.La décontamination chimique. • La décontamination immédiate. Tout combattant qui a reçu du liquide sur la peau Sans ordre Immédiatement après la fin de l’attaque. Moyens: Gants de décontamination chimique F1 15
III.La décontamination chimique. Gants de décontamination chimique F1 Une face poudreuse à deux compartiments Terre de foulon Poudre absorbante Une face d’essuyage en tissu éponge La poudre absorbe 90% du produit toxique, mais ne le détruit pas. 16
III.La décontamination chimique. • La décontamination opérationnelle. Éviter la contamination par transfert Sur ordre Avec le gant poudreur Sur la peau, les vêtements, l’équipement et l’armement. 17
III.La décontamination chimique. • La décontamination approfondie. Effectuée par des unités spécialisées. Un protocole de déshabillage Un contrôle par le médecin Une remise en condition Permettre aux combattant de reprendre leur mission 18
Exceptionnellement lors d'une Décontamination opérationnelle Systématiquement lors d’une décontamination approfondie III.La décontamination chimique. • La décontamination approfondie. PROTOCOLE DE DESHABILLAGE Quand : Surordre Par qui : Par binôme Contrôle par le médecin Décontamination des petits matériels et des véhicules. 19
Conclusion. Rappel des points clés: • La détection d’alerte, le PDF1 permet de détecter les toxiques LIQUIDES des familles vésicants et neurotoxiques. • L’alerte locale est transmise, par signaux sonores, par geste, par la voix (Gaz, Gaz, Gaz), par radio ou pyrotechnique. • La détection de contrôle au niveau du groupe est effectué à l’aide du DETINDIV pour les neurotoxiques sous forme VAPEUR. 20
Conclusion. Rappel des points clés: • Il existe trois niveaux de décontamination: • La décontamination immédiate • La décontamination opérationnelle • La décontamination approfondie Avec le gant poudreur Un protocole de déshabillage + REMEC Pour le petit matériel et les véhicules 21