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Voulez-vous connaître l’histoire et le fonctionnement du festival de la jeune comédie en Ardennes ?. Si c’est l’histoire qui vous passionne, cliquez céans. Si oui, cliquez ici. Si seul le fonctionnement vous intéresse, cliquez ici. Si non, cliquez là. Merci d’être venu nous voir et
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Voulez-vous connaître l’histoire et le fonctionnement du festival de la jeune comédie en Ardennes ? Si c’est l’histoire qui vous passionne, cliquez céans Si oui, cliquez ici Si seul le fonctionnement vous intéresse, cliquez ici Si non, cliquez là
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Or donc, voici quelques repères historiques : Le festival de la jeune comédie remonte certainement aux origines du théâtre grec, mais les traces archéologiques sont encore confuses. Ce qui est, en revanche, attesté, c’est qu’après s’être brouillés avec Shakespeare, qu’ils jugeaient trop élisabéthain, les organisateurs se sont rapprochés de l’inspection académique des Ardennes. Traditionnellement, c’est à partir de cette date dite du dépôt des valises à l’inspection académique (DDVALIA) que l’on compte la longévité du festival. Cette année, nous entamons donc l’an XXIV après DDCALIA. Si vous voulez découvrir le fonctionnement, c’est ici Si vous voulez sortir, c’est là là
Le principe général est très simple : Tous les ans, au mois de mai (dates variables d’une année à l’autre) le festival réserve une salle de spectacle du département pendant une semaine. Cette année, ce sera la salle Jean Vilar de Revin, du 31 mai au 4 juin. Les troupes de théâtre scolaires qui s’inscrivent seront accueillies pendant une journée complète. Au cours de cette journée, chaque troupe présentera son spectacle et assistera à celui des autres. L’un ne va pas sans l’autre. Il n’est pas possible de venir simplement présenter son spectacle, ni d’assister à une demi-journée seulement, sauf exceptions. Pour connaître les exceptions… Si la mention « cliquez ici » vous manque, cliquez ici Pour connaître la durée des spectacles… Pour fuir cet aréopage de fous furieux…
Les spectacles durent 40 minutes au maximum. Ils peuvent être plus courts, mais pas plus longs. Chaque troupe dispose d’un temps de 30 minutes pour s’installer avant le spectacle. La désinstallation, quant à elle, doit être très rapide, pour ne pas gêner la troupe suivante qui, sous moi, déjà, s’avance… Si votre spectacle est plus long, il faudra n’en présenter qu’un extrait et nous inviter à venir le voir intégralement lorsque vous le rejouerez dans votre établissement. Si vous voulez en savoir plus sur l’organisation des journées … Si vous trouvez ce règlement cruel… Pour prendre vos jambes à votre cou…
Il n’y a ni texte, ni thème imposé: • Auteurs classiques ou contemporains • Extraits montés à la suite les uns des autres • Écriture personnelle ou avec les élèves • Adaptation d’un conte, d’un roman… • Intégration de musique, jonglage, chant, marionnettes, peinture… Vous voulez savoir ce qui n’est pas acceptable sur la scène du festival… Vous auriez préféré un thème ? Vous vous interrogez sur les droits d’auteurs… Vous n’en pouvez plus…
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cliquez ici cliquez ici cliquez là cliquez là cliquez ici si cela vous suffit…
Ne nous trompons pas d’adversaire… Ce qui est cruel, c’est la fuite inexorable du temps, ces secondes qui se transforment en minutes, puis en heures… Faute de les maîtriser, il nous faut les partager entre tous les brûleurs de planches. C’est dans ce partage que nous oublierons que « Vulnerantomnes, ultimanecat » Si vous aussi vous avez lu les pages roses du Larousse… Si vous êtes subjugué par la culture classique du rédacteur de ces lignes…
« Vulnerantomnes, ultimanecat » signifie, à peu de choses près : « Vu l’nez du grand homme : ultime nez d’chat » Si vous doutez de cette traduction, vous me vexez Si vous pensez qu’on s’égare…
C’est une discussion qui peut avoir lieu en réunion, au cours de l’année. Si plusieurs personnes sont d’accord pour se donner cette contrainte, nous pouvons les regrouper sur la même journée. Vous voulez savoir ce qui n’est pas acceptable sur la scène du festival… Vous vous interrogez sur les droits d’auteurs… Vous n’en pouvez vraiment plus…
Nous allons parler des droits d’auteurs. Mais avant, allons voir quand-même ce qui n’est pas acceptable sur la scène du festival. Pour suivre aussi cette invitation gentille, quoiqu’un peu cavalière… Pour suivre cette gentille invitation… Pour sortir…
Il n’y a pas de palmarès, pas de récompenses, pas de podium. Ce qui compte, c’est l’envie de partager son travail théâtral avec les autres, dans un esprit sympathique. C’est d’ailleurs merveilleux de voir, chaque année, le calme et la bienveillance du public essentiellement composé des élèves festivaliers. Chacun sait ce qu’implique le travail de l’acteur. Rien n’interdit, dans ces conditions de présenter un travail inachevé, en rodage, en recherche. Au festival, on ne se moque pas, on ne juge pas, on travaille ensemble. Pour passer votre chemin… Pour en savoir plus sur le public
C’est très difficile de répondre à cette question, pourtant essentielle. On ne peut pas ici faire un catalogue de situations ou de paroles à proscrire, ce serait ridicule ! Cependant… … nous tenons à ce que les élèves – les enfants – ne soient pas mis dans des situations qui ne sont pas respectueuses de leur âge, de leurs capacités. Habiller une gamine en prostituée juste pour caricaturer l’adolescente de sitcom, est-ce bien utile ? Mettre une perruque frisée à un personnage parce qu’il s’appelle Mohamed, est-ce vraiment nécessaire ? Utiliser la grossièreté pour elle-même, sans raison dramaturgique, est-ce notre rôle ? Faire se dandiner un petit garçon pour contrefaire l’homosexuel, sous prétexte que « c’est toujours rigolo » est-ce respectueux du gamin ? Bref, tout cela procède-t-il d’une quelconque honnêteté intellectuelle ? Cependant – et c’est toute la difficulté ! - il n’est en rien interdit de mettre en scène le racisme, l’homosexualité, de parler avec grossièreté, à condition que les acteurs assument clairement cela, et que cela serve un discours construit et, tout simplement théâtral. En bref, nous en appelons au bon sens et à l’intelligence de nos collègues ! Si vous voulez aborder à présent le problème des droits d’auteurs… Si vous n’êtes plus qu’un point à l’horizon…
Seuls les très jeunes enfants de maternelle, ou les élèves d’IME, IMPRO, etc. sont autorisés à ne participer qu’à une demi-journée si leurs enseignants estiment qu’il ne serait pas judicieux de les mobiliser toute la journée (fatigue, etc.) Pour revenir aux détails du fonctionnement… Pour vous exfiltrer d’ici…
Le festival fait une déclaration commune, en tant qu’organisateur. Nous nous acquittons donc des droits exigibles par la SACD. Dans cette optique, il est impératif que vous nous fassiez connaître les références de l’œuvre que vous jouez si celle-ci a été composée par un auteur vivant ou mort depuis moins de 70 ans. Bien entendu, notre déclaration ne couvre que votre représentation dans le cadre du festival. Si vous voulez refaire votre vie en Urugway sous une fausse identité Si vous voulez connaître le palmarès du festival…
Trois formules sont proposées : • La classique : vous venez pour une journée, et présentez un spectacle de 40 minutes maximum. • La puzzle : vous fractionnez vos 40 minutes (par exemple 4 interventions de 10 minutes) à différents moments de la journée. Cela vous permet d’investir des temps informels : un happening pendant le pique-nique, un dialogue dans l’escalier qui mène à la salle, ou tout simplement sur scène, en ouverture des autres spectacles. • Vivement lundi : les troupes du lundi sont accueillies dès dimanche matin à Revin. Elles participent à des ateliers imaginés ensemble, sont hébergées sur place et présentent leur spectacle le lundi. Pour découvrir le genre de spectacles… Pour quitter…
Ce sont essentiellement les troupes participant au festival qui constituent le public. Cela représente de 100 à 200 élèves par journée. Les spectacles sont cependant ouverts à tous, gratuitement : parents des élèves, écoles de la ville qui accueille le festival, centres aérés. Vous pouvez également emmener une classe de votre établissement, même si celle-ci ne joue pas. Seule condition : réserver ! Nous ne pouvons pas accueillir de groupes sans réservations (la salle se remplit toujours très vite !) Si vous voulez découvrir le calendrier de l’année… Si c’en est trop….
Trois à cinq réunions dans l’année pour coordonner le projet. C’est généralement le mercredi matin. Un ordre de mission est envoyé par l’inspection académique. • Titre du spectacle et résumé à transmettre pour le 1er avril • Stage de formation pour ceux qui le souhaitent, selon les thèmes et les moyens disponibles (mise en scène, exercices et jeux dramatiques, etc.) Si vous voulez savoir comment s’inscrire et s’informer Si vous voulez savoir le coût pour votre établissement Si vous ne voulez plus rien savoir…
Tout se passe sur notre site internet : http://www.jeunecomedie.fr Si vous voulez savoir le coût pour votre établissement Si vous voulez sortir, c’est là là
L’inscription, la mise à disposition de la salle, des techniciens, les spectacles… tout cela est gratuit pour les établissements. Ces derniers n’assument que le transport en bus. Nous pouvons venir en aide aux établissements qui rencontreraient des difficultés dans ce domaine (petites écoles, etc.) Les familles doivent prévoir le pique-nique du midi. Si vous voulez savoir comment s’inscrire et s’informer Si vous voulez sortir, c’est là là