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AIME TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME

AIME TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME. Diaporama de Jack Questel. Jésus nous l’a dit très nettement : Il y a deux commandements qui sont semblables : - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu - Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

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AIME TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME

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Presentation Transcript


  1. AIME TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME Diaporama de Jack Questel

  2. Jésus nous l’a dit très nettement : Il y a deux commandements qui sont semblables : - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu- Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Et bien, je me demande si Jésus sait compter ? Car, pour ma part, je trouve qu’il y a là trois commandements. Et, c’est vrai, trois commandements de même force, de même importance pour nous chrétiens. Donc, si nous voulons suivre la loi dictée par notre Dieu, nous devons l’aimer, nous devons aimer les autres et nous devons nous aimer, avec le même amour.

  3. Je crois que ces trois commandements n’en font qu’un. Car, si nous devons nous aimer et aimer nos frères, c’est dans l’amour de Dieu, source de tout amour.Dieu met dans le cœur des hommes une poussière, un rayon de cet amour universel qui l’habite, dont il est l’origine et la fin. Il veut que chacun de ses enfants puisse vivre cet amour, le vivre et en vivre. Le partager autour de lui comme on partage le pain, cette nourriture essentielle.

  4. Je voudrais maintenant vous dire comment je comprends ces trois commandements. En commençant par le dernier commandement : comme toi-même. Nous devons donc nous aimer. Tout le monde s’aime, me direz-vous. Et bien non ! Étudiez les gens autour de vous, et peut-être vous-mêmes. Combien estiment qu’il est NORMAL qu’ils aient des problèmes, parce que, de toute façon, ils n’ont eu que ça depuis leur naissance, et que le bonheur n’est pas pour eux. Ces personnes-là, dites-moi, ne voient-elles pas le même merveilleux lever de soleil que vous ? La même prai-rie fleurie que celle que vous admi-rez ? N’entendent-elles pas le même rire d’enfant que celui qui vous réchauffe le coeur ?

  5. Combien de fois un remerciement est-il monté de leur cœur vers Dieu pour tant de douceurs et de mer-veilles ? Non. Plaintes et jérémia-des, récriminations et idées noires sont leur habitude. Leur cœur est malheureusement fermé à tout le reste. Un comble ! Elles vous disent "mais qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu pour mériter cela ?" Comme si Dieu prenait plaisir à nous charger de toutes les misères ! Si un ivrogne renverse un passant, si un père abuse de sa fille, si un voleur s’introduit dans la maison… C’est la liberté que Dieu veut pour tous ses enfants qui est en jeu. Et Dieu déplore avec nous ces excès.

  6. Mais il est encore plus près de nous lorsque nous avons un problème, un souci, un malheur. Il fait en sorte que cela ne nous écrase pas. Il nous donne la force pour que nous en sortions grandis, plus près de lui et de nos frères. Il veille à ce que ce qui nous accable ne soit jamais plus lourd que ce que nous pouvons porter. Je vous rappelle succinctement la parabole du bon grain et de l’ivraie. Le maître de la moisson (Dieu) n’a-vait semé que du bon grain. Mais son ennemi a semé l’ivraie pendant son sommeil. Il n’a cependant pas voulu que l’on arrache l’ivraie qui poussait parmi le grain, de peur qu’en arrachant l’un, on abîme l’autre.

  7. Si nous méditions plus souvent les enseignements de cette parabole, nous aurions moins tendance à tenir Dieu pour responsable de tous les malheurs du monde !D’autre part, nous admettons faci-lement que Dieu aime tous ses enfants. Donc, il nous aime. Alors, pourquoi nous déprécier, nous trouver bon à rien, ressasser nos incapacités ? C’est faire injure à cet amour de Dieu, c’est nous enfoncer dans un marasme qui peut nous conduire à la dépression. Remarquer que dans dépression, il y a déprécier. Je vous laisse méditer sur ce rapprochement.

  8. Je vais même aller plus loin, et beaucoup d’entre vous vont dire que j’extrapole. Mais, quand on fait quelque chose pou les autres, soit un bénévolat de longue durée, soit une simple visite à une voisine, nous devrions nous aimer suffisamment pour le faire pour nous faire plaisir, comme une gâterie que l’on s’octroie. Ainsi, nous n’attendrions rien de l’autre, ni reconnaissance, ni remerciements. Finies, les petites phrases du genre "après tout ce que j’ai fait pour lui !" Je ne dis pas de ne faire que ce qui ne nous coûte pas ! Le sportif s’éclate en faisant son entrainement, et pourtant, cela lui demande beaucoup d’efforts. Mais il se fait plaisir et poursuit son but. Car tous ne font pas ces efforts en vue d’une médaille finale !

  9. Le deuxième commandement est : aime ton prochain. Dans tout être, même le plus dépravé, le plus abîmé par la vie, subsiste une étincelle de ce reflet de Dieu qu’il a reçu en naissant. Alors, je vous propose un jeu, ou plutôt, disons une gymnastique de l’esprit. Essayez d’imaginer par où cette personne que vous méprisez est passée, et maintenant essayez d’imaginer quelle conséquence aurait eu sur votre vie un tel chemi-nement. C’est un exercice fort salu-taire à notre superbe et à notre sen-timent de supériorité. Si du moins nous sommes honnêtes avec nous-mêmes et devant Dieu.

  10. Je crois inutile de développer ce deuxième point, vous connaissez toutes les conséquences de ce commandement. Mais on oublie souvent le "comme toi-même" et je pense que ce temps de l’Avent est idéal pour creuser cette question. Chacun de nous devrait s’y mettre… C’est un autre aspect de ce triple amour qui nous est demandé que je voudrais souligner, aspect qui, à ma connaissance, n’a jamais été abordé dans ce cadre : c’est l’écologie ! N’ouvrez pas des yeux tout ronds et je vais vous expliquer.

  11. La terre, la nature, Dieu nous l’a donnée pour que, dit la Bible, "on la soumette et on la fasse fructifier". Nous rentrons d’une promenade. J’aurais voulu pouvoir vous partager le brun de la terre fraichement labourée, le vert du blé naissant, la palette des roux et marrons de la moindre haie, les nuages se défaisant sans cesse dans le ciel… Toutes ces beautés que Dieu nous offre, toutes différentes selon les saisons. Un cadeau pareil, comme nous devrions avoir à cœur de le protéger ! En signe de reconnaissance envers Dieu, d’abord, mais aussi dans notre propre intérêt et l’intérêt de nos frères. Tous nos frères de toute la planète. Chaque fois que nous faisons un geste qui ne respecte pas la planète, c’est nous et nos frères que nous spolions !

  12. Tout cela, pour nous croyants, nous le savons, découle de notre amour pour Dieu et des consignes qu’il nous a laissées. Tout cela est enveloppé dans l’amour que Dieu met en chacun de nos cœurs, lui qui est le Maître de tout Amour. C’est aimer Dieu que d’aimer nos frères, que d’aimer notre terre, que de nous aimer… ALORS IL EN EST ENCORE TEMPS EN AVENT TOUTE !

  13. Texte : Jacky Musique : Adeste Fideles Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ http://www.jackydubearn.fr/

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