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Préparation à l’essai Stratégies de rédaction d’un essai. GSF-6020 et GSF-6023 Hiver 2010. Plan de cette section. Structure d’un essai, d’un mémoire ou d’une thèse Méthodes de recherche empirique Conseils pour une écriture fonctionnelle La communication orale de ses idées.
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Préparation à l’essaiStratégies de rédaction d’un essai GSF-6020 et GSF-6023 Hiver 2010
Plan de cette section • Structure d’un essai, d’un mémoire ou d’une thèse • Méthodes de recherche empirique • Conseils pour une écriture fonctionnelle • La communication orale de ses idées
Structure de la proposition d’essai • Introduction ou énoncé du problème • Revue de la littérature • Questions et hypothèses • Méthodologie • Instrumentation • Échantillonage • Collecte des données • Analyse des données • Échéancier des principales étapes de réalisation
Structure d’un essai, d’un mémoire ou d’une thèse • L’essai, le mémoire ou la thèse, est le développement écrit de réflexions sur une question, un phénomène ou un sujet donné. • Les idées doivent être organisées de façon claire, logique et synthétique, pour permettre au lecteur de comprendre aisément le sujet ou de pouvoir prendre position. • La structure contient toujours la plupart des éléments suivants, et davantage selon les besoins (e.g., une section avec des définitions): • Introduction • Revue de la littérature • Hypothèses • Méthodologie • Résultats • Discussion • Conclusion
À cela s’ajoutent • Avant : • Résumé • Mots clés • Remerciements • Après : • Bibliographie • Annexes
L’introduction • Ce que l'on sait sur le thème • Ce que l'on ne sait pas • Ce qui a amené à se poser la question (sans pour autant en faire un témoignage de vécu!) • Quelle est l’hypothèse principale ou la question? • Les résultats escomptés ou principaux (proposition vs version finale)
Énoncé du problème • Énoncez le problème en termes compréhensibles pour quelqu’un de généralement sophistiqué, mais qui est relativement peu informé dans le domaine du problème. • La plus grande erreur que l’on peut faire en écrivant notre problématique est de prendre pour acquis que le lecteur à qui s’adresse celui-ci est connaissant au niveau du contenu. • Définissez et délimitez le champ spécifique du problème. • Laissez entrevoir les hypothèses à être testées ou les questions soulevées. • Indiquez brièvement la portée de l’étude ainsi que sa pertinence. • Assurez-vous d’avoir quelque part une phrase telle que « le but de cette recherche est de... ».
La revue de littérature • La pensée qui trouve son chemin dans votre mémoire/essai doit surtout être personnelle et exprimer un point de vue actuel sur la question. • Développement plus complet de ce que l’on sait sur le sujet. • Intégration de la littérature pertinente, i.e. faire des liens et non pas résumer de façon linéaire tout ce qui a été écrit sur un sujet. • Un des objectifs de la revue de la littérature est de permettre de bien situer le travail en cours par rapport à la littérature existante. • La revue de littérature n’est pas un journal intime de tout ce que vous avez lu. Seuls les articles pertinents au développement de vos idées doivent être inclus.
Revue de la littérature • Démontrez au lecteur que vous possédez bien le champ d’étude et que vous connaissez bien les développements récents dans votre sujet et la méthodologie. • Délimitez votre entrée en scène: comment votre étude raffinera, changera ou contribuera à ce qui est déjà connu? • Évitez les assertions qui impliquent que peu à été fait dans le domaine ou que ce qui a été fait est trop vaste pour être facilement résumé. • Note: l’expression « revue littéraire » n’est pas un synonyme de « revue de la littérature ».
Comment lire les textes pertinents? • Recenser le développement chronologique des idées (mettre l’accent sur les éléments nouveaux d’un article à l’autre) • Recenser les thèmes principaux qui reviennent • Déterminer ce que chaque auteur dit sur ce sujet • Si possible, faire des représentations graphiques pour lier les sujets et/ou articles ensemble
Le choix des documents à lire doit se faire non seulement en fonction de leur qualité, mais aussi en fonction de leur pertinence par rapport au travail à réaliser. Pour évaluer cette pertinence, on peut se poser quelques questions. Ces questions porteront sur le contenu des documents et sur le niveau d'information véhiculée. Évaluer la pertinence des sources
Citer, citer, citer! • Pour appuyer son argumentation, lors de la rédaction du travail, il arrive que l'on puise des idées chez un auteur ou qu’on reproduise des extraits de son œuvre. • Dans tous les cas, il est important de bien citer ses sources pour deux raisons : • en le citant, le rédacteur rend justice à l'auteur de qui il a tiré l'idée ou le texte; • le lecteur peut se référer facilement aux sources utilisées. • Combien d'articles à citer? À quel point doivent-ils être pertinents pour être inclus? • C'est une question difficile. Il n’est pas rare de citer 50 articles pour un mémoire, mais cela dépend du domaine. • Vous êtes l'expert mondial sur le sujet (étroit) de votre essai ou mémoire: vous devez démontrer ceci dans votre revue.
Les hypothèses • C’est ici qu’on développe de façon formelle la ou les questions posées par le travail en cours. • Il s’agit de présenter la question de base et les hypothèses que l’on fait quant à sa réponse. • Ce sont ces hypothèses (ou résultats escomptés) que l’on cherchera à valider avec les outils appropriés dans la section méthodologie. Il ne s’agit pas des hypothèses d’un modèle, mais bien d’une proposition à tester. • Il est important, au niveau théorique, de faire une distinction entre un modèle normatif et un modèle descriptif (ou positif). • Un modèle normatif postule ce qui devrait être fait de façon optimale • Un modèle descriptif cherche à décrire ce que l’on observe (ou à trouver les facteurs qui influencent ce que l’on observe), sans pour autant fournir une explication sur le pourquoi, ni même le comment. • Les deux types de modèle sont utiles pour l’avancement des connaissances.
Questions et hypothèses • Dans toutes les recherches, tests ou hypothèses, nous cherchons à répondre à des questions. Si des hypothèses sont formulées, le lecteur a le droit de connaître le cadre théorique à l’intérieur duquel les hypothèses se situent et les bases sur lesquelles elles se fondent. • Les questions s’adressent aux études normatives (combien y en a-t-il? Y-a-t-il une relation entre elles? Etc.) • Les hypothèses s’adressent aux recherches théoriques, et quand vous formulez une hypothèse, le lecteur a le droit d’avoir un exposé de la théorie qui y mène. • En général vous devriez être préparé à interpréter tout résultat possible en ce qui concerne les questions ou hypothèses. Il sera utile de visualiser les tables ( ou autre résumé de résultats) que vous vous attendez à obtenir de votre recherche. Qu’est-ce que l’on fera selon nos résultats? Ceci nous aidera à spécifier nos questions et définir quelles données sont nécessaires.
Méthodologie pour la proposition • Décrire brièvement les instruments qu’on se propose d’utiliser. • Définir opérationnellement les variables • Décrire les sources de données • Échantillon ou population complète • On doit connaître la population à laquelle nos résultats s’appliquent. L’échantillon doit être choisi selon des règles précises. • Simulation des données • Il faut expliquer pourquoi ainsi que les techniques utilisées. • Spécifier les outils statistiques ou procédures analytiques pour analyser les données • Développer des tables factices pour indiquer la nature des analyses
La méthodologie • Qu’observe-t-on? • Comment l’observe-t-on? • Y a-t-il une intervention? Laquelle? • Comment traite-t-on les données (statistiques)? • Comment s’est-on documenté? • Cette section est généralement souvent modifiée. • Demander de l'aide pour le traitement statistique si nécessaire.
Les résultats • Rien que des résultats: des faits, pas d'opinion • Il n’y a pas d’interprétation dans ce chapitre. • Un résultat devrait être exprimé une seule fois sous forme de texte, de tableau ou de figure. • Les tableaux ou figures doivent être titrés et compréhensibles sans le texte. • Les tableaux sont numérotés en chiffres arabes et appelés dans le texte. • Tous les résultats doivent être donnés. • Certains peuvent être mis en annexe.
La discussion • C’est la partie la plus délicate, qui reflète le mieux la qualité du travail. • Résultat(s) principal(aux) et intérêt (réponse à la question). • Forces et faiblesses du travail. • Comparaison avec les travaux d'autres auteurs. • Hypothèses pour expliquer vos résultats. • Il ne faut pas répéter ni résumer les résultats. • On peut chercher à renforcer nos conclusions par des tests supplémentaires.
La conclusion • Rappel de la question • Rappel des résultats principaux • Propositions pour l’avenir • Ne pas utiliser exactement les mêmes phrases que dans les parties précédentes
Le titre • Choisi en dernier, après avoir écrit le texte. • Annonce avec concision le contenu du texte.
Le résumé • Chaque texte doit contenir un résumé (une page maximum et généralement moins de 200 mots) et des mots clés pour les archives universitaires. • Le résumé est un texte concis, informatif et structuré (aussi, nécessite-t-il souvent plusieurs rédactions) qui reflète point par point le travail effectué. On y retrouve le but de l’étude, l’hypothèse principale et le résultat principal. • La règle est de consacrer une phrase à chacune de ses parties: introduction, méthodologie, résultats, discussion et conclusion. • Le résumé est souvent mal fait, car il est souvent compris comme une "conclusion-bis". Il s'agit de deux choses différentes. • Schématiquement, la conclusion montre l'intérêt du travail effectué et donne quelques éléments de perspective d'avenir concernant le sujet.
Les références bibliographiques • Ne citez que les articles lus et appelés dans le texte, et utiles à votre travail • pas de citations copiées! • Toutes les références (sans exception) doivent être appelées dans le texte • Les articles doivent être accessibles ou vous devez pouvoir en fournir un exemplaire • Respecter les règles internationales d’écriture des références • Vérifier avec votre directeur la qualité des références bibliographiques retenues • Utilisez un journal scientifique de votre choix comme modèle
Méthodes de recherche empiriques Bernard Dionne, Pour réussir : guide méthodologique pour les études et la recherche, 3e éd., Laval, Études vivantes, 1998, p.198-199
Méthodes statistiques • Une méthodologie classique peut être citée sans commentaire. • En revanche, toute modification apportée à une technique habituelle, ou toute nouvelle méthode, doit être décrite de façon complète. • S'il s'agit d'une méthodologie originale, il convient de discuter soigneusement sa spécificité et reproductibilité au chapitre des commentaires. • Le chapitre des méthodes se termine normalement par l'exposé des techniques d'analyse statistique qui ont été employées pour exprimer les résultats. Ne négligez pas cet aspect de votre mémoire et faites vous aider si vous en ressentez le besoin.
Objectif: écrire pour communiquer! • L’objectif de tout texte est de faciliter la compréhension du lecteur ou du public-cible (employeur éventuel) • Références utiles: Guide du savoir-écrire; Jean-Paul Simard, les éditions de l’homme, 1984 «Ecrire pour un journal scientifique» http://www.vertigo.uqam.ca/pdf/guide_redaction_scientifique.pdf • Références complémentaires http://www.library.ualberta.ca/print2004/index.cfm?file=%2Fcontentcms%2Fcontent_bsj%2Fsubject%2Fsubject_ressources_dissertation.html http://www.cocp.ulaval.ca/sgc/pid/6181
Conseils de grands penseurs • « La nature utilise le chemin le plus court possible. » - Aristote • « On devrait tout rendre aussi simple que possible, mais pas plus. » - Einstein • « Avant donc que d’écrire, apprenez à penser. » - Boileau • « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » - Boileau
Planification du processus d’écriture(avant même d’écrire) • Identifiez clairement la portée de votre travail. • Identifiez le lecteur à qui s’adresse votre document (cela ne signifie pas qu’il faut le mentionner dans le texte, sauf si c’est pertinent pour justifier le style ou éviter des malentendus). • Déterminez une liste des idées que vous avez l’intention d’aborder. • Gardez cette liste à portée de la main afin d’y ajouter; car d’autres idées surgiront au fur et à mesure de vos travaux ou de votre réflexion.
Planification du processus d’écriture(avant même d’écrire) • Déterminez les idées essentielles à votre raisonnement , ainsi que l’ordre logique de présentation (parfois, les idées peuvent s’exprimer sous forme de sous-question à répondre). • Déterminez les idées essentielles à votre raisonnement, ainsi que l’ordre de présentation. • Indiquez pour chaque idée vos certitudes et vos doutes. • Faites un échéancier de vos activités de rédaction. • Ensuite, écrire le texte.
Gestion du temps! • Le défi est d’arriver à synthétiser l’information existante sur un sujet. C’est le temps qui pose le défi, car il y a souvent trop d’informations à résumer. • Par contre, tout n’est pas forcément pertinent, mais comment déterminer ce qui l’est? • En se servant du travail des autres, et particulièrement des travaux les plus récents, et non des plus anciens. • En remettant en question les conclusions qui vont à l’encontre de l’intuition et qui diffèrent de ce qu’on observe. C’est ainsi qu’on trouvera les ingrédients les plus pertinents, i.e. ceux qui changent le résultat. • Réfléchir à une stratégie pour optimiser votre temps de recherche peut être très utile!
La clarté du texte • Le message doit être univoque, i.e. être interprété de la même façon tant par le récepteur que par l’émetteur. Pour ce faire: • Choisissez des mots simples; • Utilisez les mots dans leur sens propre; • Utilisez toujours le même mot pour désigner la même chose; • Évitez l’ironie ou les sous-entendus; • Minimisez l’emploi des adjectifs; • Placez l’adjectif le plus près possible du mot qualifié; • Utilisez au besoin des exemples, car un exemple vaut parfois mille mots. • Ayez toujours un dictionnaire à portée de la main et consultez-le. Savoir écrire sans faute n’implique pas de connaître le dictionnaire par coeur, mais simplement de prendre la peine de vérifier lorsqu’il y a un doute!
La lisibilité du texte • Si vous maîtrisez mal l’écriture en français, utilisez des phrases courtes: sujet, verbe et complément. • Evitez des phrases contenant plusieurs propositions; a fortiori, plusieurs idées. Si on doit relire votre phrase deux fois pour la comprendre, scindez vos idées! • Définissez bien les termes et les concepts utilisés. • soyez conforme aux us et coutumes lorsque pertinent (e.g., B: bonds, S: stock, etc.) Remarques: • Visuellement, chaque page doit dégager une impression d’équilibre. • Employez la même police dans tout le document, y compris pour les titres et les sous-titres. • Évitez d'employer le caractère gras, qui est réservé aux titres et aux sous-titres.
Le plan ou table des matières • Plus les titres sont de haut niveau, plus vous accordez d'importance à un concept, et donc plus vous le mettez en valeur. • Il ne faut pas hésiter à remanier votre plan pour que la seule lecture de la table des matières donne une bonne vision de votre travail. • Proscrivez les titres banals, style « remarque », « mise en oeuvre ». • N'hésitez pas à découper un paragraphe, non pas parce qu'il est trop long, mais pour faire apparaître deux titres significatifs. Par exemple, les algorithmes et démonstrations importantes doivent apparaître dans la table des matières. • Enfin, n'hésitez pas à introduire des sous-titres supplémentaires, simplement pour rythmer le discours. Les lecteurs superficiels trouveront ainsi les grandes lignes, et les rapporteurs trouveront les points essentiels sans avoir à les chercher.
L’introduction • Sujet amené • partez d’une idée générale, nul besoin de remonter au déluge! • Sujet posé • qu’allez-vous faire de particulier? • Sujet divisé • votre plan de travail.
Les introductions … • …de la thèse, de chapitres et de sections : • elles doivent motiver la démarche, expliquer les difficultés résolues, insister sur les concepts introduits, les résultats obtenus, la manière de les obtenir et enfin leurs conséquences. • Les deux buts essentiels d'une introduction de chapitre sont: aider le lecteur à entrer et à naviguer dans le chapitre, et aider les rapporteurs à rédiger leur rapport ainsi qu'à les persuader de l'intérêt du chapitre.
Le corps ou le développement du texte • Plusieurs petites dissertations. • Chacune ayant son intro, son corps et sa conclusion. • NB- le titre ne fait pas partie du texte
Les conclusions … • …de la thèse, de chapitres et de sections : • elles doivent résumer les points forts, les replacer dans leur contexte, et également donner des perspectives et ouvrir de nouveaux problèmes. • Par exemple, une conclusion de chapitre peut conclure sur un problème qui sera résolu dans le chapitre suivant. • Deux types: • Conclusion récapitulative • Conclusion ouverte • Évoque le cheminement qui a été fait, apporte la réponse recherchée et ouvre des perspectives.
Le paragraphe • Bijection: une idée, un paragraphe. • L’idée est annoncée dans la première phrase. • Les autres phrases viennent étayer l’idée énoncée. • On peut facilement résumer un texte ainsi construit en lisant les premières phrases de chaque paragraphe.
La mise en valeur des résultats • Vous devez toujours bien mettre en valeur vos résultats. • Vous êtes le seul ayant intérêt à le faire. • Pour cela, il faut les énoncer en tant que tels, i.e. écrire explicitement que ce sont des résultats nouveaux et importants dans le chapitre où ils apparaissent. • Il faut bien sûr également les rappeler dans la conclusion, par exemple avec une section « Apports théoriques » ou « Apports empiriques » ou « Contributions de l’article ou de l’essai».
L'utilisation du « nous » et du « on » … • La remarque qui revient le plus souvent au cours des lectures des mémoires est que les lecteurs ont eu le plus grand mal à identifier dans le document les réalisations de l'étudiant. • Par conséquent, utilisez le « nous » pour tout ce que vous avez fait et dont vous voulez être crédité ; les lecteurs comprendront très clairement cela. • Par exemple « notre but est de ... » ou « en appliquant notre algorithme ... ». • Utilisez le « on » pour ce qui est banal dans la communauté, ce que tout un chacun peut trouver facilement.
Les mots inutiles … …par exemple « clairement », « trivial », « évidemment », « on voit bien que »... • Il faut les éviter, et dans la plupart des cas, on peut les supprimer sans changer le sens de la phrase. • Ou bien le lecteur ne comprend pas et il se sent bête, puisque c'est censé être « clair » ; du coup le texte devient pédant. • Ou bien c'est effectivement « trivial » et dans ce cas il vaut mieux omettre l'adjectif ou l'adverbe. Le texte y gagnera en concision et en clarté.
L'emploi des polices de caractères • Dans un document, il peut y avoir plusieurs raisons de changer de police de caractères. Le choix des polices est généralement dicté par les considérations suivantes. • Les polices sont choisies pour leur lisibilité. Tout texte imprimé est fait pour être lu le plus agréablement et le plus facilement possible; • Employez la même police dans tout le document, y compris pour les titres et les sous-titres (ou pas plus de deux, si vous y tenez absolument; la régle étant d’utiliser le moins de police possible!); • Évitez d'employer le gras qui est réservé aux titres et aux sous-titres; • Employez l'italique quand vous voulez souligner un mot. Cela remplace le souligné des machines à écrire qui est moins esthétique. • Ne mettez pas une phrase entière en italique, car le lecteur aurait l'impression que vous êtes en train de lui crier dans les oreilles en voulant souligner chaque mot!
Les polices … • Le choix d’une police doit permettre de placer le maximum d’informations dans un minimum d’espace tout en conservant une lecture facile ; • Quelques conseils : • century schoolbook • times roman • arial • helvetica • Une mise en valeur sobre : si vous soulignez un mot sur 5 ou abusez de l'italique, vous allez fatiguer votre lecteur et ne mettrez rien en relief. • Enfin, selon les règles de la typographie française, les guillemets « et » doivent être précédés et suivis d'un espace insécable. Ils doivent être employés pour tout terme utilisé hors de son sens habituel.