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Travail synthèse en histoire 414 sur la Nouvelle-France. Présenté à M. Fernand Laberge Créé par: Audrey Bédard Amélie Émond Sarah Mercille du groupe 406 équipe #1. INTRODUCTION :.
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Travail synthèse en histoire 414 sur la Nouvelle-France • Présenté à • M. Fernand Laberge • Créé par:Audrey BédardAmélie ÉmondSarah Mercilledu groupe 406 • équipe #1
INTRODUCTION : • Depuis longtemps, le commerce occupe une place importante dans la société. Débutant avec le troc, il s ’est poursuivi avec l ’apparition de l ’argent. Lors de la découverte de la Nouvelle-France, par Jacques Cartier en 1534, le mercantilisme était la méthode de commerce adoptée par les colons français. Malheureusement, on ne les comptait pas en grand nombre. Dans cette recherche, il sera question : du commerce des fourrures, des Amérindiens, du peuplement de la Nouvelle-France, du Régime Seigneurial, du Gouvernement Royal, des rôles de l ’Église en Nouvelle-France et des groupes sociaux de la colonie.
1.1commerce des fourrures • La France était la métropole qui avait les territoires de la Nouvelle-France sous sa dépendance. La colonie qui représente le territoire est administrée par cette métropole. On en connaît deux types : la colonie de peuplement qui avait comme principale but d’acquérir la plus grande population possible et la colonie-comptoir qui a été adoptée par la Nouvelle – France. Cette dernière avait comme objectif d’exploiter les richesses naturelles avec un coût peu élevé, mais qui rapporte beaucoup en peu de temps. Cependant, cette manière de coloniser ne demandait pas un grand nombre de colons ni d’infrastructures et l’exploitation s’effectuait seulement l’été. La métropole avait aussi opté pour une économie mercantiliste qui consiste a fournir les matières premières à la métropole par ses colonies. La principale ressource était la fourrure de castors aussi appelée pelleterie. Pour conclure, la compagnie qui obtenait le monopole avait l’exclusivité de ce commerce et devais en échange, peupler la colonie et assurer le développement de l’agriculture.
1.2 Les Amérindiens • Lors de l’arrivée des colons en Nouvelle-France, plusieurs Amérindiens étaient déjà présents. On en distinguait deux familles linguistiques tel que : les Algonquiens et les Iroquoiens. Ils n’avaient pas le même mode de vie... Les Algonquiens se procuraient de la nourriture par la chasse et la pêche, habitaient les Appalaches, voyageaient par canot et étaient alliés aux colons Français. Quant aux Iroquoiens, ils pratiquaient l’agriculture, résidaient les Basses-Terres du St-Laurent et des Grands –lacs, voyageaient aussi par canot mais étaient alliés aux colons anglais. Les colons ont empruntés aux Amérindiens dans le domaine de l’Alimentation, du transport ainsi que dans les valeurs tandis que les Amérindiens ont empruntés aux colons sur le côté alimentaire, objets et sur la santé tel que l’alcoolisme . Bref, les natifs de la Nouvelle- France ont été désavantagé par ces échanges.
1.3 Peuplement de la Nouvelle-France • En conséquence au mercantilisme qui exploitait les fourrures, la main d’œuvre constituait seulement d’hommes âgés entre 21 et 30 ans. L’intendant Jean Talon a pris la situation en main pour encourager l’immigration en donnant des terres aux militaires, et en faisant venir des filles du Roy, de jeunes femmes sans familles venant de France. Il a fait augmenter le taux de natalité et de mariage en donnant de l’argent à ceux qui avaient plus de dix enfants ou qui se mariaient avant 20 ans chez les hommes et avant 16 ans chez les femmes. Seulement, les Huguenots ,des immigrants protestants, sont refusés dans la colonie. Par la suite, le commerce triangulaire est apparu pour contourner les méfaits de l’économie mercantiliste. Ce type de commerce constituait à ce que la Nouvelle-France, les Antilles et la France s’échangent de nombreux produits.
Le commerce triangulairetiré du livre << Nouvelle histoire du Québec et du Canada >> p.81
1.4 Le Gouvernement Royal • En 1663, le régime des compagnies à monopole a été remplacé par le Gouvernement Royal... À cette époque, l’autorité est entièrement détenue par le roi. Le ministre de la marine qui est sous l’ordre du roi a pour but de contrôler le gouverneur général ainsi que l’intendant. Le gouverneur général, est décrit comme étant la personne la plus importante de la colonie, c’est lui qui représente le roi. Celui-ci, a plusieurs responsabilités : il doit assurer la direction et gérer les installations militaires, avoir des relations diplomatiques (discuter d’un traité ou bien faire la guerre) avec les colonies anglaises, et finalement, il doit remettre un rapport au ministre de la marine. Pour ce qui est de l’intendant, il est la deuxième personne la plus importante de la colonie. Il s’occupe du budget et de tout ce qui touche l’économie. Il existe deux types d’intendants : de police : qui s’occupe principalement du peuple de justice : qui s’occupe des droits civiles. Ensuite, il y a le conseil souverain aussi nommé conseil supérieur, il forme la cour de justice et est le tribunal. Et finalement, il y a le capitaine de milice qui a comme responsabilité de faire appliquer les ordres du gouvernement.
** voici un organigramme qui démontre la stture du Gouvernement royal**- - tiré du livre ‘’ Nouvelle histoire du Québec et du Canada ‘’ à la page 89 - -
1.5 Le Régime Seigneurial Le régime seigneurial est un mode de partage des terres, ou l’on retrouve : Un seigneur et ses censitaires. Le principal but de celui-ci est de promouvoir une colonisation organisée à la France. Pour s’y faire, le seigneur doit accomplir plusieurs devoirs envers l’état, l’ église et envers ses censitaires. Premièrement, il doit peupler la colonie. Il doit aussi communiquer l’aveu et le dénombrement, garder les mines ainsi que les chênes, payer une taxe et entretenir les chemins. Ensuite, il doit garder un terrain pour l’église et finalement, envers ses censitaires, il doit concéder les terres, construire un moulin à blé, prévoir une commune, faire la cour de justice et tenir feu et lieu.
Les censitaires aussi ont des devoirs à accomplir. Ils doivent tout d’abord, entretenir les chemins et payer une taxe lorsqu’ils achètent une terre. Ils doivent aussi payer la cotisation de l’ église. Envers le seigneur, ils doivent défricher sa terre ainsi que la cultiver, ils doivent tenir feu et lieu, utiliser le moulin banal, prier pour le seigneur et finalement, ils doivent réserver le premier banc de l’église pour celui-ci. Ils ont aussi comme devoirs de payer des taxes (redevances)… Le cens, le droit de moudre le blé, les corvées (3-4 jours de travail gratuit au seigneur), le droit de commune, de pêche ainsi que de coupe. Finalement, le censitaire doit payer la rente.
1.6 Les rôles de l ’Église en Nouvelle-France • En Nouvelle-France, chaque personne occupe un rôle important dans l’église, au niveau politique, social ou économique. Tout d’abord, l’Évêque doit assister aux délibérations du conseil souverain. Ensuite, les traiteurs doivent accompagner les Jésuites dans leurs Expéditions. Les sœurs Ursulines et les sœurs de la congrégation Notre-Dame, sont en charge de l’instruction des filles tandis que les Curés de la paroisse s’occupent de celle des garcons. Aussi, il y a les sœurs Augustines qui doivent prendre soins des malades et des plus démunis. Finalement, les missionnaires Jésuites et les Récollets sont en charge de convertir les tribus. Tout ces tâches, permettent un bon dévellopement de l’église en Nouvelle-France.
1.7 Les groupes sociaux en ville • En ville, Il y a deux groupes sociaux : • 1. Les grands marchands, qui gèrent la colonie et le commerce des produits importés, sont les plus riches mais sont aussi peu nombreux …si peu qu’ils ne peuvent former une classe sociale dynamique. • 2.Ensuite,il y a les petits marchands et artisans qui dépendent d’entrepreneurs qui leurs fournissent marchandise et crédits. Ils étaient très aprecier à l’époque.
Conclusion • En guise de conclusion, le mercantillisme n’a pas apporté un grand nombre de colons à la Nouvelle-France. Ce phénomene d’écoule du fait que ce commerce n’avait pas besoin d’une grande main d’œuvre. De plus, le peuplement avait beaucoup de difficultés à proteger le territoire de la Nouvelle-France car celui-ci était très étendu et la population, beaucoup moins nombreuse que celle de la Nouvelle-Angleterre. FIN!