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EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS. I. GENERALITES. 1. Définition. EFFETS INDÉSIRABLES DE LA DEPAKINE 500 CHRONO. Des cas exceptionnels de pancréatite ont été rapportés nécessitant un arrêt précoce du traitement. Leur évolution est parfois fatale (cf Mises en garde/Précautions d'emploi).
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EFFETS INDÉSIRABLES DE LA DEPAKINE 500 CHRONO Des cas exceptionnels de pancréatite ont été rapportés nécessitant un arrêt précoce du traitement. Leur évolution est parfois fatale (cf Mises en garde/Précautions d'emploi). Hépatopathies (cf Mises en garde/Précautions d'emploi). Risque tératogène (cf Grossesse/Allaitement). Des syndromes parkinsoniens réversibles ont été rarement décrits. De très rares cas de troubles cognitifs d'installation insidieuse et progressive (pouvant réaliser un tableau complet de syndrome démentiel), réversibles quelques semaines à quelques mois après l'arrêt du traitement, ont été décrits. États confusionnels ou convulsifs : quelques cas d'états stuporeux ou de léthargie aboutissant parfois à un coma transitoire (encéphalopathie), isolés ou associés à une recrudescence paradoxale des crises sous valproate, ont été observés, régressant à l'arrêt du traitement ou à la diminution des doses. Ces états surviennent le plus souvent lors de polythérapies (phénobarbital en particulier) ou d'augmentation brusque des doses de valproate. Certains sujets peuvent présenter, en début de traitement, des troubles digestifs (nausées, vomissements, gastralgies, diarrhées) qui cèdent en général au bout de quelques jours sans interruption du traitement.
Une hyperammoniémie isolée et modérée sans modification des tests biologiques hépatiques est fréquemment observée, surtout en cas de polythérapie, et ne doit pas faire interrompre le traitement.Toutefois, des cas d'hyperammoniémie avec symptômes neurologiques (pouvant aller jusqu'au coma) ont aussi été rapportés, nécessitant alors des investigations complémentaires (cf Mises en garde/Précautions d'emploi). Très rares cas d'hyponatrémie. Des effets indésirables passagers et/ou dose-dépendants ont été rapportés : chute des cheveux, tremblements fins d'attitude et somnolence. Des céphalées ont également été rapportées. Des cas peu fréquents d'ataxie ont été rapportés. Des cas de thrombopénie dose-dépendante, généralement de découverte systématique et sans retentissement clinique ont été décrits.En cas de thrombopénie asymptomatique, si le taux de plaquettes et si le contrôle de la maladie épileptique le permettent, la seule diminution de posologie de ce médicament permet le plus souvent la régression de cette thrombopénie.
Des cas de diminution du fibrinogène ou d'allongement du temps de saignement, généralement sans retentissement clinique, ont été rapportés surtout à doses élevées. Le valproate a un effet inhibiteur sur la 2e phase de l'agrégation plaquettaire. Plus rarement ont été rapportés des cas d'anémie, de macrocytose et de leucopénie, et, exceptionnellement, des cas de pancytopénie. Des réactions cutanées telles que des rashs exanthémateux ont pu être observées. Des cas exceptionnels de syndrome de Lyell, syndrome de Stevens-Johnson et érythème polymorphe ont aussi été rapportés. Exceptionnellement, des cas d'atteinte rénale ont pu être rapportés. De très rares cas d'énurésie et d'incontinence urinaire ont été rapportés. Exceptionnellement, des pertes d'audition réversibles ou non ont été rapportées. De très rares cas d'oedème périphérique non sévère ont été rapportés. Des prises de poids ont été observées. Celles-ci étant un facteur de risque de survenue du syndrome des ovaires polykystiques, le poids des patientes doit faire l'objet d'une surveillance attentive (cf Mises en garde/Précautions d'emploi). Des aménorrhées et des irrégularités menstruelles ont été observées.
Ça peut vous donner asthme ballonnements couperose eczéma fausse-couche hémorroïdes migraine nausées oedèmes prise de poids surdité tachycardies tumeurs ulcères verrues zona… Mais ça diminue bien le risque de boutons…
C’est notre inquiétude, c’est notre impatience qui gâte tout et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non pas de leurs maladies. Béralde, Le malade imaginaire Molière, 1673
Benfluorex: MEDIATOR Rosiglitazone: AVANDAMET AVANDIA
E.I. les plus fréquents: • Hémorragies sous anticoagulants • Atteintes digestives sous anti-inflammatoires • Allergies
1. E.I. liés à la composition du médicament • Effets de type A: • Directement liés à l’effet pharmacologique principal. INSULINE, AINS • Dus à un effet pharmacologique parallèle de la molécule. PROGLICEM • Effets de type B: • Dus à des réactions inattendues et inexplicables par les propriétés pharmacologiques du produit . CORTICOIDES
1. Intensité • Légère : grade 1 • Modérée : grade 2 • Sévère : grade 3 • Létale : grade 4
Causes de mortalité les plus fréquentes: • hémorragies digestives (corticoïdes, AINS, anticoagulants) • Atteintes hépatiques( isoniazide, chlorpromazine) • Insuffisance rénale (analgésiques) • Anaphylaxie (pénicillines)
2. Fréquence • très fréquent (>1/10) • fréquent (>1/100, <1/10) • occasionnel (>1/1000, <1/100) • rare (>1/10'000, <1/1000) • très rare (<1/10'000)
E.I. MALARONEAtovaquone (DCI) Proguanil (DCI) chlorhydrate • Affections hématologiques et du système lymphatique : Fréquent : anémie, neutropénie, rapportées avec l'atovaquone. Fréquence non connue : pancytopénie, avec notamment anémie mégaloblastique chez des patients ayant une insuffisance rénale sévère traités par proguanil. • Affections du système immunitaire : Peu fréquent : urticaire. Fréquence non connue : oedème de Quincke, choc anaphylactique. • Troubles du métabolisme et de la nutrition : Fréquent : hyponatrémie plus spécifiquement attribuée à l'atovaquone, anorexie. Peu fréquent : hyperamylasémie observée avec l'atovaquone. • Affections du système nerveux : Très fréquent : céphalées. Fréquent : sensations vertigineuses.
Affections gastro-intestinales : Très fréquent : douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhées. Peu fréquent : stomatite. Fréquence non connue : ulcérations buccales, plus spécifiquement attribuées au proguanil. • Affections hépatobiliaires : Fréquent : élévation des enzymes hépatiques. Fréquence non connue : hépatite souvent associée à des manifestations d'hypersensibilité (fièvre, éruption cutanée, éosinophilie), plus spécifiquement attribuées à la présence de proguanil. • Affections de la peau et du tissu sous-cutané : Fréquent : éruptions cutanées, prurit. Peu fréquent : dépigmentation ou chute des cheveux rapportée avec le proguanil. Fréquence non connue : vascularite cutanée. • Troubles généraux et anomalies au site d'administration : Fréquent : fièvre, plus spécifiquement attribuée à l'atovaquone. • Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales : Fréquent : toux.
Insuffisant rénal • Personne âgée • Femme enceinte